Aux environs de Plouescat, le 10 août 2020: Entre plage de sable blanc et eaux bleues, il y a encore bien d'autres choses à voir.

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Voici par exemple, le  menhir de Kergoarat- Saint Eden fait une hauteur de 7 m. Il sert il sert d'amer aux navigateurs côtiers, c'est à dire de point de repère. C'est l'un des plus  hauts de France.

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La  légende dit que sous ce menhir, on peut trouver un trésor, à condition d'être capable de le déterrer dans l'intervalle des 12 coups de minuit, les nuits de Noël et des Rameaux ! Mais est-ce vraiment une légende?

PS : Si d'aventure vous vouliez chercher le trésor, n'oubliez pas que le rocher est classée monument historique depuis le 15 mars 1909. 

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Un côté sauvage qui ne peut me laisser insensible.

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La trace de la marée est particulièrement visible sur cet amoncellement de rochers...

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Une eau limpide, un bleu profond, quelques vagues et du soleil. Je peux vous assurer que c'est bien en Bretagne.

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En remontant la côte, la découverte de petites criques où s'abritent quelques petits bateaux. Et par endroits, les algues vertes colonisent les fonds.

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Cléder, un petit port à marée basse.

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Un autre petit port bien sympathique, Morguériec. Ici aussi, les algues vertes sont bien présentes.

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Pour retrouver son bateau, il faut surtout bien connaître l'amarre !

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À bientôt.

10 août 2020 : Comme cela fait du bien de voir une côte sauvage.

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Petit essai pour se mettre dans l'ambiance. Alors oui, il y a du bleu mais pas que... 

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Quel géant a bien pu s'amuser à empiler ainsi, ce qui pour lui ne devait être que des cailloux. Un équilibre qui ne répond pas aux lois de la pesanteur.

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Ici et là, encore et toujours des blocs de granite (ou autre).

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 Un jeu subtil entre plusieurs éléments : la terre, l'air et l'eau.

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Sortis de nulle part, ces rochers se dressent, conquérants, au dessus de la lande bretonne. 

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Une grève de sable blanc, des rochers, une végétation riche et au fond, un menhir.

Une photo qui pour moi n'est pas loin d'exprimer à elle seule, la Bretagne.

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Entre deux rochers blancs, une trouée sur d'autres  rochers caractéristiques de la région, avant que le regard ne plonge dans la mer d'Iroise.

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 Comment expliquer ce chaos? J'y renonce et préfère m'absorber dans sa contemplation pour lui trouver une forme, une vie, une âme.

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À bientôt pour un ailleurs, mais pas bien loin.

9 août 2020 : Sur la plage de sable blanc de Ste Marguerite, il y a tant à voir...

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Ils courent sur la grève, sans cesse à l'affut de  nourriture. Mais comme d'habitude, je suis bien incapable de vous  donner le nom de ces  oiseaux. 

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Ce n'est sans doute pas dans ces coquillages minuscules que nos oiseaux peuvent trouver à manger.

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Un peu de marche ne fait pas de mal avant de retrouver la mer, là-bas...

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Des cairns, du land art, on peut s'occuper à la plage en dehors des châteaux de sable.

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Les vastes étendues permettent à l'esprit de s'échapper. Peut-être vers un horizon inconnu !

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Certes, l'endroit est beau mais comme dans d'autres endroits en Bretagne, les plages sont parfois envahies par des algues vertes.

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Au bout de la presqu'ïle, le lieu-dit Carrec Studi, endroit stratégique tenu par les troupes allemandes qui surveillaient la mer guettant une invasion des troupes alliées.

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Cet ouvrage était, parmi un ensemble d'une douzaine de casemates et abris, le plus important et d'un type assez rare, avec double ouverture pour canon anti-char.

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À suivre dans le 4^e et dernier épisode de cette promenade.

9 août 2020 : Le sable blanc se dévoile peu à peu, offrant ici et là quelques éléments de photos.

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La mer est au plus loin et même mon 70x300 ne me permet pas de mieux voir les rochers.

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Presque le Sahara où je ne suis jamais allé, mais que j'imagine un peu ainsi .

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Ici le rêve fait place à la réalité : souvenir d'un temps qu'on ne souhaite plus revoir!

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La végétation a envahi les souvenirs. Pourtant ils restent bien vivaces, même si je n'ai pas connu cette époque.

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La mouette et le chien... qui a vu la mouette qui n'a pas vu le chien !

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Encore un vestige que l'homme des temps modernes, s'est approprié à sa façon.

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Une partie de l'univers de la mer : des rochers, une marée basse, des algues vertes, du varech et des flaques d'eau qui attendent le prochain flot.

