24 mars 2022 : Vergongeat se situe dans l'Ain à la limite du Jura. L'endroit est célèbre dans la région pour son trésor situé en pleine forêt. Je vous invite à venir le découvrir à ma suite.

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Au bout de la prairie, une vaste forêt s'offre à mon regard, dont le parterre est couvert de fleurs.

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Ici et là, croissent de petites fleurs marquant ainsi la naissance du printemps. Est-ce donc cela, le trésor de Vergongeat?

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 Certes, la violette reste une fleur prisée de beaucoup et peut prétendre être un trésor...

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Mais après quelques centaines de mètres de marche dans le sous-bois, apparaît ce pourquoi je suis venu ! Voilà enfin le trésor.

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Oui, c'est par centaines que je découvre toutes ces corolles jaunes.

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Elles poussent à l'infini parmi les ronces et les feuilles mortes.

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Quand je dis à l'infini, ce n'est pas mentir. Où que le regard se porte, il y a des jonquilles. 

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Une fleur éclatante, si artistiquement dessinée par Dame Nature.

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Et comme je respecte la nature, je n'ai cueilli, avec ma femme, que deux bouquets tenant dans la main, pour que je puisse y revenir une autre année.

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Et puis un autre cadeau de la Nature : cette éclosion de vert tendre...

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À bientôt

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24 octobre 2021 : Qu'importent les noms des clos, climats et villages traversés. Je n'ai retenu ici que la beauté que la nature m'a offert à travers ces paysages du vignoble bourguignon.

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La route s'élève doucement entre les vignes, révèlant à chaque virage, un panorama nouveau.

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C'est là que l'on se rend compte que la Côte-d'Or n'a jamais si bien porté son nom, qu'en cette saison d'automne.

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Par endroit, c'est en terrasse que la vigne est cultivée.

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Les petits villages paraissent endormis. Et ici, d'autres vignes, mais sauvages celles-là, participent à la fête.

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Si l'ensemble fait paraître une masse rouge,  plus près, l'aspect est complétement différent.

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Une opposition de couleurs de bon aloi.

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Les vignes s'accommodent des légers mouvements du terrain.

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On pourrait, à l'infini, photographier, mais il faut savoir se contrôler pour éviter de remplir la carte mémoire.  

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Non, ce ne sont pas des champs de tulipes... Je suis toujours dans le vignoble de Bourgogne.

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Quelle géométrie, soulignée par les ombres dans les rangs de la vigne.

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Les tuiles vernissées de ce domaine, nous rappellent que nous sommes bien en Bourgogne.

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Les vendanges sont terminées depuis quelque temps. Et rares sont les grains qui ont pu échapper à la récolte.

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Une dernière vue d'une belle région, et dont les noms font rêver tout amateur de grands vins qui se respecte.

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À bientôt.

Encore une petite série dans un rayon de  300 m autour de chez moi.

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À bientôt.

Un autre regard autour de chez moi (2)

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Toujours pendant mes promenades pour rééduquer ma hanche  -  27 juil 2023 

(Cela va de mieux en mieux)

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À bientôt.

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Venant de subir une opération pour une prothèse de hanche, mes déplacements sont limités à  20' de marche par jour.

 C'est l'occasion, pour moi, de fureter du regard pour trouver l'insolite, quand ce n'est pas le créer.  

Je vous propose donc de regarder ma pêche lors de mes sorties.

Ces photos ont été réalisées avec mon téléphone portable, retravaillées puis postées sur Instagram. Les voici donc sur EK sans légende. Puissent-elles vous inspirer.

Sortie du  24 juillet  2023

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 À bientôt.

Sellières - Jura , le  25 mai 2020 :  Aujourd'hui j'ai testé le bokeh, cet effet photographique qui donne un premier plan net sur un arrière plan flou.  Je ne pratique guère cette méthode. J'ai d'abord regardé quelques vidéos, puis je suis descendu dans mon jardin. Pour les spécialistes,  j'ai utilisé un objectif fixe  1/4 - 50. Ensuite, un petit traitement avec Lightroom et des recadrages car il ne s'agit pas ici, de macrophotographies

 À vous de juger.

Nota  : Les photos ne sont pas légendées.

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Et puis un invité surprise...

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En espérant ne pas avoir trop gâché les fleurs de mon jardin.

 À bientôt

Sellières, le 3 mai 2020 : Ma promenade au bord de la Brenne se poursuit. Je ne suis qu'à 200 m à vol d'oiseau de chez moi. Pourtant c'est un autre  monde.

