• 21 juin 2022 : C'était il y a plus de deux ans déjà. J'ai bien du mal à rattraper mon retard... Mais les photos, quelque part, restent intemporelles.

    Voici donc une dizaine de clichés du côté de l'étang de Vaccarès. Des images difficiles à vous présenter, car le temps n'était pas avec moi et j'ai été obligé d'intervenir avec de nombreuses retouches pour qu'elles soient lisibles. Sans parler d'un problème de poussières sur mon objectif...

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Un vaste étang :  6500 ha...  Oasis pour plus de 300 espèces d'oiseaux.  Sans parler des poissons. En attestent ces filets de pêcheurs.

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Vue dégagée... sur le lointain

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Près du mas de la Capelière, vision de premiers flamants roses.

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    En passant au 70 x 300, on les voit un peu mieux, tandis qu'ils cherchent leur nourriture en cet endroit de prédilection.

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Puis un peu plus loin, une colonie plus importante.

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Deux flamants, deux positions, mais une même liberté d'action au sein du parc naturel de la Camargue, dont fait partie l'étang de Vaccarès  

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Puis en faisant le tour de l'étang, arrivée du côté domaine de Méjanes. Et découverte d'une autre espèce bien connue de la région, à savoir les taureaux de Camargue.

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Pas spécialement envie de m'approcher d'eux. Heureusement, le téléobjectif démontre, ici, son utilité.

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Autre habitant des lieux, le cheval camarguais. Un animal magnifique dont l'homme, ici, ne saurait se passer pendant son travail au sein des manades.

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    Vaccarès : D'eau et de terre

    Un tête-à-tête bien sympathique, malgré quelques mouches.

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    Merci pour votre passage et à bientôt.

     


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  • 20 juin 2022 : Avec les photos suivantes, on va passer de Frontignan à Sète.

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    Front de mer à Frontignan  (2 - fin)

    Il ne doit pas être jeune, mais il est bien entretenu. Moins clinquant que certains autres plus modernes, il me plaît bien.    

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    Front de mer à Frontignan  (2 - fin)

    Ouverture sur la Grande Bleue qui ici serait plutôt la Grande Verte.  Tiens, un bateau au loin.

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    Front de mer à Frontignan  (2 - fin)

    On a quitté Frontignan pour Sète pour un endroit que j'aime bien : le quartier de la Pointe courte et son port si typique. 

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    Front de mer à Frontignan  (2 - fin)

    Un village de pêcheurs qui sait vous prendre dans ses  filets.

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    Front de mer à Frontignan  (2 - fin)

    Rencontre avec le street art et la daurade d'un artiste appartenant au collectif La Maise. Un peu trop grosse pour le chat en arrière-plan.

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    Front de mer à Frontignan  (2 - fin)

    Et puis au hasard des petites rues du quartier, un peu de couleur dans cette grisaille du jour.

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    Front de mer à Frontignan  (2 - fin)

    Retour sur le canal Royal pour y découvrir ces superbes embarcations dont j'ignore malheureusement l'utilité

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    Front de mer à Frontignan  (2 - fin)

    Et enfin, ce qui fait l'une des spécificités de la ville de Sète, ce sont ces célèbres barques pour les jouteurs. Des joutes très populaires dans la région et qui attirent toujours plusieurs centaines de personnes.

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    À bientôt.


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  • 20 juin 2022 :  Un regard du côté de Frontignan, loin du pôle industriel.

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    Front de mer à Frontignan

    Toutes hélices dehors.

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    Front de mer à Frontignan

    On ne peut pas dire ici : toutes voiles dehors. Ce serait plutôt : collé, serré.

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    Front de mer à Frontignan

    À mon avis, elle a trouvé de quoi se substanter.  Mais quel contraste de couleurs.

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    Front de mer à Frontignan

    Une photo pour montrer que ce port n'a rien de  naturel... 

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    Front de mer à Frontignan

    Il faut commencer petit pour être grand plus tard.

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    Front de mer à Frontignan

    Pour une fois, il y avait un peu de vent et quelques vagues sur la Grande Bleue.

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    Front de mer à Frontignan

    Une maigre végétation pour tenter de… De quoi d'ailleurs ? Hormis l'occasion de permettre à un photographe de faire une photo avec un premier plan. 

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     À bientôt pour une petite suite.


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  • 19 juin 2022 : le jour où...

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    Ce jour-là, j'ai découvert le cirque de Mourèze, dans l'Hérault. Un   événement dont je me souviendrai, à plus d'un titre. En voici, succinctement, les raisons.

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    Un amour pour Mourèze

    Je vous laisse apprécier le décor. 