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Encore une photo au téléobjectif pour tenter d'apercevoir la complexité de la structure du rocher, que malgré tout on devine.

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 À bientôt pour une autre suite.

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9 août 2020 : Court passage à Belle Isle en Terre, histoire de se dégourdir les jambes... 

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L'ancienne église Saint-Jacques : (1788) Construite à l’origine pour servir d’église paroissiale, elle est transformée en caserne de pompiers en 1854 et le restera jusqu’en 1995. À présent, elle est connue comme étant les halles et abrite marchés et expositions. Quant à la nouvelle église,  Saint Jacques le majeur, elle a été achevée en 1884. L'édifice est actuellement en travaux, donc photo impossible.

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Promenade dans un petit parc jouxtant la mairie.

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La douceur bretonne de pleine terre est aussi appréciable que celle du bord de  mer.

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Voici à présent, une série de fleurs d'hortensias, dont je vous laisse apprécier les couleurs 

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 Les  variétés sont nombreuses, encore faut-il savamment les choisir, en fonctionnement leur état du moment. (Floraison totale ou partielle ou en partie fanée, etc). Photos réalisées à main levée.

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Et une petite dernière pour la route, symbole du fleurissement breton.

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À bientôt

8 août  2020 : Après Guingamp, la route me conduit vers la Roche-Derrien, cité construite au 11e siècle sur un promontoire rocheux surplombant l’estuaire du Jaudy.

 « Petite Cité de Caractère », La Roche Derrien est à présent réunie à trois autres communes : Hengoat, Pommery-Jaudy et Pouldouran, pour former La Roche-Jaudy.    

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De son passé médiéval, la ville a conservé des maisons à pans de bois construites entre le 15e et le 17e siècle. 

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 Elles illustrent à leur manière le côté florissant de la cité  jusqu’au milieu du 20e siècle, grâce à ses commerces, ses artisans, ses ardoisières

et son activité liée au lin. 

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L’église Sainte Catherine rappelle par son ampleur, le passé de place forte de La Roche-Derrien au sein du Trégor.

Les parties les plus anciennes de cette église, datent du XIIIe siècle. 

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Le jardin du Presbytère qui rassemble les plantes autrefois cultivées dans le Trégor (lin, seigle, épeautre, trèfle…)

dans un dédale de petites terrasses.

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Depuis les  hauteurs du  jardin,  on profite d'un point de vue exceptionnel sur la partie basse de la Ville et la rivière, le Jaudy.

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Ce  jardin  possède un verger traditionnel de la région.

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Puis on descend vers la basse ville dite du « bas-du-pont », la ville des chiffonniers et des couvreurs. 

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Au hasard du chemin, on découvre quelques fleurs dont ces marguerites.

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Puis en remontant vers le centre ville, on découvre cette enseigne tout en fer, représentant un hippocampe dont j'avoue ne pas savoir

ce que cela symbolise comme commerce. À moins qu'il ne s'agisse tout bonnement d'une œuvre d'art. 

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De retour dans la ville haute , près de la place du Martray, on retrouve ces  fameuses maisons bourgeoises, dont la similitude

avec les maisons de Guingamp est évidence. Et pour cause puisqu'à leur construction, elles ont bénéficié du bois d’un atelier de charpenterie Guingampais,

qui exista du Moyen-Age à la fin du XVIe siècle.

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Merci de m'avoir suivi dans cette courte visite d'une cité de caractère.

À bientôt.

8 août 2020 : J'ai quitté pour quelques jours la région méditerranéenne pour la Bretagne. Et mon voyage va débuter à Guingamp.

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Élément architectural  incontournable de la ville, la basilique Notre Dame de Bon Secours, dont le début de construction daterait du XI^e ou XII^e siècle.

Des photos délicates à faire à cause de l'exiguïté de la rue et à cause de l'activité commerciale aux abords. J'ai donc opté pour des cadrages serrés en jouant aussi sur les teintes.

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Tout en  haut, on distingue la "Tour pointue" haute de cinquante sept mètres, surmontée d’une flèche octogonale (à retrouver aussi sur la photo précdente). Différentes étapes de construction sont visibles sur la façade où il n'y a aucunes similitudes.  

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Le porche Notre Dame et la tour de l'Horloge se mêlent intimement à une maison médiévale.

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Et sous un angle et un traitement différent, on revoit l'étrange imbrication des bâtiments. Et comme j'ai pu le lire par ailleurs, la basilique Notre Dame de Bon Secours ne se distingue pas par sa simplicité architecturale ! Plusieurs styles  - roman, gothique, gothique  flamboyant, Renaissance bretonne , contemporain-  s'y côtoient.  

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Petite transition avec les photos à venir, avec  cette enseigne délavée.  

