Par endroits, les coquelicots s'immiscent dans les parterres verts des plantes céréalières.

C'est peut être à cela que l'on reconnaît la culture raisonnée, je ne parle pas de bio,  de la culture industrielle.

Mais cela donne l'occasion de faire des photos.

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Je suis à Villevieux (39). Ici, coquelicots et colzas vivent en harmonie dans les blés (?)

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Le ciel lui aussi apporte une belle palette de nuances.

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Le rouge parsème le vert, mais sans excès.

Les premiers contreforts des coteaux du Jura offrent une excellente toile de fond.

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Avec ce petit traitement photographique, les coquelicots apparaissent comme dans un champ de lames d'acier...

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En bordure du champ, le jaune des renoncules ou boutons d'or, tranche avec le vert des épis.  

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 Trop loin dans le champ et ne voulant pas fouler ce dernier,  j'use du téléobjectif.

Heureusement qu'il n'y a pas de vent et en plus je n'ai pas mon trépied.

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Comme il paraît bien seul ...

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 On le dirait fabriqué dans du papier crépon...

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Et une dernière photo, juste pour le plaisir.

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A bientôt

Marciac est bien connu pour son festival de jazz.

Mais ce jour là, ce n'était pas l'heure de la musique mais plutôt celle du repas pris sur une péniche sur le lac de Marciac.

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L'ancre  fait  illusion, car la péniche est en fait enserrée dans un bloc de béton ...

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A l’extérieur, une petite composition florale qui a attiré mon regard.

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Un petit  plan rapproché pour entrer dans les détails.

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Après le repas,  direction Tillac, un vieux village fortifié. Une  première porte, la porte de Rabastens de Bigorre protège l'entrée.

Je n'ai pas photographié le bas, à cause des panneaux disgracieux apposés devant..

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Pour me rattraper, une vue depuis le porche, toujours sans les panneaux, avec la rue principale en enfilade.

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La vieille rue moyenâgeuse dans toute sa splendeur.

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L'autre côté de cette même rue. On peut imaginer qu'en été, il y a plus de monde... 

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La seconde porte du village, dite porte de Mirande

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Et la même porte, comme un écho à la première à l'autre bout du village.

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Puis la journée s'est  terminée à Mirande dont l'église Sainte Marie pouvait servir de réduit citadelle en cas  d’attaque de la ville. Son clocher  quadrangulaire haut de 35 m et à trois étages et cinq tourelles avait ainsi une vocation défensive ainsi qu'une terrasse aménagée au-dessus de l'église et qui communiquait avec les combles au-dessus de la nef par un escalier extérieur en encorbellement. (Source  Wikipedia)

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Pour la prochaine série, on prendra un peu de hauteur.

Au centre du village de Plaisance, comme ailleurs, trône l'église. Son architecture n'a  pas retenu  mon attention.

Mais malgré tout,  j'ai voulu voir l'intérieur comme je le fais ailleurs.

 Et là ...

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Et là j'ai découvert un orgue superbe avec des peintures étonnantes...

(Voir les explications techniques à la  fin.)

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De l'autel jusqu'aux volets de l'orgue, tout est peint.

Avec pour thème l'eau .

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J'aurais voulu faire des photos d'un genre particulier mais l'accès était interdit, ce que je comprends.

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Vu ainsi, on pourrait croire voir une boite de calligraphie avec ses plumes bien rangées.

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Ici,  j'ai souhaité apporter un peu de chaleur à l'ensemble.

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 La vision des volets peints est assez extraordinaire

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Et comme on peut le voir, l'eau est présente dans les tableaux.

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Comme le rappelle le site de la ville, Plaisance est à la croisée de trois grands festivals : Marciac et  le jazz, Vic-Fezensac et  "tempo latino", Mirande et la country.

Faut-il y trouver là, l’inspiration de l'artiste peintre Daniel Ogier? Peut-être. Et finalement, je ne regrette pas d'être entré dans cette église.

