22 septembre  2017 : Après le parc ornithologique du Pont de Gau et ses flamants roses, on reste dans la couleur en allant à Nîmes y découvrir la 6ème exposition de Ouf,  c'est son titre.

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 Avant, direction le SPOT, un lieu hybride et alternatif voué à la culture du street art. On y découvre des œuvres en tous genres avec  une salle d'exposition (murs, sol et plafond utilisables par les artistes). Il y a une salle de concert multiactivités, un bar.

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Le chat ne semble  pas même troubler par son environnement un peu particulier.

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 Les  murs  ont des  yeux ...

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Univers coloré du  côté du  bar.

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 A présent,  à la découverte des œuvres au fil des rues du quartier Gambetta, un quartier pour le moins défavorisé, avec  des maisons délabrées, des squats...

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Au fil du temps, les œuvres disparaissent, s'effritent, ajoutant ici ou là au caractère désolé du quartier.

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D'une année sur  l'autre,  les grafs et autres peintures se recouvrent ou sont retravaillés par d'autres artistes.

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La locomotive a déjà bien vécu avec  une signature si particulière  en bas  à droite  : " Le carnet de voyage d'un  mec sur place" .

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Même les poteaux délimitant les trottoirs ont subi les  humeurs des tagueurs, sous le regard d'une princesse aztèque?

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Deux styles différents au carrefour.

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 Nota : Je ne prends pas position sur la qualité graphique de ces œuvres. Je me contente de vous les faire découvrir car elles font partie de notre vie quotidienne ici ou là.

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 A suivre.

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24 et 25 avril 2018 : Petite sortie dans le Vercors avec hébergement à cheval sur deux départements Isère et Drôme... à la Balme de Rencurel

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Au détour d'un virage du côté de Chorange, le paysage éclate aux yeux,  laissant entrevoir au fond une cime enneigée. Ma méconnaissance des lieux m'interdit de détailler le site.

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Face à mon hébergement, l'éclat blanc des falaises du Vercors.

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19 h 00, escapade  gustative à Villard de Lans avec  vue sur la Montagne de Lans qui barre la route de Grenoble

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21 h 00: une autre vue plus rapprochée alors le soleil ne va tarder à aller se coucher... comme  moi, avec ce qui me semble être la Grande Moucherolle (2284m).

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Lendemain matin, réveil en douceur au sein d'une campagne accueillante.

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Accueillante mais curieuse la campagne! Et content de retrouver des montbéliardes...

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Quel paysage... Vue dégagée sur le département de la Drôme au premier plan et sur celui de l'Isère, à hauteur du village de la Balme de Rencurel au centre.

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Sur la route des  Petits  Goulets, dite route historique du maquis du Vercors

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Quand on voit le relief, la route passe en dessous de l'aplomb rocheux à gauche, on comprend mieux l'importance stratégique du lieu et l'implantation des maquis dans toute la  région. 

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Ici aussi la végétation pleure ses morts...

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 A bientôt pour la suite de cette promenade géographico historique.

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22 septembre 2017 : Dernières photos depuis la réserve de Pont de Gau .

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Une aigrette garzette. Toujours étonné de voir avec quel sens de l’équilibre, ces oiseaux tiennent sur les branches.

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Un héron cherche sa pitance, ou plutôt, il l'attend.

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Mais ce même héron décide de s'envoler quand je continue de le photographier. Pas eu le temps de changer les réglages.

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Vite, allons voir là-bas, le nourrisseur arrive.

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Mais  il  y a un intrus ici....

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Dis, tu vas me le laisser ce grain de riz?

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Sortie du  parc. Direction Nîmes pour de nouvelles aventures... Au passage un troupeau de taureaux de  Camargue.

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 Un arrêt s'impose pour la photo. Mais ils sont un peu loin, dommage.

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 A bientôt, toujours  dans la région pour un sujet haut en couleurs...

22 septembre  2017 : Toujours au  pont de Gau. L'endroit est réputé pour sa colonie de flamants roses. Je  vais  mieux comprendre  pourquoi dans quelques instants.

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Au hasard de ma promenade, quelques échassier autres que les  flamants, comme ici cette aigrette.

