18 juillet 2018: Visite d'un site ultra connu dans le Finistère  : Ménéham , très prisé des touristes. Même si vous n'en verrez pas sur mes photos, ils étaient bien présents... Ce qui veut dire qu'une séance photo d'un quart d'heure peut durer plus d'une heure pour avoir des images propres...

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Blotti entre les rochers de la Côte des Légendes, sur un site naturel exceptionnel, ce village de chaumières est aujourd’hui restauré .

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Les  habitations sont à l'usage maintenant de  boutiques et de nombreux artisans y proposent leurs réalisations.

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De vieux bateaux de pêche finissent ici leur vie, dans cet ancien village de paysans-pêcheurs-goémoniers.

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Tout le charme de la Bretagne .

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Et puis Ménéham, c'est aussi "sa" maison. Tour à tour le  village fut lieu de vie de militaires, de douaniers et de paysans-pêcheurs-goémoniers et cette maison  fut “la maison des douaniers” ou maison du corps de garde. À l’origine, il s’agissait d’un poste de guet (XVIIe siècle), pour surveiller la côte, seul bâtiment tourné vers la mer.

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La difficulté pour le photographe est de réussir une photo sans personne dessus, contrairement à celle-ci  que j'ai gardée exprès. Cette brave dame est restée un bon moment là. Et comme il y a une route en contre-bas, il y a des  voitures, des vélos, des piétons. Et je ne vous parle pas des gens, des enfants qui grimpent sur les rochers pour se prendre en photo... J'imagine le résultat. Tout ça pour dire que j 'ai du patienter un bon moment  pour faire des photos potables !

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Mais par contre, il y a des moments, où on ne peut s'empêcher de faire la photo.

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À bientôt - Kenavo

Petite remarque au sujet de Molière et Pézenas. 

C’est probablement vers la fin de 1645 que le jeune Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, rejoint, avec quelques comédiens rescapés du naufrage de " L’Illustre Théâtre ", la troupe de Charles Dufresne pour sillonner les routes du Languedoc.

Au cours de ces années d’apprentissage, durant lesquelles il devient directeur de la troupe, il apprend son métier d’acteur et perfectionne son jeu comique (source toutmolière. net) d'où l'expression : Molière est né à Pézenas.

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18 août 2018 : Le port de Plouescat à marée basse présente une certaine activité... 

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La vase est parcourue par de nombreux oiseaux, mais surtout des goélands en quête de nourriture.

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Adultes et juvéniles se côtoient, mais chacun pour soi, du moins dans l'instant présent.

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Mais voilà un lascar qui a dégoté une proie et qui se hâte de quitter la famille... 

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Voilà un crabe qui va passer un sale quart d'heure

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Je vais le suivre des yeux, un petit moment pour observer son manège.

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Mais n'ayant aucune idée du temps qu'il faudra à ce goéland  juvénile pour venir à bout de ce crabe, j'abandonne là, mon observation. Je l'avoue,  je n'aurais pas fait un bon  photographe animalier. (Clin d’œil au passage à Pascale qui se reconnaîtra.)

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Chaines et manilles rouillées, la marque du temps qui passe.

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Et cette barre ancrée dans la pierre, qui donne accès aux barreaux pour rejoindre le bateau, combien en a-t-elle vu de pieds, de bottes et de cuissardes?

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 À bientôt  kenavo.

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18  août 2018 : J'ai quitté Carantec en début d'après-midi pour me rendre à Plouescat et y retrouver un paysage différent.

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Bien sûr, on retrouve des rochers mais ici, ils ont des formes arrondies, plus d'arêtes saillantes. Certains sont d'ailleurs très prisés des cormorans si on en juge d'après les traces...

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Des rochers aux formes multiples que l'esprit s’évertue à définir !

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Leur aspect de velours les rendrait presque amicaux, avec toujours des formes improbables. 

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Le  petit port de Plouescat, bien à l'abri de la jetée. Les bateaux s'y reposent à même la vase. J' y retournerai un an plus tard à la même heure mais là, la marée sera haute.

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Les reflets sont toujours sympathiques à prendre en photo.

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À marée basse, les oiseaux en profitent pour faire leurs courses, tel ce goéland juvénile.

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Ou bien comme cet adulte qui s'aventure sur les algues découvertes par la mer.

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À suivre - Kenavo.

18 août 2018 : On dit que passé le 15 août, le temps change. Effectivement, cette journée sera marquée par plus ou moins de grisaille, comme ici à Carantec (29) en face de Saint Pol de  Léon.

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Face à nous, l'île Callot. On peut s'y rendre à marée basse, mais il faut bien calculer son retour.

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Malgré le temps maussade, quelques courageux se risquent dans l'eau..

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Voici ce qu'un peintre appellerait une marine.

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Et puis je me suis amusé à immortaliser une certaine vague, ou plutôt un instant précis.   

