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Par Albert Lupus le 15 Novembre 2018 à 17:55
11 juillet 2018 : Chatel . Toujours au col de Bassachaux.
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Les abeilles ou bourdons s'en donnent à cœur joie.
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Il y a abondance de fleurs.
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Devant moi, le Mont de Grange (2432m) me présente la face par laquelle j'ai accédé à son sommet. C'était, il y a .... longtemps !
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De nouveau un ouvrier très affairé, à moins qu'il ne soit glouton et à son propre compte.
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Toujours depuis le col de Bassachaux, on retrouve de gauche à droite, la tête du Linga (2159m), la tête de Géant (2228m), la pointe de Boccor (2202m) et l'épaulement de la tête du Lindaret (1950). Seuls, le premier et le dernier ont vu mes semelles quand j'étais plus jeune.
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Et sur fond de Mont de Grange à gauche et de Morclan (1970m) au centre, j'abandonne ce pot d'edelweiss pour redescendre dans la vallée.
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A bientôt
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 14 Novembre 2018 à 22:18
21 mai 2018 - Rochesauve (près de Privas) - Petite promenade apéritive...
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Quand on parle de la beauté intérieure, cela n'est pas un vain mot !
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Une image que je ne m'attendais pas à faire. Car c'est la première fois que je vois des vaches dans ce secteur. Elles non plus ne doivent pas voir passer souvent du monde, car elles sont spontanément venues me voir.
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Allez, hop, un petit portrait en passant, mais un peu remuante la bête...
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Un peu d'aridité dans ce concert de vert ponctué de rouge ... et de bleu !
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Et puis autant profiter des beautés (éphémères) de la nature.
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Et enfin une image rafraichissante au détour d'un petit cours d'eau couvert d'araignées d'eau, des gerridés. (Merci Wiki...)
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A bientôt.
4 commentaires -
Par Albert Lupus le 13 Novembre 2018 à 20:54
22 septembre 2017 : Fin de ma promenade dans les rues de Nîmes, à la découverte des œuvres des graffeurs de l'Expo de Ouf.
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Devrais-je commenter à chaque fois, ces images? Ne devrais-je pas plutôt laisser venir en vous votre propre ressenti? Ici ce dessin évoque d'addiction à la cigarette, voire plus... L'expression du visage évoque la gravité de la situation.
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Des collages, mais j'avoue ne pas être trop en phase avec le sens caché de ceux-ci.
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Ici encore, difficile de comprendre. Y a-t-il dans les collages de droite et de gauche, une admiration, de la peur devant les vagues ou l'exploit sportif? Quant à celui de tout en bas à droite, j'ai du mal à le positionner dans l'ensemble. Est-ce le deuil lors des funérailles d'un sportif emporté par la lame de l'océan?
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Deux autres interprétations de notre monde moderne. Une forme de contestation ou un combat?
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Retour au calme avec ce dessin particulièrement naturaliste.
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Puis on aborde le domaine de la mer. Tout d'abord avec cette baleine mécanique qu'on croirait sortie d'un roman de Jules Verne.
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La baigneuse du bord de plage, ou du moins, ce que je crois être.
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Ambiance méditerranéenne par un collectif de dessinateurs.
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Et pour finir, un vrai graf dans l'acceptation totale du terme. Mais quelle signification?
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Ainsi s'achève cette promenade à Nîmes sur les lieux de l'exposition de Ouf. Qu'en dire? Je laisse à chacun, le soin d'en penser ce qu'il veut. Pour ma part, j'ai vu des œuvres magnifiques réalisées par des artistes de talent. D'autres m'ont laissé dans le questionnement, et d'autres enfin, n'ont pas fait monter en moi des sentiments particuliers. Mais c'est bien connu, il faut de tout pour faire un monde...
A bientôt.
5 commentaires -
Par Albert Lupus le 6 Novembre 2018 à 18:52
Début d'un reportage effectué dans une région que je ne connaissais pratiquement pas, le Vercors, entre Isère et Drôme.
C'est donc avec un regard de touriste mais quand même avec mon œil de photographe, que je vais vous proposer pendant plusieurs semaines, des vues de cette région.
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16 septembre 2018 : Le voyage débute par une vue prise depuis le col du Rousset (1254 m) avec une vue plongeante sur Die, tout au fond.
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Avec cette autre vue rapprochée, on comprend pourquoi cette route est très sillonnée par les cyclistes, motos et voitures... enfin par tous ceux qui aiment les virages !
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Un chemin empierré? Non, mais le lit du Bès, cours d'eau qui traverse Châtillon en Diois, mon étape du jour.
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Partir à la découverte d'un village est toujours sujet à des surprises. Comme ici, ce tag du Yin et du yang, quelque peu incongru sur ces vieilles pierres.
