4 décembre  2017. Marché de Noël à Baume les Messieurs.

 Pas de photos des stands et des réalisations. Vous avez les mêmes chez vous.

Juste quelques photos des sobres illuminations du site.

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Les vieux murs des habitations ont reçu quelques guirlandes.

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Le porche de l'abbaye a été préservé des leds. Quelques projecteurs mettent en valeur l'ensemble.

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Les guirlandes lumineuses passent de cour en cour sous les porches.

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Deuxième cour, celle de la fontaine où l'eau stagnante gèle.

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Dans le bassin, des effets de lumière grâce à la glace et aux reflets dans l'eau.

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 Difficile d'échapper aux personnes qui parcourent le marché.

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Les vieilles pierres ont retrouvé durant un temps tout leur éclat.

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Dans la première cour, de nouveau un jeu de lumière blanche..

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L'allée des tilleuls qui a accueilli les visiteurs pendant deux jours.

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Enfin, une vue d'ensemble de l'abbaye et son environnement.

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Pas de couleurs criardes. Mais des lumières qui s'accommodent de l'austérité des vieilles pierres de ce site clunisien.

A bientôt.

15 août 2017 : Toujours au bout de la presqu'île de Perharidi.

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Un vieux  gréement passe au large de l'île de Batz. Le pourpre sur les nuances de bleu me redonne envie de reprendre mes pinceaux... 

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Comme  un fortin et accessible uniquement à marée basse en roulant sur la gréve.

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J'ai quitté la  presqu'île pour rejoindre Dossen (Santec). Là entre les villas qui bordent la rue menant à la plage, cette devanture d'une  poissonnerie au charme désuet , mais aujourd'hui abandonnée.

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Et pour ajouter à la nostalgie, la même en N&B.

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Au bout de la route, la plage. Pas  vraiment fréquentée. C'est vrai qu'il y avait un peu de vent... Reste la photo de ce manoir, face à la  mer.

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Encore un rappel du passé.  Avec ce vivier,  résurgence d'un temps où la pêche faisait vivre son monde.

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Le street art n'est pas que dans les villes... Finalement un bel hommage aux anciens.

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A bientôt - Kenavo

13 octobre. L'automne prend peu à peu possession du paysage.

C'est  l'occasion de voir ce que cela donne en montant un peu dans le Jura.

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Premier arrêt avant Ladoye sur Seille. 550 m d'altitude. A part quelques  feuillus dont la couleur a commencé à changer, beaucoup de sapins qui resteront verts.

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Les fougères par contre, ont déjà viré.

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Quelques taches de couleurs, nous rappellent que l'automne est arrivé.

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Sortie de Crotenay.  Toujours 550m. Nous sommes sur le premier plateau. Pas trop d’évolution du  côté du feuillage à part quelques spécimen dispersés ici ou là.

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 Pour les montbéliardes, pas de souci, elles sont toute l'année aux couleurs de l'automne.

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Cluse d'Entreportes, 640 m, sur la route de Champagnole à Nozeroy. Ici l'automne a commencé à prendre ses quartiers.

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J'ai bien aimé l'effet optique, et donc, je ne l'ai pas corrigé.

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 En direction de Lent,  730 m. Histoire de  faire une photo bucolique mais surtout s'apercevoir qu'il n'est pas facile d'avoir une verticale...

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De l'autre côté, les arbres ont jauni, voire roussi pour certains. 

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Voilà  pour cette première partie de voyage du côté de l'automne jurassien. A bientôt.

Sellières, 1er décembre 2017. La  neige est au rendez-vous sur le bas Jura.

Depuis la fenêtre de ma chambre, je plonge dans l’enchevêtrement des branches recouvertes d'or blanc.

Pour les paysages immaculés, on attendra encore. D'autres s'en chargent déjà. Pas pressé, l'hiver n'est pas encore  là ... 

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Toutes ces photos sont en couleurs. J'aurais pu faire le choix du N& B pour accentuer le côté froid de la chose. Mais cela aurait fait perdre de la véracité à ces clichés. Alors autant voir  les choses comme elles sont, sans artifices.

Tech  : SONY a99 - Tamron 70 x 300 - Filtre  PL - traitement Lightroom  - Photoscape

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A  bientôt.

21 septembre 2017. Toujours à Palavas mais cette fois-ci sur le canal qui donne accès à la mer.

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Sur les rives du canal, les bateaux de pêche sont amarrés. La vente est finie et tout est rangé.

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Les images des ports de pêche sont toujours hautes en couleurs.

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Seul, un dernier bateau a encore du poisson et les mouettes le savent bien ...

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Si elles sont sur l'eau, elles sont aussi en l'air où elles tracent un ballet  incessant.

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Elles vont et viennent, poussant des cris et  guettant un lambeau de poisson rejeté par le pêcheur.

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Adultes et  juvéniles sont présents quémandant pitance.

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Et qu'un morceau soit lancé par dessus bord, c'est la ruée et surtout la loi du plus fort..

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Retour vers l'appartement, on passe au dessus du canal accompagné par une mouette.

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Sur l'autre rive, même constat, l'activité est réduite à sa plus stricte expression.

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Tandis que de l'autre côté, un pécheur inspecte ses filets avant de repartir vers le large demain.

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J'ai cherché un temps les flamants roses. Les étangs leur sont propices mais par méconnaissance de cette partie de la région, je ne me suis pas aventuré dans les terres pour aller à leur rencontre.