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Les formes sont variées, mais ne correspondent pas à ce que je cherche.

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Tiens, on s'en approche, mais ce n'est pas encore cela...

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Ouf,  voilà, la vague transparente comme du verre, avec cette marque blanche qui délimite le haut du mouvement.

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A l'opposé de la plage précédente, voici la plage de la Grève Blanche, si caractéristique avec ses cabines de bain..

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D'autres cabines de bain et des annexes, ces petits bateaux qui permettent de rejoindre le gros amarré mer, donnent du charme à l'endroit.

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À bientô ,  kenavo.

Ouessant  : 17 août 2018. Ma promenade sur l'île se termine, hélas.

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Les rochers inlassablement sont battus par les vagues. Un spectacle dont finalement,  j'ai bien du mal à me soustraire.  

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Le port de l’île est tout au bout et c'est là où je dois aller pour reprendre le bateau. Alors, en avant.

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Un dernier coup de zoom avant de regarder de l'autre côté.

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Finalement, l’autre côté n'est pas mal non plus avec toujours ces hortensias flamboyants.

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Et puis il y a ces adorables maisons blanches et bleues.

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Au passage, un regard vers l'embase du moulin du Niou, en cours de restauration. Courage à ceux qui ont entrepris un tel ouvrage.

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Une des spécialités de l'ïle d'Ouessant : Jolis petits rideaux brise-bises réalisés en coton coloris écru.

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Départ de l'île que l'on laisse dans le sillage du bateau.

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La mer est fendue par notre bateau, procurant là, l'occasion de faire des photos différentes, mais pas évidentes : cela remuait quand même.

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 À bientôt.   Kenavo

17 août 2018 : La mer d'Iroise va m'accompagner quelque temps et  j'ai adoré sa compagnie.

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Du haut de la falaise, on domine la situation et c'est aussi bien, parce qu'en bas, ça brasse...

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Incontournable pendant ma promenade mais contournable par le chemin... le phare de Créac'h.  Mais une seule photo parce que de l'autre côté, il y avait foule.

Le phare du Créac'h a été construit en 1863 . D’une hauteur de 47 mètres, c’est le plus puissant d'Europe. Ses deux lanternes superposées émettent un signal lumineux de huit faisceaux d’une portée de 60 kilomètres environ.

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Une beauté à l'état pur et un spectacle sans fin.

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Après la vue de près, une vue d'ensemble tout aussi parlante.

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Et on se recule encore pour associer la terre à la mer... et un spectateur dans les rochers

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Pour une photo de ce style, il m'a fallu en faire près d'une dizaine pour saisir le bon moment.

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Si  j'ai mis cette photo, c'est parce qu'elle comporte un élément intéressant que j'ai découvert en la visionnant sur mon ordinateur. Et vous, vous l'avez trouvé?

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Voilà, ce qui m'a intrigué. Ce monsieur qui fait un selfie face aux vagues. Une prise de risque pour le moins inutile.

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À bientôt pour  la suite. Kenavo.

17 août 2018 : La randonnée sur l’île d'Ouessant touche à la pointe de Pern au bout de l’île, dans le prolongement du continent... 

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C'est là que je découvre les ruines de ce qui fut le système de trompette à manège, à Port Aziou. Cette construction a reçu une trompette fixée au sommet d'un réservoir d'air comprimé alimenté par une pompe actionnée par des chevaux. C'était  une  immense corne de  brume. Opérationnel le 28 septembre 1866, le système souffrira de la difficulté de trouver 4 chevaux disponibles.

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Les petites fleurs poussent au pied de ce qu'il reste des murs, protégées du vent.

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Les ruines du bâtiment qui renfermait le manège à chevaux et qui fut remplacé en 1885 par une machine à vapeur .

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Voici le schéma de ce bâtiment avec les chevaux de l'île qui étaient de petite taille, un mètre au garrot et vivaient en liberté.

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 Depuis le sentier côtier, on peut enfin admirer le spectacle de la mer d'Iroise.

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Mais ne nous y trompons pas, nous sommes à plusieurs centaines de mètres du rivage. C'est l'effet de zoom (70 x 300) qui augmente aussi l'effet brouillard des embruns.

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Grâce à l'ensoleillement, le bleu de la mer est attirant...

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On ne parlera pas ici de tempête, mais la mer est quand même agitée.

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Le spectacle des vagues , de l'écume et le bruit ne me laissent pas indifférent. C'est un spectacle permanent.

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À bientôt - Kenavo.

17 août 2018 : Ma promenade sur l’île d'Ouessant se poursuit et mes pas me mènent par de petits sentiers vers la pointe du Pern.

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De loin en loin, entre quelques arbres et trouées dans la végétation, on peut voir la mer d'Iroise. 

