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Par Albert Lupus le 15 Janvier 2024 à 17:55
26 décembre 2023 : Dans le cadre de mon activité journalistique, je me suis rendu dans une ferme où la propriétaire (76 ans), met un point d'honneur à réaliser une crèche gigantesque. Je vous invite donc à la visite de ce petit monde où 330 personnages évoquent la vie des campagnes profondes de France.
Un voyage sans parole, juste pour le plaisir des yeux...
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Avec une pensée pour Sophie (Pastelle - son blog photo ) qui aimait les crèches et en réalisait plusieurs chez elle.
À bientôt.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 5 Novembre 2023 à 11:57
24 octobre 2021 : Poursuite de la découverte des œuvres du street-art dans la carrière de Villars-Fontaine.
Et on a le droit de ne pas aimer... Pour ma part, je n'aime pas tout !
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Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas de la sculpture, mais bien de la peinture à la bombe.
Un lien
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Là, honnêtement, je n'ai pas cherché à comprendre. Quel est le sens de cette calligraphie pseudo-orientale ?
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Art moderne ? art naïf ? Un sourire enfantin pour une naissance dans un nid ? Ce n'est que mon interprétation !
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Au début, j'ai cherché. Puis j'ai vu l'homme. Danse-t-il ? Se bat-il ?
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Enfin, voilà quelque chose qui me parle : cette œuvre allégorique qui rend hommage à la vigne. Nous sommes en Bourgogne.
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Là encore, on évoque la vigne et le vin et la nature.
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Une réalisation qui me laisse de marbre...
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Certainement l'œuvre la plus fouillée de la carrière. Bacchus doit être content.
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Et enfin, un travail qui m'émeut beaucoup par la tendresse qu'il dégage, sa finesse et son rendu.
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Comme on peut le constater, il y en a pour tous les goûts. Mais au-delà de l'aspect artistique de ces réalisations et de l'émotion qui peut s'en dégager, il faut reconnaître le travail accompli par ces artistes dans des conditions qui sont loin d'être celles d'un atelier de peinture classique.
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À bientôt.
5 commentaires -
Par Albert Lupus le 24 Octobre 2023 à 18:48
24 octobre 2021 : Villars-Fontaine (Côte-d'Or). Une ancienne carrière d'exploitation de pierre de Comblanchien de plus de 160 millions d'années qui a été abandonnée en 2003. Un impressionnant front de 250 mètres de long et 15 mètres de haut se dresse. Un lieu de travail tout trouvé pour les artistes du street-art.
Il s'agit de la KARRIERE, lieu dédié à un festival du street-art en août, mais aussi de concerts.
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Dès l'entrée dans la Karrière, on est dans l'ambiance avec ces personnages qui vous accueillent.
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Puis le regard se tourne vers le fond de la carrière où se trouvent les réalisations des artistes.
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Je vais donc faire le tour pour découvrir ces œuvres qui n'ont rien à voir avec les tags sauvages que l'on trouve sur nos murs.
Ici, l'artiste semble s'être inspiré de la nature environnante et, à sa manière, a sans doute voulu combler les vides de celle-ci.
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Une meute de loups plus grande que nature. Certainement pas facile de peindre en tenant compte des aspérités de la muraille.
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Ici, un tout autre travail qui nous ramène au temps des cathédrales et des sculpteurs de pierre.
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'avoue ne pas avoir saisi l'inspiration de l'artiste, mais je remarque qu'il mêle savamment les courbes et la rectitude des lettress.
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Un patchwork original pour un coq...
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Que ce chat me paraît fier ! Peut-être en raison de sa taille comparée à celle de la statue grandeur nature en bas à gauche.
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Arche de la Défense ou allusion aux temples égyptiens. Tout est dans la perspective.
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Bonne visite et à bientôt pour la suite.
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Par Albert Lupus le 17 Octobre 2022 à 00:08
16 octobre 2022 : Pour une fois, je vais sortir des sentiers battus en vous présentant quelques aspects d'une exposition consacrée à une artiste jurassienne, Josette Coras, née à Montain (39) - 1926 - 2008 . Exposition dans son village natal.
Nota : Il serait vain de vouloir tout présenter de cette magnifique exposition. Il ne s'agit donc que de quelques photos pour apprécier les nombreux talents de l'artiste.
Autre remarque au sujet des photos. Les œuvres étaient présentées sous verre. Donc présence parfois indésirable de reflets. Photos réalisées avec l'accord des organisateurs. Merci à eux.
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Croquis marocains (1949) - Aquarelles, crayons, papiers déchirés et découpés, collés.
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Cours de dessin à Lons le Saunier vers 1900 (d'après photo) . Diorama, bois et gouache. Il s'agit là d'une œuvre réalisée en relief, sur plusieurs plans, dans un coffret (1950).