    J'avais donc trouvé sur Internet un itinéraire parcourant une partie du cirque de Mourèze. Itinéraire que je décidai d'emprunter.

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    Un amour pour Mourèze

    Le site est grandiose, mais cache bien son jeu. Par le passé, j'ai beaucoup randonné, mais au fil du temps, cette activité a bien décliné et c'est là que j'en ai subi les conséquences. 

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    Un amour pour Mourèze

    Il faut imaginer un sentier qui passe au pied de falaises resserrées. Un sentier peu marqué par des balises et qui requiert une attention constante pour ne pas s'égarer.

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    Un amour pour Mourèze

    Parti avec mon épouse pour une balade, somme toute tranquille, nous ne sommes équipés que de baskets... Nous n'avons même pas pris à boire alors que le soleil tape fort en plein après-midi. Heureusement, le paysage nous aide à supporter les embûches du chemin. 

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    Un amour pour Mourèze

    Car le chemin, le sentier, voire la trace du passage nous révèle bien des surprises. Il faut descendre, grimper, sans arrêt. Mon épouse a quelques ennuis de santé qui l'obligent à s'arrêter toutes les dix minutes. Nous n'en connaîtrons la cause que deux ans plus tard... Quant à moi, une douleur persistante dans un genou, me prive d'une grande partie de ma mobilité. Bref, nous sommes mal partis.

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    Un amour pour Mourèze

    Au moment d'une halte imposée par la déclivité du terrain, la chaleur et nos ennuis physiques, un couple de jeunes sportifs nous croise. Après discussion, pour nous orienter et surtout nous donner une grande bouteille d'eau salvatrice, nous reprenons notre chemin. Encore merci à eux. Mais nous ne sommes pas au bout de nos peines. Après quelques menues erreurs de parcours, nous parvenons à quelques centaines de mètres de la fin de celui-ci. Mais une surprise nous attend. Le dernier passage est obstrué à cause d'un éboulement. Des barrières incontournables en barrent l'accès. Il nous faut alors passer par l'un des côtés en s'accrochant à la végétation et aux rochers...

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    Un amour pour Mourèze

    Une photo très parlante pour représenter l'aspect du par endroit lunaire. Le côté sauvage de ce site m'a plu malgré les difficultés rencontrées. 

    Je n'ai fait que la petite boucle, soit environ 6, 7 km, mais elle restera dans ma mémoire...

    Deux anecdotes encore. Sur le parcours, nous avons croisé un véritable sportif, pratiquant du trail. Il courait, volait de pierre en pierre. À cet instant, je dois l'avouer, le moral en a pris un coup !

    Enfin, au débouché du parcours, dans le petit village de Mourèze, il y a un, aussi, petit café avec tables à l'ombre d'un grand arbre, peut-être un tilleul. Là, j'ai commandé non pas un, mais deux demis, dont le premier a été avalé d'un trait !  

    C'était il y a deux ans, mais c'est marqué dans ma mémoire.

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  • 18 juin 2022 : Il y a deux ans, j'ai effectué un petit séjour dans le Midi. Et aujourd'hui, je redécouvre les lieux visités, avec un regard neuf et des souvenirs qui me reviennent. 

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    Laroque, mais pas Michèle !

    Rentrant de Ganges, je me suis arrêté à la sortie de ce petit village de Laroque dans l'Hérault pour profiter sinon de la baignade, du moins des paysages. Et je crois bien que je n'étais pas le seul.

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    Laroque, mais pas Michèle !

    Et c'est donc l'Hérault qui s'insinue au pied du village, offrant la fraîcheur de ses eaux et leur calme relatif. Car en d'autres heures, la rivière se gonfle parfois dangereusement. Mais aujourd'hui, pas de danger.

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    Laroque, mais pas Michèle !

    L'eau s'écoule tranquillement, se laissant admirer au gré des cailloux et galets.

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    Laroque, mais pas Michèle !

    On voit que la rivière a largement creusé son lit, au fil du temps, offrant de place en place des lieux de baignade.

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    Laroque, mais pas Michèle !

    Pour mieux s'en rendre compte, un plan plus large montre les falaises entre lesquelles l'eau a accompli son travail de sape.

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    Laroque, mais pas Michèle !

    Pour un peu, on se croirait en Ardèche, mais c'est bien comme cela que je préfère voir la rivière.

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     À bientôt.


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  • 20 mars 2022 : Ma promenade autour du lac Genin se poursuit. Si au début, le chemin était praticable, il va le devenir de moins en moins...

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    Pas de gêne au lac Genin (2/2)

     En effet, il reste, par endroits, un peu de neige, soit durcie, soit fondue.