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Le sureau est en pleine explosion

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Pour les pissenlits, du moins ceux-là, la saison est finie

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Par contre pour le marronnier de l'autre côté de la rivière, elle ne fait que commencer.

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Et ici un plan plus serré sur ses belles  fleurs. Dommage, je n'avais pas mon télé.

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La fameuse rivière au bout de la petite île.

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Même les ronces ont leurs fleurs, histoire de se faire pardonner leur côté piquant et parfois un peu trop attachant.

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Par contre ici, je suis sous le charme de ce mélange de nuances.

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 Voilà pour cette sortie dérogatoire de confinement.

À bientôt.

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Desnes : le 27 avril . Alors que je me déplaçais à titre professionnel, j'ai remarqué sur le bord de la route quelques coquelicots. Les premiers de ce printemps, cela ne se loupe  as.

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 Il n'y aura pas trop d'originalité dans mes prises de vues, au regard de l’exiguïté du terrain, coincé entre la route et le barbelé...

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Elles n'étaient pas beaucoup, mais comme le chante Brassens, elles m'avaient chauffé le cœur.

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Il y en aura d'autres, la relève est là.

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’inconvénient avec ces fleurs si frêles, c'est qu'au moindre souffle de vent ou au passage d'une voiture, elles s'agitent rendant la photo délicate.

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Alors quand on peut en figer une, on est  heureux.

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Elles sont en bordure de pâture, mais heureusement, les vaches sont dans un autre pré.  Sinon...

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Et  voilà, dans un format panoramique, leur environnement, qui ce soir est gorgé d'eau, suite à un violent orage.

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À bientôt.

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12 novembre 2019 : en attendant de photographier des trains qui ne passent pas,  j'ai le temps de quitter des yeux les voies et de tourner mon regard vers le vignoble bourguignon, à Prémeaux-Prissey (21), tout à côté de Nuits-Saint-Georges. 

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Nombre de photographes se plaisent à nous montrer les vignes après les récoltes quand les couleurs passent du vert au jaune, voire au rouge ou au marron. Cette fois-ci,  j'ai voulu aller plus loin, quand les vignes ont perdu leurs feuilles ou presque.

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Il reste encore bien des clichés à faire et quelques petits trésors à découvrir.

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Squelette dérisoire d'une grappe jugée sans doute trop petite, et qui a séché sur pied. 

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Par contre, celle-ci malgré son apparente fierté, a sans doute eu le tort de naître trop tard... 

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Dans le titre,  j'ai parlé de nuages, les voici mais encore bienveillants...

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Étonnante vision de deux parcelles traitées différemment.

 Certes la différence ne saute pas tout de suite aux yeux... (réponse à la fin de l'article).

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Plus au sud, les nuages sont apparus et avec eux des ondées. Par chance,  je serai épargné.

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La masse nuageuse évolue rapidement. Toutes les cinq minutes,  j'aurais pu faire des photos.

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Une trouée dans les nuages et le soleil reprend ses droits avant d'aller se coucher. 

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 À bientôt.

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Réponse : Les deux parcelles ont été traitées différemment.

L'une à gauche a conservé quelques feuilles, l'autre à droite, pas du tout. Effet d'un traitement  mécanique ?  De plus, celle de droite est plus enherbée.

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Fin de la promenade dans ce jardin extraordinaire où la nature s'exprime en toute beauté, aidée malgré tout en cela, par la main de l'homme.

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Ici cet étang, ou grande mare, peut paraître plutôt peu ragoutant. Et pourtant, il fourmille de vie.

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A l'exemple de cette jolie grenouille, heureuse de se trouver là. Enfin,  je pense...

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La touche asiatique est bien présente. Mais  j'avoue ma lacune pour vous expliquer ce que cela signifie.

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Petit amusement à comparer avec la photo suivante. Ici la photo est prise au  1/640 s et ouverture 2,8.

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La même  fontaine dont le mouvement est identique mais vu à 1/4 s et ouverture  f:22. Toute la différence est là, dans les différents réglages de l'APN.

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Le petit pont japonais (?)  fait la liaison entre les différents espaces.

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Ultime regard sur la "forêt" de lotus...

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Et une dernière image en double de cette magnifique fleurs.

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Enfin, un peu avant la sortie, celles qui à leur manière, sont aussi les reines du domaine, les carpes koï.

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Merci de m'avoir accompagné, et à bientôt ailleurs en France.