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Bouquet de tulipes ( vers 1940) - Papiers déchirés - voir détails ci-dessus.
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Josette Coras décora également des faïences de Salins aves de s paysages de sa région (abbaye de Baume les Messieurs - en haut et au centre - château du Pin en bas à droite) 1960 - 1970.
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Josette Coras découvrira la gravure et réalisera à partir de papiers gravés, des œuvres sublimes, comme ici : Les duplices - l'arbre - gravure inversée tête - années 1980 en bas.
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Une autre évolution du papier gravé, avec une nouvelle fois, l'Arbre, toujours en relief (1980)
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L'homme volant (Relief en papier gravé après 1983)
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Encore un "homme volant" mais en aplat . (1983)
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Autre œuvre remarquable de Josette Coras, "Eve sortant de la côte d'Adam. Années 1980
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Baume les Messieurs (Aquarelle - 1992 ) Les falaises ont fait partie de l'environnement de Josette Coras.
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"La pensive" et "Femme cascade"
Deux étapes d'une gravure. La gravure initiale "La pensive" s'est intégrée dans la représentation des cascades des tufs à Baume les Messieurs. (Gravure au burin. Années 1970 - 1980)
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Josette Coras n'a pas oublié son village, Montain. En voici une vue. Aquarelle - 1979
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Exposition visible à la mairie de Montain, les 22 et 23 octobre 2022.
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7 commentaires -
Par Albert Lupus le 27 Septembre 2021 à 20:48
26 septembre 2021: Changement radical dans mes choix photographiques. Je quitte pour un instant les paysages pour le plonger dans la démarche de jeunes artistes réunis l'espace de quelques jours pour réaliser une œuvre.
C'est à Bletterans, dans un hall d'entrepôt désaffecté, que le Collectif Freed from desire ( Mégane Brauer, Léa Laforest et Anne Claire Jullie) avait invité Léonore Camus Govoroff, Gaétan Duverger, Younyi Guan, Lena Longeray, Alexandre Nicolle et Janna Zhiri à créer une exposition.
Tous ces jeunes sont sortis il y a peu d'écoles d'art. Leur vision artistique est profondément contemporaine, peut-être provocatrice mais surtout novatrice.
J'ai bien conscience que le contenu de ces photos ne plaira pas à tout le monde et c'est dans le cadre d'un reportage pour mon journal que j'ai fait ces clichés.
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Nota : pour ne pas trahir la réflexion des artistes, j'ai retranscrit sous les photos, les textes explicatifs qu'ils ont commis pour nous guider.
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Pour débuter et vous mettre dans l'ambiance, une petite photo d'ensemble. Et ne vous y trompez pas, on est bien en présence d'une exposition des œuvres de jeunes artistes.
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Janna Zhiri : " Fontaine ascendant poisson, fontaine je perds-pieds, boule de cristal où l'avenir est inscrit sur les lignes de pieds et les langues tentacules les caressent à souhait.
Fontaine avec lentilles en train de germer, bientôt vont pousser, les orteils se délectent, poussent de se sentir caresser."
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Léonore Camus Govoroff : " J'ai récolté des objets, des ordures et des instants.
Les couchers de soleil, le chantier du rond-point, les cendres derrière le bâtiment, les vieilles canettes abandonnées, les fruits des buissons, des arbres. Les églantiers qui donnent des baies, sont aussi appelés les rosiers des chiens, je leur ai écrit un poème et fait un autel, allumé des bougies devant mon coucher de soleil. "
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Yunyi Guan : " En manipulant les tissus, je crée des enveloppes qui participent à la mise en forme de mes sculptures et je laisse des espaces de respiration à l'extension de la mousse expansive.
L'écoulement des formes et de la matière sont orientées par la gravité et la verticalité, puis elle continue à couler pendant mon absence. Chaque sculpture est une surprise de mes expérimentations sur la combinaison des matériaux. Les différents tissus sont à la fois des contraintes et à la fois des possibilités de créer des surfaces variées. À travers ce projet, je pars à l'aventure et une recherche tactile avec la matière quasi-vivante. "
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Gaëtan Duverger : " L'installation présentée ici, cherche à rendre hommage à la bagLady à travers son objet symbole la caractérisant : le sac. La bagLady, c'est la figure urbaine de cette femme souvent racisée ne sortant jamais sans son sac de courses. Pendant le temps de la résidence, une attention particulière a été portée à chaque sac avec la pose de chaque petit élément décoratif. "(Nota : ici des étoiles)
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Lena Longeray : " Le crachat de lune est le nom vulgarisé d'une cyanobactérie appelée Nostoc. Le Nostoc recouvre les sols appauvris et agit comme un engrais. Une variété est présente ici sur les bords de la rivière. Cette installation rassemble chant et sculptures. Le public est invité à écrire des vœux, ils seront recouvert par le crachat de la lune qui agira comme un fertilisant.