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Ou ici ce héron, les pieds, pardon les pattes dans l'eau.

Et puis tout à coup, sans que rien à mes yeux ne l'annonce, les flamants vus à l'entrée du parc se dirigent en masse vers un autre endroit de l'étang. 

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Les bruissements d'ailes, le clapotis des pattes dans l'eau, les cris des flamants, tout cela se fait de plus en plus intense...

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La raison de cet agissement est simple. L'employé du parc avec son quad et sa remorque vient d'arriver. A coup de pelles, il distribue la nourriture aux flamants. Celle-ci est composée de riz de Camargue. Le phénomène se reproduira tout au long de la journée en divers endroits.  Les  oiseaux sont conditionnés et réagissent donc au mouvements du quad. C'est un peu comme le nourrissage des otaries dans les parcs aquatiques ou d'autres animaux ailleurs dont on fait un spectacle ...

J'avoue que le plaisir de voir ces oiseaux en liberté m'a quitté...

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Même s'il s'agit d'un retardataire au repas, j'avoue que du coup, je préfère cette photo qui fait plus naturelle, par rapport aux précédentes.

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 Alors j'oublie pour un temps les flamants roses, pour me consacrer à une partie de volatiles pas concernés par les agapes au riz...

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 Et là, ne serait pas un héron garde-boeuf ? (Merci Google... ) 

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Cet endroit du parc est couvert d'arbres, des lieux habités par les hérons. Et je suis toujours surpris de l'équilibre dont font preuve ces oiseaux pour se maintenir ainsi au faîte des arbres.

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Un  petit coup de 70 x 300 pour le portrait. Merci Monsieur.

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 A bientôt, pour un dernier volet sur ce parc.

22 sept  2017 : Poursuite de la promenade au parc de l'étang de Gau.

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Pas  facile d'isoler un flamant du reste de ses congénères. Pourtant l'un deux s'est détaché du groupe. Autant en profiter.

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Et puis à ses côtés, un autre en fait de même. Pour le coup, j'ai deux profils avec en prime, les gouttes d'eau qui tombent du bec.

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Sur une des maisons du parc, une cigogne en profite pour se refaire une beauté.

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 Un héron plus loin , est occupé à faire de même, bien campé sur un morceau de bois à demi immergé.

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Un quatuor bien occupé, là encore, à faire un brin de toilettes, quitte à y laisser quelques plumes.

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Le nettoyage semble être une activité importante dans la vie de ces oiseaux.

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Mais il faut quand même de temps en temps penser à se sustenter...

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Tiens, une aigrette un peu perdue dans ce monde de flamants et qui ne se mélange pas avec eux.

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D'ailleurs, la cigogne non plus, ne semble pas être attirée par ces grands échassiers, somme toute, un peu bruyants au moment des repas. Repas dont on reparlera au prochain épisode.

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Et pour finir pour aujourd'hui, cette photo de quatre chevaux camarguais, qui me rappelle que je suis  chez eux.

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 A  Bientôt.

22 septembre  2017 :  Toujours au parc ornithologique du Pont de Gau. Poursuite de ma promenade autour des étangs.

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Arrivée sur les pattes d'un flamand. Toujours impressionnant à voir mais tout aussi difficile à capter dans l'appareil photo.

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Sur ce coup, j'ai un peu de chance, puisque j'arrive à fixer le bec et la goutte d'eau... J'ai du m'y reprendre à plusieurs fois pour avoir une photo presque nette

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Tiens l'arrivée d'un retardataire... Attention à l "étangssage"... Bah oui,  on ne peut pas parler d'atterrissage,  d’amerrissage et encore moins d'alunissage...

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Oui  c'est  bien le même : "Poussez-vous les copains,  place ... "

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"Et voilà le  travail? Je ne vous ai pas trop éclaboussé?"

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Retour sur la terre ferme, avec à nouveau  le petit ragondin. 

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Au parc, il existe deux  ou trois  grandes volières et dans l'une d'elle, ce que je suppose être un grand duc. Dommage pour lui, de ne plus connaître la liberté qui est celle des flamants et autres oiseaux du coin.