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    Pas de gêne au lac Genin (2/2)

    Pourtant, par plaque, l'herbe est verte.

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    Pas de gêne au lac Genin (2/2)

    C'est donc un paysage varié qui s'offre à nous.

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    Pas de gêne au lac Genin (2/2)

    Les herbes ratatinées attestent du passage de l'hiver. 

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    Pas de gêne au lac Genin (2/2)

    Nous sommes ici, sous les sapins et le soleil ne vient pas longtemps réchauffer la berge, d'où la neige résiduelle.

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    Pas de gêne au lac Genin (2/2)

    L'endroit, en hiver, est réputé être froid. D'ailleurs, la pratique du patin à glace sur le lac est autorisée lorsque la température est basse et d'une couche de glace suffisamment épaisse, est présente  (13cm)

      

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    Pas de gêne au lac Genin (2/2)

    Bien qu'à un jour du printemps, le paysage conserve un côté hivernal.

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    Pas de gêne au lac Genin (2/2)

    Et une dernière photo avant de dire au revoir à cet endroit très couru des touristes, même s'il n'y paraît pas sur mes photos. Mais j'ai fait en sorte que...

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     À bientôt.

     


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  • 20 mars  2022 : Une sortie nature dans le massif du Jura, mais dans le département de l'Ain, sur les hauteurs d'Oyonnax. Je vous invite à me suivre dans ce tour du lac.

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    Pas de  gêne au lac Génin

     

    Situé à une hauteur de 850 m, ce lac mesure 380 m de long pour une superficie de 8 ha. Il est entouré de sapins, d'épicéas et de feuillus. 

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    Pas de  gêne au lac Génin

    En hiver, l'endroit est recouvert de neige. La végétation en porte encore les stigmates.

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    Pas de  gêne au lac Génin

    C'est un espace protégé classé Espace Naturel Sensible.

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    Pas de  gêne au lac Génin

    De petits vallonnements rappellent que nous sommes dans une combe.

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    Pas de  gêne au lac Génin

     

    Une auberge, ici à gauche, accueille nombre de promeneurs été comme hiver.

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    Pas de  gêne au lac Génin

    Hormis une ou deux maisons de villégiature, aux alentours, il ne reste plus rien, en dehors de ruines, de l'activité agricole qui régnait ici jusqu'au milieu du XXᵉ siècle.

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    Pas de  gêne au lac Génin

     

    Ce lac de combe est accompagné de deux tourbières : les Molonnes et les Renoms. Les rives du lac, par endroits, s'identifient, par leur aspect, à ces tourbières.

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    Pas de  gêne au lac Génin

    Il ne s'agit pas ici d'une île, mais d'une avancée de terre dans le lac.

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    À bientôt pour la suite de la promenade.

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  • 27 octobre 2021 : Toujours sur la route au-dessus de Digne-les-Bains, à la découverte de paysages hors du commun pour certains.

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    Avant toute chose, merci à Elisa et Pascale MD pour avoir identifié cette curieuse e construction de pierres, visible ici :

    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Œuvre d'un artiste contemporain (Andy Goldsworthy) ce sont des sentinelles d'une hauteur de 3 mètres qui sont là pour délimiter l'Unesco Géoparc de Haute Provence.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Sur le plateau, c'est un paysage morcelé qui se découvre, partagé entre vallées et collines.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Puis au hasard de la route, des couleurs automnales.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Et puis, ce qui caractérise la région en de maints endroits, ces vagues sombres, comme j'en ai connu lors de mes vacances de jeunesse, à Salignac à côté de Sisteron.  

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Une drôle d'ambiance où malgré tout, la végétation est présente, à l'image de ces pins.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Et un peu plus loin, on retrouve une végétation plus présente et  ...

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Et un fil qui marque un pré dans lequel les vaches semblent avoir pris les couleurs de l'automne.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Un automne bien présent qui nous offre sa belle palette des couleurs de saison.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    La découverte d'une des perles de la région : le lac de Castillon aux eaux plus basses que de nature.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Un joli bleu que je ne peux qualifier tant il est changeant en fonction de la luminosité de l'instant et de l'endroit d'où on le regarde.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    Pour preuve, cette vue prise à contre-jour, d'où les flares (reflets sur l'objectif dans la partie sombre).

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

    La route s'est élevée un peu, me donnant l'occasion de saisir une belle perspective de l'endroit.

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    Haute Provence : trop court séjour (suite et fin)

     

    Et pour terminer, encore une curiosité du lieu, à proximité du lac où l'érosion sculpte toute l'année, une œuvre d'art qui ne sera  jamais achevée.

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    Avec ce reportage, je termine enfin ma revue de l'année  2021...