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En descendant la rue Notre Dame, puis la rue Rue Edouard Ollivro, on débouche place du Centre où l'on découvre les plus belles maisons anciennes de Guingamp, comme ici la maison Maison dite "du Procureur Merrien Chéro" datée de 1498. 

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On parle indifféremment de maisons à pans de bois ou à colombage. Mais en Bretagne, c'est le premier terme qui s'impose.

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Outre l'étroitesse de la maison, on notera celle des fenêtres à un seul battant. Et comme toutes les maisons anciennes, celle-ci comporte des avancées sur la rue à chaque étage.

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Datant de la  fin du 15^e siècle, cette maison se démarque par sa façade façon tavaillons ... Un style plus courant en région montagneuse.

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 Maison restaurée en 2011. Les plaques de béton qui garnissaient sa façade ont été déposées. Les pans de bois de couleur rouge bœuf attirent immanquablement le regard sur cette cette maison du 16^e siècle.

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À bientôt, toujours à Guingamp pour une suite bien différente.

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11 août 2019 : Une dernière série de ces nuages qui m'ont accompagné durant ces vacances 2019 mais qui pourtant m'ont épargné la pluie. (mystère breton mais comme on dit là-bas, il ne pleut que sur les c..s).

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 La mer remonte et les bateaux sur  leurs amarres, ont pris le sens de la marée, alors que les nuages se suivent sans forcément se ressembler.

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 Et pourtant, contrairement aux apparences de la photo précédente, le ciel bleu pointe son nez.

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Même sur la plage, le sable s'amuse à jouer aux nuages...

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Et puis entre les nuages, un hélicoptère de l'Aéronavale (la base de Landivisiau n'est qu'à une trentaine de km) en mission au dessus de la mer d'Iroise.

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Même ce cormoran semble intrigué par ce drôle d'oiseau qui passe là-haut en faisant du bruit...

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À Porsgern, le temps s'est dégagé, permettant de jeter un œil sur ces rochers aux formes improbables, autant que celles des nuages.

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Par contre à quelques km de là, au port de Mogueriec (commune de Sibiril) le temps est bien chargé et un grain est bien visible au loin.

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Pourtant, sur la droite, une éclaircie apparaît. Je ne quitterai donc pas la Bretagne sur une note négative.

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Voilà, j'en ai fini avec mes photos de vacances en Bretagne en 2019. Mais soyez sans crainte, si vous aimez cette région, vous retrouverez ses photos dans quelques temps puisqu'en  2020,  j'y suis retourné. En attendant, nous allons explorer d'autres horizons si vous le voulez bien. 

À bientôt - Kenavo.

11 août 2019 : Sur le port de Porz Guen, je continue de regarder les nuages, le nez au vent...

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Tout d'abord, un regard sur ces voiliers sur la grève, alignés comme à la parade, alors que des nuages s'étirent paresseusement au-dessus..

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Parfois, l'un de ces nuages se prend à imiter la lune ... 

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Tandis qu'un peu plus loin, un autre fait le gros dos, et un autre encore, verse son grain...

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Pour cette photo, j'ai eu recours à un preset HDR pour mieux faire ressortir toutes les nuances.

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Là-haut, le ciel se couvre. Mais s'il pleuvra là-bas, ici pas d'ondée. Toute la magie de la Bretagne.

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La mer sous la couverture nuageuse grise, se teinte en vert. Effet Kisscool?

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Et puis cette photo, au 70x300. Toute simple, elle m'a plu pour la couleur du bateau qui tranchait complètement avec son environnement...

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 À bientôt  - Kenavo

11 août 2019 : En Bretagne, j'ai toujours un faible pour les nuages, d'où cette petite série qui nous montre l'aspect changeant en bord de mer et plus précisément à Porz Guen, un petit port près de Plouescat.

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Porz Guen est un port d’échouage d'accès difficile entre les roches, surtout par fort vent de Nord-Ouest et Nord. Mais aujourd’hui, c'est une légère brume qui s'installe pour un temps sur le littoral

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Après quelques minutes, le vent du large a chassé la brume et découvert un beau nuage blanc. 

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La  jetée en béton, protège le port, tandis que le ciel est bien partagé.

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Mais vus sous un autre angle, les nuages paraissent bien lourds et bien bas.

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Au fur et à mesure que le temps passe, les nuages se déforment donnant à l'esprit l'occasion de changer mille fois d'inspiration.

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Les  nuages offrent une toile de fond à nulle autre pareille, aux mouettes et autres goélands.

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Simples nuées , lourds, vaporeux, étirés, gris ou blancs, ces nuages naviguent dans le ciel à l'instar des navigateurs bretons. 

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À bientôt - Kenavo. 

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