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Quant à eux,  il y en a quand même beaucoup au mètre carré

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Ici  le coin est plus calme et à mon sens, plus naturel que précédemment. Il y a même un ragondin dans un coin... si, si .

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 A suivre,  si vous le voulez bien.

22 septembre 2017. Les étangs du Languedoc sont réputés pour être un lieu de prédilection des flamants roses. Malheureusement, ceux que  j'ai vus, étaient trop loin pour être  photographiés dans de bonnes conditions. N'étant pas du coin, je ne me suis pas aventuré en pleine nature pour les traquer avec mon appareil photo.

Une seule solution, le parc ornithologique du Pont de Gau.

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Dès  l'entrée, un bruit se fait entendre, indéfinissable et plus on avance,  plus il devient audible. Avant de le définir,  je  profite d'un héron et d'une aigrette, perchés, ne sachant ce qui  m'attend par la suite.

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La réponse est au bout du virage. Devant moi, l'étang et au bord, des centaines de flamants qui crient, qui piaillent, qui  jacassent. Enfin bref, ils font du bruit tout en fouillant la surface de l'eau ou le fond... mais pas autant que le groupe de touristes italiens qui est arrivé juste avant moi ... Quelle horreur ! Je n'ai rien contre les Italiens, mais contre les groupes, si, même s'ils sont  français ...

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Allez , j'oublie un temps les touristes italiens, pour me consacrer à la photo. Et c'est là que je mesure le travail encore à accomplir pour réussir de belles photos animalières. Alors au  passage, bravo encore Pascale MD et je sais pourquoi,  je ne suis pas attiré par la réalisation de ce  genre de photos. 

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Une autre photo pour mieux apercevoir la fluidité du vol de flamant.

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Et puis changement de territoire avec l'arrivée de ce jeune ragondin, pas du tout gêné par la foule...

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Et  un plus  jeune encore qui  va s'apprêter à traverser le chemin en passant entre les jambes de mes touristes italiens...

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Retour sur la concentration de ces beaux volatiles roses. J'ai  pas compté et vous?

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Même dans l'eau, finalement, il n'est pas si aisé de les prendre en photos car ils sont du genre plutôt remuant !

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Ouf,  en voilà un de cadré... Et zut, il manque la goutte d'eau au bout du bec. Et c'est pas faute d'avoir essayé ... Tant pis !

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L'effervescence du moment est passé, le lieu retrouve son calme.  (les Italiens ont disparu...!) . Chacun vaque à ses occupations. Je ne comprendrai que plus tard, pourquoi il y avait tant d'oiseaux rassemblés. Mais ça, je ne le vous dirai qu'à la fin du reportage.

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A bientôt

Avant-propos pour un retour en arrière,

Bonjour à tous et merci de vos retours.

Je reviens en quelques mots sur mon post d'hier  Voir ici . Comme vous pouvez le remarquer, j'essaye de mettre des photos propres sur mon blog. La première photo, hier, n'était pas destinée à illustrer mon reportage de vacances. Il se fait que j'ai pris cette photo pour essayer mon télé 70 x 300 sur les pêcheurs au loin, alors que j'étais en train de dîner sur ma terrasse. En retrouvant cette photo sur ma carte mémoire, je me suis amusé à ce petit jeu. À une époque où l'on parle de "fake news" , j'ai cru bon de rappeler qu'il y a aussi de "fakes slides" dans la mesure où l'auteur de la photo n'avoue pas avoir trituré la photo qu'il nous présente...

Pour ma part, dès lors que je modifierai profondément la photo postée, je continuerai, comme par le passé, à nommer mes photos "honteusement trafiquées"

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 Finalement, je suis allé sur la plage, justement pour ne plus avoir d'éléments perturbateurs sur ma photo.

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Loin là-bas, le port de plaisance de Palavas révèle sa présence par les mats des bateaux qui  dépassent au-dessus de la jetée.

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Et voici que je retrouve mes pêcheurs, débarrassés des éléments parasites vus depuis ma terrasse. (Photo garantie sans trucage... )

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Et puis à coup de zoom,  je me suis rapproché d'un pêcheur (ici et deux photos suivantes)

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La nuit ne va pas tarder, je vais rentrer et demain sera un autre jour...