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 A bientôt pour la suite de ce périple.

On va rester à Plaisance du Gers et profiter de la nature. L'endroit est plaisant et appelle à s'y installer.

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Dans un coude de  la rivière, on découvre un vieux moulin.

L'Arros ayant un parcours tortueux en amont, un petit canal long de plus d'1 km amène en droite ligne l'eau de la rivière  jusqu'à cet endroit.

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Je reste là un certain temps, histoire de m'imprégner de l'atmosphère du lieu.

Puis je fais une seconde photo, retravaillée à ma manière.

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Et enfin je termine par un plan plus large, histoire de mieux voir la confluence des deux cours d'eau.

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Derrière moi se situe le vieux pont, présenté dans le reportage précédent.

Je cherche quelque reflet et je découvre dans un puits de lumière, cette bergeronnette en quête de nourriture.

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Sous les voûtes du pont, une autre façon de voir le village...

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Je suis toujours dans ma recherche de reflets.

J'aurais souhaité une eau parfaitement lisse, mais une légère brise en a décidé autrement.

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Passage dans le village. Comme dans beaucoup de lieux identiques, de nombreux magasins sont aujourd’hui  fermés.

Cette boucherie ne  fait exception. Heureusement elle a gardé ses grilles d'époque.

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Il s'agit de la boucherie Cazenave, fondée en 1880 dont on peut admirer le travail d'artiste des ferronniers.

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Poursuite demain de la visite dans un lieu public mais qui réserve une surprise.

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Fin avril,  j'ai pu profiter d'un cours séjour dans le Gers, à Plaisance du Gers.

Voici quelques vues ramenées de ce voyage de trois jours.

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Premier soir, repas  à Marciac, célèbre pour son festival du jazz.

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Au sortir du restaurant, la nuit s'est installée.

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Lendemain matin, petite promenade au bord de l'Arros, où règne un grand calme.

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Les reflets dans le calme de la rivière sont apaisants.

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De belles maisons, souvent anciennes, bordent la rivière apportant un certain cachet à l'ensemble.

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Ombre et soleil, un cocktail très intéressant que  j'aurais aimé  traité à la manière d'un impressionniste...

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Les chatons apportent une touche printanière au tableau.

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Le vieux pont continue de voir s'écouler la rivière même si parfois celle-ci s'est transformée en furie débordante comme en 1977 ou en 1994.

A voir ici  : inondations 1994 

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A suivre

Aujourd’hui, un reportage coup de gueule.

Le 28 avril, j'avais une heure à perdre. Je me suis rendu à quelques minutes de chez moi, au château de Pierre de Bresse (71), dans l'idée d'y réaliser quelques photos. En arrivant,  j'ai trouvé la grille fermée. Puis j'ai vu un pavillon ouvert, marqué entrée. Dès  cet  instant, j'ai eu un doute. Je me suis présenté à l'intérieur et j'ai demandé à me rendre dans le parc face au château. Là on m'a répondu que l'entrée était à présent payante - 8 € - !

Bien sûr pour ce prix là, j'avais droit à l'accès au musée, à la boutique, à la cafétéria... Heureusement encore.

Je veux bien que pour accéder au musée, je dois m’acquitter d'un droit d'entrée, mais pour faire quelques photos de l'architecture extérieure et de vieilles pierres depuis la cour  intérieure, non. Jusqu'à, il y a peu, l'accès était libre. On ne payait que si l'on souhaitait visiter le musée.

 Voilà comment on tue la culture.

 Alors, désolé. Vous n'aurez que des photos de l'extérieur et sans commentaires. Merci de votre compréhension.

Petit additif :  suite aux premiers commentaires (merci), ce château appartient au Conseil départemental d Saône et Loire ...

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Pour la cour intérieure, je vous laisse imaginer...

 A bientôt, mais plus ici !