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Châtillon en Diois est le village aux 17 fontaines. Je ne suis pas sûr de les avoir toutes vues... mais toutes sont surprenantes avec à chaque fois un petit poème :
"Cris des martinets
Main tendue sous l'eau fraîche
Encore l'été " (fontaine Dévoluy)
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Juste avant la tour de l'Horloge, dans la rue des Ecoles, l'église St Julien (1688 - 1705) particulièrement stricte dans l'apparence architecturale de son clocher-mur.
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Retrouver une boutique à l'ancienne, est un plaisir qui ne se refuse pas.
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Et puis une autre encore pour les produits traditionnels du terroir, dont la Clairette de Die.
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Ambiance d'aujourd'hui revisité. Un charme fou, non?
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Châtillon en Diois recèle de nombreuses ruelles, passages dénommés "viol" . (du latin Via et du patois Viao) = ruelle.
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A suivre et à bientôt .
7 commentaires -
Par Albert Lupus le 6 Octobre 2018 à 23:08
Toujours au hasard ou presque, des rues de ce quartier de Nîmes, dédié au street art, à la découverte de ces tags qui parfois ne laissent pas différents.
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Pas un tag, mais un papier collé au dessin d'une grande finesse.
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Pas toujours facile la vie d'un tag, surtout derrière des barreaux...
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La Mecque du Street Art à Nîmes : tout à la fois, lieu associatif, cantine, bar, salle d'exposition. Incontournable.
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Comment décrypter quand on n'a pas le code?
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Aériennes, siamoises, lesbiennes, dualité féminine?
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La famille dans la crainte? Les regards sont parlants.
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Encore un univers bien particulier...
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L'univers marin !
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Certainement une oeuvre qui se voulait chouette.
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Des réalisations bien différentes dont j'aurais aimé avoir le sens. J'en ai été réduit à laisser aller mon imagination et je ne suis pas sûr d'avoir toujours interprété justement la pensée des artistes.
Il me reste un dernier volet pour en finir avec cette présentation. Alors à bientôt.
4 commentaires -
Par Albert Lupus le 6 Septembre 2018 à 23:19
25 avril 2018 - Je termine ma visite de ce petit coin du Vercors, toujours à St Antoine l'Abbaye, en Isère.
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Une vue depuis l'intérieur de la cour de l' abbaye - J'ai laissé la distorsion de l' objectif, pour le genre que cela donne à la photo.
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Une abbaye sans liqueur? Que nenni.
Vulnéraire : Adjectif et nom masculin (latin vulnerarius, de vulnus, -eris, blessure). Se disait d'une substance propre à guérir une blessure, une plaie. (Déf lAROUSSE)
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Dans une cour intérieure de l'abbaye, on découvre un ravissant petit jardin qui invite à la méditation.
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Une fontaine au centre du jardin, emplit l'espace du doux bruit du jaillissement de l'eau, des têtes de dragons.
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Intérieur de l'église abbatiale : une nef immense...avec ses 62m de longueur, 32m de de largeur et 22m de hauteur.
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Mais l'extérieur vaut largement l'intérieur.
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Dans un coin du bâtiment, une porte qui a du en voir passer du monde...
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Fin de mon escapade. J'ai repris la route de Combe Laval (ouverte en 1898) qui mène de St Jean en Royans à Vassieux en Vercors. Elle fait partie d'un ensemble de routes de la région, dénommées , routes vertigineuses et on comprend pourquoi...
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Les tunnels permettent de s'affranchir des arêtes ou éperons rocheux.
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Au bout de la route, après le mémorial de la résistance du col de la Chau, on découvre le panorama qui s'ouvre sur le massif des Ecrins.
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Une superbe découverte que cette région, que je vais approfondir pendant une semaine, dans peu de temps. A bientôt.
7 commentaires -
Par Albert Lupus le 5 Septembre 2018 à 21:19
22 septembre 2017 : Je poursuis ma route à travers ce quartier de Nîmes, qu'on appelle à présent le petit Berlin, pour le moins défavorisé. Sur les murs, des grafs sensés redonner une âme à ces maisons vides.
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Lavoir du puits Couchoux. Enfin une représentation imagée de ce qu'il a pu être. Le lavoir est maintenant transformé comme salle polyvalente semi ouverte.
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Pour la réalisation suivante, une photo d'ensemble. L'oeuvre ayant été réalisée sur une maison d'angle.
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De nombreuses sources d'inspiration, sans doute. Mais effectivement, ils ont été trois à mettre la main à la bombe... Supocaos, Grumo et Caine.
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Finalement, un patchwork qui se laisse regarder. Bien sûr, ce n'est que mon avis...