    J'espère aller plus vite pour partager avec vous l'année 2022. Mais on n'est jamais trop maître de son temps. Alors...

    À bientôt. 

     


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  • 26 octobre 2021 : Le pur ciel bleu de Haute Provence m'accueille durant deux jours au cours d'un séjour en chambre et table d'hôtes Chardavon, du côté de Saint Geniez.

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Les Alpes-de-Haute-Provence dans leur partie basse, en remontant vers Sisteron.

    Des falaises apparaissent qui seront une de mes accompagnatrices, avec le soleil durant ces deux jours.

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Le jaune de l'automne touche quelques arbres tandis que les oliviers au premier plan attestent de ma présence dans le sud de la France.

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Puis en remontant, passage au village des Mées, célébre pour ses rochers surplombant la cité.

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Ils semblent avoir été polis, lustrés et taillés par la main d'un quelconque géant...

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Ce site géologique, dont les rochers ont été formés par l'érosion des matériaux de galets cimentés naturellement et appelés poudingue, est le témoin atypique de la formation des Alpes.

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Un petit traitement en noir & blanc, afin de varier les plaisirs. Il faut dire qu'avec les maisons établies au pied de ces rochers, il n'est pas évident de faire des photos " propres ".

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Pour avoir un meilleur aperçu de cette falaise si particulière, il faut prendre bien du recul pour découvrir cet alignement de cônes qui, de loin, fait penser à  des coiffes de pénitents, d'où le nom de cette chaine dont on peut retrouver légende ici :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Pénitents

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Le lendemain, je suis parti dans l'arrière-pays que je ne connaissais que trop peu. Sur la route, quelques arrêts pour mettre en valeur le paysage, toujours sous le soleil.

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    Haute Provence  : trop court séjour (1)

    Et puis au détour d'un virage, cette construction d'allure récente, me semble-t-il. Peut-être inspirée d'un ancien abri pour bergers.

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    À bientôt pour encore plus de bleu...

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  • Avant-propos : Désolé pour cette longue absence. Mais quelques jours de vacances  (10) et pas mal d'activités journalistiques ou autres ne m'ont pas permis d'alimenter régulièrement ce blog. J'ai pu quand même passer chez vous et vous montrer ainsi que je ne vous oubliais pas. Albert.

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    La France est un pays de vignobles, lesquels sont parcourus par beaucoup de routes des vins.

    À 80 km de chez moi, je suis parti à la découverte de la route des grands crus. À parcourir... sans modération !

    16 octobre 2021 : Les vendanges sont déjà loin, réchauffement de la température oblige. Mais les vignobles de Bourgogne sont encore parés de belles couleurs...

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    Route des Grands Crus  (1)

    Nous sommes à peu de distance de Gevrey-Chambertin. Pas étonnant de voir les collines couvertes de vignes. 

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    Route des Grands Crus  (1)

    Elles s'étendent à perte de vue et, suivant l'angle de prise de vue, font l'effet d'une mer

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    Route des Grands Crus  (1)

    Une mer aux reflets quand même bien particuliers, tant par leurs variétés, leurs couleurs que leurs formes.

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    Route des Grands Crus  (1)

    Un réel patchwork.

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    Route des Grands Crus  (1)

     

    Le château Brochon : style néorenaissance du XIXe siècle. Bâti par l'homme de lettres Stephen Liegeard. On pourrait s'attendre à y trouver un domaine viticole. Mais non, il abrite, depuis 1962, un lycée. Un beau cadre pour étudier.

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    Route des Grands Crus  (1)

    Gevrey-Chambertin : monument qui peut prêter à confusion, car il s'agit bien du monument aux morts avec la mosaïque d'une femme en deuil. Les inscriptions sont de l'autre côté.

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    Route des Grands Crus  (1)

    Les portes de Saint-Vincent

    Œuvres réalisées à l'occasion de la Saint-Vincent 2000 à Gevrey-Chambertin

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    Route des Grands Crus  (1)

    Détail des portes (de g à dr et de haut en bas) : 

    les moines dans les vignes -  le roi Chambertin

    l'angélus de Gevrey - la dégustation

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    Route des Grands Crus  (1)

     Des vieilles plaques pour ne pas se perdre !

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    Route des Grands Crus  (1)

    Des vignes hautes et une belle variété de nuances et de couleurs.

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    Route des Grands Crus  (1)

    Des perspectives dans lesquelles le regard s'échappe vers un lointain Jura.

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    Route des Grands Crus  (1)Morey Saint-Denis, avec cette ancienne porte du Clos des Ormes, l'un des 17 "premiers crus" que compte le village 

     

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     À bientôt


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