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20 août 2016. C'est l'époque des grandes marées. Attention, ce ne sont pas les marées d'équinoxe.  

Mais le coefficient est quand même plus important que d'habitude. J'espère donc pouvoir faire quelques photos intéressantes. 

Tout d'abord la localisation. Sur la carte, en rouge ma position de photographe, en vert, mes angles de prises de vues et en bleu l'endroit où je suis dans le Finistère Nord

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Kerlouan, près de Guisseny.  Ici, une plage quelque peu abritée. Il y a du vent mais l'effet marée est peu visible.

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Le temps est incertain et la mer s'est creusée un peu.

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Il y a bien quelques rouleaux mais pas vraiment ce que j'attendais.

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Au loin, avec le zoom, l'effet marée est plus visible.

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 Les vagues viennent heurter un rocher. Cela bouge quand même...

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Changement de décor.

 Je suis passé de l'autre côté de la langue de terre,  à 50 m de l'endroit précédent.

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Ici, plus de protection. La côte est ouverte sur le large et est battue par les vents et donc les vagues.

 L'effet est plus spectaculaire. Mais pour la suite, ce sera un autre jour.

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A bientôt

Dans quelques semaines, le site historique des Forges de Baudin va effectuer sa mutation.

Il va s'enrichir, tout en conservant son âme historique et patrimoniale, du Musée d'Art Urbain - Street Art  (MAUSA) 

 Situé en  pleine  nature, celle-ci restera bien présente, à l'image de ce qu'elle est aujourd'hui

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Nature à l'état pur au pied de Toulouse le Château, avec la pâture qui accueille des chevaux.

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 C'est toujours un spectacle à voir, surtout quand  il s'agit de jeunes chevaux.

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Cet article est intitulé : les lilas de Baudin, la preuve en images.

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 Contraste étonnant entre l'arbre mort et le lilas toujours  vivace.

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Pas évident avec le 70 x 300, sans trépied, depuis  l'autre côté de la rivière d’immortaliser les petites  fleurs.

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Un bouquet provisoire qui ne va pas tarder à mourir. Mais l'an prochain, il reviendra...

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 A bientôt

Retour sur la photo 2 de l'article précédent. On aurait pu croire qu'il s'agissait d'un serpent aquatique...

Mais non, c'était tout simplement  le reflet déformé par les  vaguelettes, d'une traînée d'un avion.

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Le petit  port du Pin ... Guère d'animation à cette heure matinale.  

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Une image apaisante dans le calme du petit matin .

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Les arbres me permettent de jouer avec le soleil qui maintenant est déjà bien haut.

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Sur le lac, les pêcheurs sont déjà à l'oeuvre.

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D'autres se mettent en place. La  journée sera belle ...

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Dans la trouée végétale, image d'un pêcheur solitaire.

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Plein soleil pour les moutons mais aussi pour moi : bing, dans l'oeil ... 

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 Et quand on peut concilier le lac, le pêcheur et les moutons, ça donne cela...

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 Et enfin ma dernière  photo  de cette série du lac de Paladru où j'avoue avoir été séduit pas la beauté du site .

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L'attente se poursuit. Mais  imperceptiblement la lumière change...

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Le soleil est juste là-bas, mais il fait encore le timide, alors que quelques brumes matinales traînent encore à la surface de l'eau.

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La photo mystère ...  alors qu'une foulque passe tranquillement devant l'objectif.

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Mon œil rivé sur l’œilleton de mon appareil photo, je guette l'instant magique.

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 Quel spectacle ! Du coup, je ne ressens pas trop les 6° ambiants...

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 Voilà ! Il est là, juste au dessus de l'axe du bateau. Pouvais-je faire mieux? Sans doute, mais je me contenterai de celle-là.

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Et enfin pour parachever la série, l'embrasement total.

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C'est fini, le soleil reprend sa course et moi j'ai changé de coin. Je suis au port du Pin, pour une suite un peu différente.

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A bientôt