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Par Albert Lupus le 5 Mars 2019 à 22:19
Eau et montagne, oui c'est ce qui caractérise ce reportage. Mais pour cette première partie, il ne s'agira que d'évoquer la montagne, tout en gardant à l'esprit que c'est l'eau qui l'a façonnée en grande partie.
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C'est par les petites routes que je rejoins Pont en Royans. Nous sommes en Isère et plus précisément dans le Vercors. En bas la plaine de St Jean en Royans.
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La route se fraye un chemin à flanc de montagne et l'on peut juger du travail d'érosion accompli par l'eau il y a quelques millions d'années.
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À certains endroits, il a fallu creuser des galeries pour faciliter le passage des hommes.
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En contrebas, quelques hameaux disséminés le long de la vallée de la Bourne qui sort ici de de son défilé.
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Heureusement que je ne circule pas en camping-car... D'ailleurs, on ne se bouscule pas sur ces routes et j'ai pu prendre mes photos sans risques
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Après l'entrée de la galerie, la sortie. Pas possible de se croiser à deux véhicules. Mais le cas ne s'est pas produit...
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À présent, cap sur Pont en Royans, où l'eau remplacera la montagne, enfin presque.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 25 Février 2019 à 22:38
6 septembre 2018 : Fin de ma visite de Chatillon en Diois. Une promenade très plaisante, de rues en ruelles où les plantes ont droit de cité à côté des fontaines rafraichissantes.
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Comme écrit plus haut, les plantes et fleurs sont partout dans les rues.
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Une nouvelle fontaine. Le poète inconnu l'a ainsi immortalisée :
Jardin suspendu
L'arrosoir habite là
Et puis ensuite?
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Étrangement, cela me rappelle quelque chose, pas vous?
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Et toujours ces arcs qui sans être de triomphe méritent notre regard.
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De nouveau une fontaine (il y en a 17 ...) et de nouveau un poème :
Clapotis du bois
Margelle bien humide
Mesure du temps.
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Ça y est, j'ai trouvé. Notre poète inconnu s'est exerce à rédiger ces poèmes sous forme de haïkus (poèmes d'inspiration japonaise), soit 5, 7, 5 syllabes par vers.
Et dire qu'il m'a fallu 5 mois pour m'en apercevoir ...
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Tiens la tour de l'Horloge. C'est inimaginable le nombre de tours de ce style que l'on peut rencontrer dans nos vieux villages.
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La grande fontaine de la place du Reviron avec 'arbre de la liberté (un tilleul aujourd'hui). Au fond, la mairie, coincée entre la tour de l'Horloge et le temple protestant, construit sous la Révolution en 1792 sur l’emplacement de l’ancien temple édifié en 1610.
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Construite hors les murs, entre 1688 et 1705, voici l'église Saint Julien. Elle a remplacé l’église Saint-Nicolas, trop exiguë pour accueillir les « nouveaux convertis » . L’église se distingue, extérieurement, par son clocher-mur. À noter le commerce établi juste à côté.
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Il est temps pour moi de refermer ce dernier volet de Chatillon en Diois, non sans vous avoir montré qu'ici, en matière de volets, on en un connaît un paquet ...
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À bientôt.
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Par Albert Lupus le 24 Février 2019 à 22:40
26 mai 2018 : Voyage éclair à Salon de Provence. Étant en famille, je n'ai pas eu trop l'occasion de flâner en ville. Alors, voici juste quelque photos d'une ville qui mérite mieux que cet aperçu.
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Dans le vieux Salon, certains immeubles ont été décorés façon trompe-l'œil. Afin de ne pas faire d'erreur dans leur description, je vous livre à côté les panneaux d'explications.
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À peu de distance, on trouve l'église Saint Michel construite au début du 13ème siècle.
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Monument emblématique de Salon, la tour de l'Horloge. Elle fut achevée sous Louis XIV.
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Elle sonne les quarts, les demies, les heures mais indique aussi les phases lunaires. Côté Nord, une sphère décrit les mouvements de la lune. Côté Sud, comme ici, on trouve les jours de la semaine évoqués par la Lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus, Saturne et le Soleil.
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Près de la place Crousillat, cette statue est assez déroutante. Je n'ai pas trouvé d'explication à cette posture.