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 À bientôt.

21 septembre 2017. Plage de Palavas. En fin de soirée,  je décide d'aller faire quelques photos sur la plage et plus précisément des vagues.

Seulement voilà. Je ne suis pas seul.

Voici donc l'histoire en photo d'une non rencontre.

Pour l'histoire à proprement parler,  je vous la laisse découvrir à la fin de ce reportage.

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 Est-il besoin de décrire ces photos?

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Pas de  vague monstrueuses, mais je suis toujours fasciné par leurs formes et leur mouvement incessant.

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 Une vague plus forte que les autres et c'est tout de suite un peu plus d'écume.

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Sable et eau mélangés  = couleurs aux mille nuances.

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Pas évident de capturer le rouleau, surtout quand ils ne sont pas importants.

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Et à chaque fois, c'est différent.

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Et puis ce fut la rencontre ...

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Enfin quand  je dis rencontre,  j'étais sur la jetée avec le zoom !

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Une autre façon de croquer les vagues, enfin d'après ce que je voyais....

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L'artiste en  plein travail.

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Et voici ce que j'avais écrit dans ma chronique du soir sur Facebook, suite à cette "rencontre" :

216 - La non rencontre.

La plage, la mer, un jeune homme sur une serviette de bain, une jeune femme qui fait des croquis et un photographe. Celui se rend au bord des allers et venues d'une mer un peu paresseuse. Il passe entre le jeune homme et la jeune femme. Arrivé près des vaguelettes, il se penche vers le sable, s'accroupit puis au bout de quelques minutes, repart vers la dune. Arrivé en haut, il voit le jeune homme en discussion avec la dame. Il prend quelques clichés des alentours et s'en va. Après un certain temps, il retourne à sa voiture et retrouve sur le parking, le jeune homme à la serviette. Un dialogue s'instaure :

- Vous n'avez pas été voir la jeune femme?

- Non, je l'ai laissée à ses dessins

- Elle se demandait ce que vous photographiez, sans doute des coquillages, ou des empreintes de pas, pensait-elle.

- Heu non, simplement l'écume des vagues.

- Il fallait aller voir ce qu'elle dessinait.

- Je n'ai pas osé la déranger.

- Moi si. C'est une artiste. Elle faisait des croquis des rares personnes qui passent sur la plage. Et elle elle vous a dessiné. Il faut oser dans la vie, moi j'ai osé.

- Non, vraiment, je n'ai pas osé. Du coin de l’œil, je la voyais très affairée. Mais pour ma part, je l'ai prise en photo de loin... Donc match nul !

Les deux hommes se sont quittés dans un grand éclat de rire. Quant à la jeune femme, elle continuait ses dessins.

........

Finalement, j'aurais du oser ! Et peut être aussi que je finirai dans une exposition, sous forme de croquis réalisé à la hâte sur une plage languedocienne. Mais grâce à cette photo, j'ai une trace de cette non rencontre.

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A bientôt.

21 septembre  2017 . Suite et fin de mon passage à Uzès.

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  Tous les quartiers restaurés  d'Uzès ont à présent fière allure. Et c'est  un plaisir de les découvrir.

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L'architecture des immeubles est remarquable et attire l'œil.

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 La  place aux  herbes est  un lieu  propice à la  flânerie et au repos à l'ombre des arbres.

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Voici sans doute la photo que j'ai eu le plus de mal à faire.

 Pas techniquement mais tout simplement pour avoir place nette devant la fontaine.

J'ai du attendre près de 20 minutes, qu'un couple d'anglais veuille bien laisser la place vide. 

 Ils avaient décidés de manger des gâteaux d'une pâtisserie voisine, assis sur le rebord de la fontaine.

On peut d'ailleurs les voir sur la photo précédente, à droite...

 J'ai pris mon mal en patience, en buvant un verre à la terrasse voisine.

 Quand ils sont enfin partis, je me suis précipité pour faire ma photo, non sans laisser passer aussi quelques  piétons.

 Et en espérant que dans ce laps de temps, personne ne vienne  s'y installer à nouveau.

C'est cela aussi,  la  photo...

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