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Intéressant le regard de cette jeune fille sur 20 000 lieues sous les mers. Jules Verne à droite, se pose sans doute des questions.
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L'essence même du Street Art
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Savoir jouer avec le terrain, les volumes, tout un art.
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Une note romantique, au détour d'une rue. Apaisant.
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L'ami Georges s'est immiscé dans ce déferlement de couleurs.
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Deux visions et surtout deux façons de travailler différentes sur ce mur. Comme quoi, il n'y a pas qu'un seul style de grafs.
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A suivre...
3 commentaires -
Par Albert Lupus le 31 Août 2018 à 23:18
En ce 25 avril 2018, je suis en Isère à la découverte d'un endroit que je ne connais pas du tout. Saint Antoine l'Abbaye, un des plus beaux villages de France.
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L'imposante abbaye dont les débuts de la construction de style gothique remonte à 1280, veille sur la cité médiévale.
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Les vieilles rues pavées sont bordées de maisons bourgeoises, hautes en cachet.
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La porte de l'abbaye, érigée en 1657-1658. En 1256, le pape Alexandre IV autorisa les hospitaliers de St Antoine, à construire un hôpital aux portes du prieuré bénédictin. Sans doute cet hôpital devint-il le Grand hôpital qui accueillait les personnes frappées du "du mal des ardents" ou "feu Saint Antoine" . Peu à peu abandonné, il fut démoli en 1655. (Transcription de la plaque figurant en bas à gauche du mur du bâtiment).
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Emplacement de l'église dédiée à Notre Dame en 1741. Il ne reste aujourd'hui plus que la façade...
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Retour sur le haut du porche de l'abbaye pour en admirer la toiture dauphinoise en tuiles vernissées. À noter sur le haut du portail central, la devise de la République et l'inscription : République Française !
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Face au village, la chaîne des Alpes.
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Le clocher de l'église abbatiale se découpe dans le ciel alors que le printemps a fait éclater la nature environnante.
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La glycine est généreuse et invite à la promenade dans les ruelles.
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La cour de l'abbaye dont les anciens bâtiments sont pour partie, occupés par des échoppes d'artisans (tailleurs de pierre par ex).
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À suivre et merci de votre visite.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 29 Août 2018 à 21:43
22 septembre 2017 : Je poursuis ma promenade à travers ce quartier désolé de Nîmes.
Le street art a toutefois bien du mal à cacher la misère.
Je suis bien certain que ce reportage n'aura pas tous vos suffrages, mais il est dans l'air du temps.
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Vivaldi aurait-il apprécié ces quatre saisons façon street art?
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L'art de n'utiliser que le crépi ou le respect des vieilles pierres?
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Résurgence amérindienne du sud, inca, aztèque, péruvienne?
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Victorien Liria, alias Maye, un Sétois qui mêle les éléments naturels et mécaniques dans le corps humain.
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Pour Nhöbi, le street art, c'est l'imaginaire coloré pour distordre la réalité.
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Minimaliste? Certainement pas, car les portraits sont peints...
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Tentative de survie du monde végétal dans un univers peuplé de monstres... (Plantes carnivores?)
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Le pouvoir du chat.
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Influence graphique pour cette œuvre raffinée de l'italien Gütan
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Ici aussi, aussi, beaucoup de graphisme pour une juxtaposition précise de la peinture. Romantique non? De quoi se réconcilier avec le street art .
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A suivre. Merci.
3 commentaires -
Par Albert Lupus le 24 Juillet 2018 à 23:24
25 Avril 2018. Je pars à découverte d'un coin que je ne connais pas. Direction Saint Nazaire en Royans dans la Drôme.
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La Bourne traverse le village et lui donne un air de vacances. A droite, nous sommes dans la Drôme, à gauche, nous sommes en Isère...
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La Bourne pour quelques centaines de mètres encore, car après elle se jette dans l'Isère.
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Vieux village médiéval qui aurait mérité une visIte plus longue. Ne serait-ce que pour ces marques d'activité révolue.
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Commerces requalifiés en habitations, qui attestent d'une autre vie par le passé.
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L'auberge de ... A pied, à cheval ... mais encore?
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Encore un vestige du passé, avec cette pompe à bras à incendie, préservée.
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Depuis la terrasse du restaurant d'où je déjeune, je contemple l'imposant aqueduc du canal de la Bourne.
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En contrebas, se trouve un embarcadère où un bateau à roue façon Mississippi, permet de faire une petite croisière sur la rivière. Ce que je n'ai pas fait à cause de la hauteur d'eau qui ne l'autorisait pas.
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Les naufrages ne se passent pas seulement en mer ...
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Une roche ocre dans un paysage bien vert. Pas vraiment anachronique.
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A suivre et à bientôt.
5 commentaires
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