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Alors que j'avance vers la pointe, sur ma droite se dresse le phare de Créac'h.

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Un des rares  moulins subsistant sur l'île. Ils étaient encore une centaine au début du siècle dernier. Celui-ci, le moulin de Karaes a été restauré par le parc régional d'Armorique. Il rappelle l'existence des moulins à orge. Ces petits moulins étaient bâtis sur un socle en granit de presque 2m de haut sur 1,8m de diamètre. 

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Et puis dans ce presque bout du monde, une maison complètement dans le style breton et je dois reconnaître que  j'aime  beaucoup.  

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Un petit panoramique pendant qu'on y est, avec le  phare de la Jument.

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 La  lande bretonne et une plaque de bruyère sur fond de phare de Créac'h...

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La grande immensité de l'océan capte le regard...

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 Des fougères, des rochers, des vagues sur la mer, un condensé de Bretagne..

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Le phare de Nividic, au bout de la Pointe de Pern. Construit de 1912 à 1930, ce phare n'a jamais été  prévu pour être habité.  Une ligne aérienne est installée pour acheminer, à partir de la terre, l’énergie nécessaire à l’alimentation du feu, du signal sonore, et des contrôles de l’automatisme, d'où les deux piliers en béton à gauche et à droite destinés à soutenir cette  ligne. En 1952, on rétablit un feu automatique à gaz. La machinerie est obsolète. On installe alors une plateforme pour hélicoptère de cinq mètres sur cinq mètres au dessus de la lanterne pour amener plus rapidement le personnel technique. Depuis 1996, le feu de Nividic est équipé de panneaux solaires. Il ne porte plus de signal de brume.

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À suivre et à bientôt. Kenavo

17 août 2018 : Et on chemine sur les petits sentiers de l'île d'Ouessant

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Le blanc et le bleu semblent être les couleurs prééminentes sur  l'île. Elles sont sans excès et s'cordent avec le ciel bleu ou comme ici, le ciel devenu gris.

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Dans l'intérieur des terres, un paysage bien typique  de la Bretagne insulaire, alors que le temps a changé.  Mais il est temps de faire une pause,  alors direction le restaurant.

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Une fois restauré, il  faut reprendre la marche, ou dans ce cas précis, gravir les marches.

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Et toujours d’agréables endroits bien fleuris.

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Un regard sur le large et le phare de la Jument mais aussi sur des grains dans le lointain. Avec cette merveilleuse incertitude bretonne : est-ce que c'est pour nous ou non?

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Pour le moment, le grain s'est évaporé. Je vous l'ai dit : l'incertitude bretonne mais doublée de cette assertion : en Bretagne, il ne pleut que sur les imbéciles. Mais je dois vous l'avouer, pendant mon séjour, je me suis trouvé bien bête une fois ou deux... En attendant, je ne peux qu'admirer cette maison au caractère rustique mais tellement pleine de charme.

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 Chemin faisant, on longe quelques pâtures et autres champs de céréales, avec toujours un sublime arrière-plan.

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Le  grain a disparu, laissant le ciel bleu reprendre ses droits.

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 Enfin pour finir cette série aujourd’hui, une nouvelle photo de celles qui semblent donc être des anémones du Japon et sur laquelle,  je aperçois à l'instant, une abeille bien chargée de pollen... Et  je ne l'avais vraiment pas remarquée avant ce  jour ! 

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À suivre et à bientôt ,  Kenavo

Ouessant, 17 août 2018. Un peu de marche à pied ne fait pas de mal. Alors en avant.

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En contrebas du chemin, dans le port de Porspaul, les gestes ancestraux des marins.

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Et en relevant la tête, je découvre le phare de la Jument, situé en mer à près de 3 km de moi. C'est un phare mythique, cible des photographes pendant les tempêtes.

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Autre éminence de la région, l'église Saint Pol-Aurélien (1860). Le clocher resta longtemps inachevé et il fut terminé grâce au don de la couronne britannique en 1896, qui remerciait ainsi la population de l'aide apportée lors du naufrage du Drummond Castle, paquebot anglais qui coula en 4 min après avoir heurté les Pierres Vertes, récif situé à l'ouest de Molène. Il y eut trois survivants sur 243 personnes. (Source  OT Ile d'Ouesant).

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Par-ci , par-là, au cours de la promenade, découverte d'endroits sympathiques avec comme ici, ces bouées en guise de décoration.

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Contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'île n'est pas complètement plate ... Et un restaurant, cela se mérite !

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Au passage, découverte du cimetière, très fleuri en cette période de l'année.

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Un peu plus loin, ces cosmos m'autorisent une photo sympa.

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Puis en longeant en surplomb, la côte, ces canna indica semblent vouloir prendre leurs aises.

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Et enfin, à flanc de falaise, une vague de capucines.

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 À bientôt - Kenavo.