Ce travail est une interprétation littérale d'une dénomination, une augmentation de son potentiel poétique mais et également considéré comme une proposition de regarder le monde et la nature d'un autre point de vue ; depuis une position où tous les désirs, les vœux et les projets ont de la place pour exister.
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Alexandre Nicolle : " Je suis arrivé sans avoir fait aucune recherche sur Bletterans et ses alentours pour être le plus neutre possible. J'ai passé les deux premières journées à approcher le territoire, relever des éléments du paysage et collecter des informations à propos de la région. J'ai ensuite composé les peintures avec ces éléments , entourées de leurs cadres croûte, référence non dissimulée au pâté croûte, que je crois apprécié dans la région. La peinture quand elle est médiocre, est appelée une croûte, ici une croûte en croûte. Sans autre prétention que rendre compte du temps passé ici et d'inviter à regarder ce qu'on ne voit plus. "
Nota : la première peinture est une allusion à la première rencontre du peintre avec les trois jeunes filles du collectif.
La seconde est le portait d'une tranche de pâté en croûte.
Et la dernière est un clin d'œil à un fromage originaire de la région...
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Bref, une exposition à regarder par le petit bout de la lorgnette pour en décrypter les subtilités qui pourront peut-être échapper à certains. Pour ma part, j'ai aimé cette liberté prise avec le côté traditionnel de l'art conventionnel. Ici, l'intellect du créateur s'est exprimé pour mieux titiller celui du visiteur.
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Rappel : les textes n'engagent que leurs auteurs.
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À bientôt pour retrouver les paysages de mes vacances ou pas.
3 commentaires -
Par Albert Lupus le 8 Juin 2021 à 15:28
Mes dernières productions toujours au crayon aquarellable ( crayon de couleur, puis mouillé au pinceau d'eau).
Résultats variables avec plus ou moins de réussite.
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Coucher de soleil à Palavas
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Les grèbes.
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Dans le cosmos...
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Cimetière breton.
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À bientôt.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 17 Mai 2021 à 21:48Première utilisation des crayons aquarellables. Pas évident à appréhender mais plaisant à travailler.Une vue de l'étang de Thau à Balaruc les Bains…J'ai utilisé des crayons Stabiloaquacolor. On dessine comme avec un crayon de couleur puis on passe un pinceau humide dessus. Mais à travailler par petites touches. A la fin, on a une aquarelle. C'était la première fois que je m'y essayais. Besoin de me perfectionner pour mieux doser la couche de couleur, c'est-à-dire appuyer plus ou moins fort sur le crayon pour obtenir la bonne densité de couleur. C'est dans doute le plus difficile.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 15 Mai 2021 à 20:50
Voici une aquarelle sur papier humide pour la première et sur papier sec pour la seconde. Pourquoi deux exemplaires, me direz-vous? Tout simplement parce que la n° 1 ne me plaisait pas... Je vous laisse juge.
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Papier humide
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Papier sec.
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À bientôt.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 10 Mai 2021 à 18:16
Voilà quelque temps déjà, que je n'avais pas retouché les pinceaux. Délaissant pour un moment, la peinture à l'huile, je me suis tourné (ou tourné à nouveau vers l'acrylique - 1ere peinture - et l'aquarelle pour les deux dernières.)
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À bientôt avec des photos bretonnes de 2020.
4 commentaires -
Par Albert Lupus le 27 Septembre 2020 à 22:25
31 octobre 2019 :Tous les ans à l'automne, la place Stanislas se couvre d'un jardin éphémère. En 2019, c'était la 16 ème édition dont je vous livre le thème :
"Le 16e jardin Éphémère est né d’une image dans un catalogue d’exposition, celle de la dernière création verrière d’Emile Gallé, figure emblématique du mouvement artistique de l’École de Nancy. La « main aux algues et aux coquillages » de 1904 est le ferment qui a ensemencé la création végétale et culturelle de la place Stanislas."
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Avant toute chose, une idée de ce que représente ce jardin éphémère.
Ensuite, je ne commenterai que très peu les photos, n'ayant pas les renseignements nécessaires relatifs aux concepteurs et à leurs réalisations.
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Lu sur le panneau en arrière : "Les plantes poussent à même le pavé, de chaque côté des tunnels d'acier pour mener le visiteur à l'extrémité de l'ongle, jusqu'aux courbes striées de l'empreinte digitale."
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Heureusement pour Stanislas, sur son socle, il est au sec.
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Entrée des artistes... le théâtre est juste derrière.
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Stanislas compte et recompte les plantes, craignant qu'on en dérobe...
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Reflets et pièces de monnaie...
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Les objets dont les reflets étaient visibles sur la photo précédente.
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Effet chromo, comme dans le temps !
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J'avoue ne pas avoir compris la démarche de certains artistes...
À bientôt pour la suite.
6 commentaires
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