C'est donc depuis la départementale que j'ai tenté une photo. Mais mon 70 x 300 a été bien court... dommage. Peut-être aurais- je plus de chance un autre  jour ?

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 A bientôt dans une autre région.

L'aigrette de Palavas n'est pas un nouvel  échassier mais plus simplement une aigrette garzette vue au port aux pêcheurs de la cité héraultaise. Et  pour  une fois,  je  me suis  transformé en  photographe animalier, ce qui sur ce coup là, n'était pas difficile, tant que l'oiseau a daigné rester en place.

 Photos au 70 x 300.

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Pour le fun, une tentative de photo high key... Je dis bien, une  tentative !  

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9 août  2017. On reprend  la visite du  parc du château d'Arlay. Il faut à présent redescendre.

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Un coup d'oeil  sur les vestiges de la chapelle aux fenêtres caractéristiques

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Sur le chemin de la descente,  on surplombe le boulingrin, cet endroit où l'on pratiquait des jeux de plein air.

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 Derrière moi, d'autres vestiges dont malheureusement  j'ai oublié la destination, peut-être la base du donjon du château.

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Le chemin serpente de manière agréable sous les arbres. Un bonheur par forte chaleur.

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A présent  nous sommes en contrebas du boulingrin.

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A l'approche du  jardin des jeux.

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Dans les parterres de  fleurs

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Il n'y paraît pas ainsi, mais voici l'échiquier et on distingue à l'arrière plan, les pièces du jeu façonnées en grillage.

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Devant nous le carreau et au fond, le trèfle, avec encore une fois l'échiquier.

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Juste avant  la sortie, un  petit coin super sympa que les hérons se sont appropriés.

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Et un petit clin d'oeil à Monsieur le Comte Alain de La Guiche qui saura vous faire apprécier comme il se doit les vins du Jura, dont le domaine est producteur.

Merci Alain pour ta gentillesse et ta serviabilité à chacune de mes visites professionnelles ou privées. 

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Quelques photos oubliées du mois d'août 2017, lors d'une visite au château d'Arlay,  chez mon ami  Alain de Laguiche, à l'occasion de la journée des Princes d'Orange.

Il serait trop long de retracer l'histoire de ce vénérable domaine. Je ne peux que vous conseiller de vous rendre  ici  pour en savoir un  peu  plus.

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En cette journée de fête, beaucoup de monde pour profiter de la cour du château.

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Depuis la cour, on domine le "jardin des  jeux", ainsi appelé à cause des parterres fleuris en forme de jeu d'éched et de cartes à jouer.

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A présent, on part à l'assaut du sommet ... et de la forteresse. Un banc bien placé pour souffler un peu.

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L'allée  ombragée est pentue mais augure d'une belle découverte.

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En effet, on découvre un des magnifiques panoramas du lieu. Ici, vue sur la Chevance  d'Or en bas et Arlay à gauche avec son clocher comtois. 

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On est presque au sommet. Nous voici à la porte de l'Epinette, vestige médiéval et  ouverture dans lemur d'enceinte du château féodal.

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Détail du mur et des archères ou  meurtrières qui servaient à défendre l'accès au château.

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Bien à l'abri des murs, on découvre la bergerie.

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 Une autre vue de la bergerie où paissent habituellement des chèvres.

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Voilà, nous sommes au sommet. La vue sur le premier plateau du Jura est imprenable. En contrebas, le vignoble du château qui contribue à sa renommée.

Puis au second plan, le village de St Germain les Arlay, aujourd'hui rattaché à Arlay.

Derrière, se situe Domblans et sur la hauteur, plein centre, le celèbre village de Château-Chalon.

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A  bientôt pour la suite de la visite.

15 août  2017 -  Petit tour du côté de Santec. Un endroit magnifique où les résineux sont rois.

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Une épave... Étrangement seule sur ce bout de plage.

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Au fond, Roscoff. Où je ne suis pas allé cette année. Je connais déjà et j'avoue que le monde qu'il y a en été, me rebute un peu. On verra l'an prochain.

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Une habitante des lieux parmi tant d'autres.

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Je suis sur la presqu'île de Perharidi où est situé un centre de soins. En face, l'île de Batz, dominée par le phare.

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 En plan plus large, toujours l'île de Batz.

La plage de Perharidi est à marée basse. Pour autant, les baigneurs ne sont pas nombreux.

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A bientôt  - Kenavo

Dernier passage à la biennale de Besançon au mois d'octobre 2017. Ces photos ne reflètent en aucun cas mes goûts mais sont juste là, parce que quelque part, elles m'ont interpellé et sont  peut être matière à réflexion.

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Grandgi : Dommage que la photo ne restitue pas le relief.  Mais  l'oeuvre était quant à elle,  muette...

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Martine Tatu-Verdot : Faudrait peut-être mettre un pense-bête pour penser à nettoyer ce mur de tous ces pense-bêtes.

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Non identifié :  Un cavalier de  l'apocalypse?

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Edouard Heyraud : Où quand les objets du passé créent la ville de demain...

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Pascal Coupot : Sculpteur de talent, il possède une forme d'humour parfois caustique. La juxtaposition de ses deux  œuvres nous en apporte un aperçu.

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Non identifié  : Les statues de l'île de Pâques ont bien changé ...

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Non identifié :  Fin de mon regard sur cette Biennale pas inintéressante par la diversité des travaux présentés et disons le,  par l'ingéniosité de certains créateurs... 

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