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Enfin ce qui reste l'endroit le plus couru de Salon, place Crousillat, la Grande Fontaine. Cette fontaine-abrruvoir, érigée en 1775, est constituée de deux vasques.
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La mousse a bien envahi l'ensemble, lui conférant un certain charme.
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L'eau continue de couler en longs ruissellements que le vent semble vouloir emporter...
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Bien court ce reportage, j'en conviens.
Alors, à bientôt pour un autre regard sur un autre endroit méditerranéen
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 20 Février 2019 à 22:53
2 octobre 2018 : l 'occasion m'est donnée de me rendre à Paris pour une réunion nationale.
Je vais pouvoir en profiter entre deux séances de travail, pour faire quelques photos. Paris, je connais, j'y ai travaillé 21 ans ...
Alors pas de vues de monuments, mais des photos de tous les jours, un peu en délire, pour coller pour une fois, au titre de ce blog.
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Pour aller à Paris, un moyen simple : le train. Embarquement à Dole. Avec les TGV, la province est la banlieue de Paris.
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Street art dans le métro? Non, panneau d'affichage publicitaire en cours de nettoyage.
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Les couloirs du métro sont bondés? Je ne sais pas où vous avez vu cela. À moins que vous ne regardiez les infos à la télé...
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La vie de presque tous les jours dans le métro à Paris au rythme des Iphone et autres smartphones.
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Les petits commerces parisiens qui font tant le charme des petites rues.
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Les chevaux des temps modernes. Mais où sont les cavaliers?
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9 commentaires -
Par Albert Lupus le 13 Février 2019 à 22:51
25 mai 2018 : Toujours sur un bateau à naviguer sur les canaux.
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En approche d'Aigues-Mortes, toujours sur le canal du Rhône à Sète, il y a du trafic.Le nom d’Aigues-Mortes provient des marais et des étangs qui s'étendaient autour du village et aussi du fait qu'il n'y a jamais eu d'eaux vives à Aigues-Mortes
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La Tour de Constance érigée à partir de 1242, à Aigues-Mortes, par Saint Louis, nous salue à notre passage. La tour a un diamètre de 22 m. Sa hauteur, au sommet de la lanterne, est de 33 m. L'épaisseur des murs, à la base est de 6 m.
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Après la révocation de l'édit de Nantes, la tour de Constance servit de prison pour les femmes « hérétiques », les protestantes.
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Le bateau à présent abandonne la ville en longeant les remparts qui encerclent celle-ci.
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L'endroit est bien connu pour ses marais salants et les montagnes d'or blanc qu'ils permettent de constituer. C'est le domaine de la compagnie des Salins, dont une des marques familières apparaît sur un mur au fond à gauche.
Malheureusement, je n'ai pas pu faire de photos des tas de sel, car j'étais trop bas par rapport à leur éloignement et la végétation.
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Tranquillement, nous poursuivons notre marche pour retourner au Grau du Roi, alors que la tour de Constance continue de surveiller les accès.
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Et enfin, une image que j'attendais dans cette petite Camargue, celle de flamants roses. Une vision éphémère et pas facile à gérer.
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Voilà pour cette promenade en bateau qui n'était pas inintéressante au point de vue histoire, mais un peu décevante en matière de paysages et d'animaux.
Il me restera à visiter l'intérieur de la ville, mais ce sera pour la fin de mon séjour.
À bientôt.
4 commentaires -
Par Albert Lupus le 12 Février 2019 à 18:43
16 septembre 2018 : Pour la suite de la visite, il me faut prendre un peu d'altitude. Le vieux sentier (la montée du Tricot) qui quitte le centre du village va m'y aider.
Village botanique et médiéval blotti au pied des falaises du Vercors, le village a conservé de son passé d’étroites ruelles et 20 fontaines.
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Effectivement ces fontaines jalonnent les rues et ruelles, chantant à l'oreille du passant mais le rafraichissant aussi si besoin est. Le petit plus est apporté par ces inscriptions qui sortent ces fontaines de l'anonymat . Comme ici à la fontaine du Tricot :
"Au coin de la rue
Doradille chevelue
Fontaine dodue".
"
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Un château a été érigé sur les hauteurs du village. Mais il a été abattu en 1573, pour qu'il ne devienne pas un lieu de repli pour les Réformés. Quelques vestiges subsistent mais ils sont dans une propriété privée. Sur le chemin de ce que j'escomptais être le chemin du château, j'ai trouvé ce petit havre de paix (privé lui aussi, du moins je le pense).
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Je n'ai eu qu'à regagner la route toute proche pour jeter un œil sur le panorama offert aux habitants du cimetière dont on distingue le mur d'enceinte à gauche.
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Ce cimetière est adossé à la falaise dont les couleurs et les formes sont intéressantes à étudier pour comprendre le lent travail d'érosion de la nature.
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Une nouvelle fontaine, la fontaine du château, dans un style différent de celui de la précédente. Donc pas de monotonie de ce côté là et toujours de la lecture :
"Fontaine bienvenue
Pour chat sans domicile
Drôle d'estaminet."
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Même une voiturette sans permis n'aurait pas sa place en ces lieux. Et même pour se croiser à pied, il faut raser les murs.
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Voici les vestiges de ce qui fut une église, l'église Saint Nicolas, construite vers 1200, au pied du rocher du château. En mauvais état, elle fut abandonnée en 1688. Il ne reste que la voûte romane du chœur et les vestiges d'une fenêtre côté sud, intégrée à présent dans le mur d'une maison. L'église a été démolie en 1705.
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Enfin, une particularité de la cité est d'être un village botanique. Celui-ci comprend un minimum de 150 variétés de plantes choisies sur un thème particulier et implantées dans le village dans le but d'améliorer le cadre de vie et l'aspect touristique. Chaque variété est étiquetée.
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À bientôt. Et merci de vos visites.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 9 Février 2019 à 22:11
25 mai 2018 : Après le repas sur le port, embarquement pour un tour sur les canaux.
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Une petite promenade d'une heure trente pour tenter de comprendre un peu mieux la Camargue, que depuis la voiture.
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Au départ du port du Grau du Roi, nous remontons le Vidourle sur un cours rectiligne mais sans grand intérêt photographique, hormis les vagues commises par notre bateau.
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Par le passé, ce fut un bateau ...
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Et puis le capitaine nous avertit, nous approchons d'un lieu où l'on peut trouver des guêpiers.
Déjà sur la terre ferme, il faut s'armer de patience pour les photographier, alors en bateau ... En vol, ils vont très vite et un APN ordinaire ne suffit pas. Heureusement, j'en vois un, posé sur une branche. Avec le 70 x 300 et un peu de chance, j'ai enfin un guêpier !
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Pour comprendre la difficulté de la prise de vue, avec un objectif standard, voici une photo avec un autre guêpier sur son arbre. Si, je vous l'assure !
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Une des particularité du parcours, nous quittons le Vidourle pour emprunter le canal du Rhône à Sète. Les deux cours se croisent à niveau. Alors pourquoi cette porte gigantesque?
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Et il a deux portes comme cela qui peuvent barrer le canal.
Le système d’écluses isole le canal du Rhône à Sète lorsque le Vidourle est en crue.
Les imposantes portes métalliques ont été construites pour protéger le canal mais aussi la cité d’Aigues-Mortes en cas de crues du fleuve que l’on appelle dans le pays « les Vidourlades ».-=-=-=-
Que serait la Camargue sans ses chevaux. Malheureusement trop rares durant cette promenade.
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Un autre des hôtes de ces lieux :un héron.
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La suite, bientôt.
7 commentaires -
Par Albert Lupus le 4 Février 2019 à 22:50
16 septembre 2018 : Toujours à Châtillon en Diois à arpenter les rues..
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On sait que les chats aiment grimper. Mais là, ils étaient bien haut et j'ai failli passer en dessous sans les voir.
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Des maisons rénovées et des ruelles propres à emprunter, un plaisir pour cheminer dans la vieille ville. Plus précisément, au-dessus de la rue du Fossé.
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Et à présent, dans la rue du Fossé. On comprend mieux son nom.
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Depuis ce joli pont fleuri, une vue sur les monts de Glandasse, aux portes du Vercors.
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Le ruisseau dévale un lit ménagé pour lui avant de rejoindre le Bès.
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Le Diois est connu pour son vin. Mais si voyons, la Clairette de Die, ça vous parle?
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Une église? Oui mais protestante.
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Voilà pour aujourd'hui et donc à suivre.
4 commentaires -
Par Albert Lupus le 2 Février 2019 à 22:19
25 septembre 2017 : Dernier jour de mon court séjour en Languedoc.
Passage à Sète où je suis arrivé avec la pluie... Mais heureusement, elle a fini par cesser. Trop peu de temps à consacrer à la ville, juste un passage par le port.
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Dans les eaux du port, je découvre un OFNI (Objet Flottant Non Identifié) ... mais que j'identifie très vite comme étant une méduse !
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Elle ira comme cela, son petit bonhomme de chemin, retournant tout doucement vers sa mer natale...
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Ayant laissé partir la méduse, je m'intéresse à ce qui fait, en partie, la renommée du port, à savoir la pêche. D'où cette flottille au repos le long des quais. Mais ce qui frappe...
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Ce sont ces gros bateaux de pêche. Des senneurs pour la pêche au thon. Il faut savoir qu'il y a des quotas de prélèvement de thons rouges, d'où une population en constance évolution. Au premier plan en bleu, le CISBERLANDE 5 (ST 923751) a droit à un quota de 201,77 t pour l'année. Derrière, le JANVIER GIORDANO (ST 819571) a droit lui à 137,7 t.
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Par contre, ici le JEAN MARIE CHRISTIAN VI est autorisé à 306,7 t.
Pour 2018 les quotas de pêche au thon pour les bateaux professionnels inscrits en Méditerranée étaient de 4 391 tonnes (contre 3 726 tonnes en 2017) pour 20 senneurs (au lieu de 17 en 2017) et 118 petits métiers disposant d’une autorisation de pêche.
Il faut aussi savoir que la campagne de pêche au thon ne se pratique qu'à partir de la fin du mois de mai et pendant un mois. Bien souvent, vu les quotas, les navires reviennent au port après deux semaines.
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Ils sont taillés pour la haute mer, puisqu'ils vont aller en Méditerranée, en mer des Baléares, ou en mer de Sicile au large de Malte.
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Pendant onze mois, ils vont attendre la prochaine campagne, bénéficiant je l'espère pour eux de soins qui ne les rendront pas à l'état d'épaves trop tôt...
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Et c'est avec ce ciel bleu revenu que je vais quitter le Languedoc pour y revenir courant 2018 et en ramener d'autres photos.
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À bientôt
5 commentaires -
Par Albert Lupus le 9 Janvier 2019 à 22:01
Le Grau est un terme occitan signifiant « estuaire » ou « chenal », dérivé du latin « gradus » signifiant « pas, degré » ou du gallo-roman d'origine gauloise « grauus » signifiant « grève, rivage sablonneux, plage » (source Wikipédia). Ça, c'est livresque. Mais le mieux, c'est d'aller sur place pour le vérifier.
Alors, 25 mai 2018, une petite escale au Grau...
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D'évidence, le Grau du Roi est situé près de la mer. Les bateaux de pêcheurs en sont la preuve.
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La présence du phare me le confirme. On l'appelle à présent le vieux phare. Construit en 1828, il a cessé ses fonctions en 1869. Il est maintenant classé monument historique.
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Depuis la sortie du port, on a vue sur la côte héraultaise (ici on est dans le Gard) et notamment La Grande Motte et plus à gauche Carnon.
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Depuis le pont tournant, une photo carte postale. Je n'aime pas trop ce genre, mais bon... L'endroit est plein de restaurants. Et comme c'est l'heure je vais en profiter.
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Installé à une table au bord du canal, je profite du soleil. Un avant-goût de vacances en ce mois de mai. Mais je ne suis pas seul, il y a quelques mendiants.
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Petite promenade en bord de mer pour la digestion. Ce n'est pas la grande foule sur la plage.
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Mais tout à coup, la vie s'arrête. Les regards se portent vers le ciel. S'agirait-il d'un remake de Pearl Harbor?
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L'avion fait un premier passage. Du coup son numéro me rassure : 39 comme mon département : le Jura ! La fièvre retombe !
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Mais que se passe-t-il? Après un second passage, l'avion semble vouloir se poser ou amerrir?
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La suite très bientôt.
4 commentaires
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