31 juillet 2021 : découverte de Verdun sur le Doubs, village niché au confluent de la Saône et du Doubs. Une situation qui lui vaut le passage de nombreux  plaisanciers. Désolé  pour  le caractère gris des photos, mais le temps n'était pas spécialement au beau.

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C'est dans les derniers méandres du Doubs, que se loge le petit port de plaisance. Sur la gauche, le pont Saint Jean sous lequel passe le petit Doubs.

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Le petit Doubs, un havre de paix, que l'on retrouve de l'autre côté du pont 

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Les cygnes y sont heureux, loin de l'agitation qu'il peut y avoir parfois sur la grande rivière proche.

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Voici le Doubs. Au loin, on distingue le premier silo coopératif de France construit en  1930 et qui compte quinze ascenseurs qui permettent d’acheminer les céréales dans le silo.

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Un demi-tour sur moi-même pour découvrir l'autre côté de la rivière à une centaine de mètres du confluent avec la Saône. La ville se targue d'être un paradis de la pêche. La preuve, il y a bien un pêcheur sur la photo.

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Enfin, voici le fameux confluent du Doubs et de la Saône. Et comme il se doit, un bateau pour justifier  du fait que Verdun sur le Doubs est aussi un paradis  pour les plaisanciers.  

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À suivre  pour découvrir quelques curiosités de  la vieille ville. À bientôt.

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26 juin 2021 : Toujours à l'abbaye de Valmagne où à la manière des moines convers,  je déambule...

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Me voici à présent dans une des galeries couvertes s'ouvrant sur un jardin. Il s'agit de la galerie sud "Corpus" dédiée au corps et au matériel avec le chauffoir, le réfectoire des moines et la cuisine. 

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De l'entrée de la salle capitulaire (lieu de réunion de la communauté religieuse) la vue traverse le déambulatoire de la galerie pour se perdre dans le  jardin.

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 À l'intérieur du réfectoire de grande taille, on découvre l'immense cheminée.

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Dans ce réfectoire, deux grands  vitraux. On y retrouve les armoiries des propriétaires actuels : le lion pour les Gaudart d’Allaines, avec pour devise "Spe et Fide" (espoir et fidélité), et celle du Comte de Turenne :  "Ferme et Juste".

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Nous voici à présent dans le jardin où l'on découvre cette étonnante construction. Mais qu'est-ce donc?

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Il s'agit du lavabo qui se trouve devant le réfectoire (afin que les moines se purifient les mains avant de toucher le pain, symbole sacré). 

Alimentée par la source de Diane, la fontaine déverse son eau pure de la vasque supérieure vers un bassin octogonal par quatre têtes de griffons. (voir photo ci-dessus)

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L'eau s'écoule tranquillement, son murmure troublant à peine la quiétude des lieux.

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Une clôture octogonale avec une série de trois arcs de chaque côté, reposant sur des colonnettes jumelées, enserre la fontaine. 

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Voici la clôture octogonale, toute en finesse. Huit nervures de pierre se réunissent au centre par une clé pendante. La végétation, apportant de l'ombre au lieu en plein été, est supportée par une treille. 

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Enfin surplombant le tout, le clocher-mur à trois ouvertures construit dans la plus pure tradition toulousaine, avec ses rois cloches, Louise - Suzanne - Marie, baptisées par Mgr Jean-Pierre Ricard, évêque de Montpellier, le samedi 29 avril 2000. 

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Ainsi s'achève ce voyage de juin 2021 en terre occitane, loin de la foule, mais que cela fait du bien...

À bientôt, quelque part ailleurs, si vous le voulez bien.

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26 juin 2021 : Mon séjour se termine. Et c'est une visite exceptionnelle qui m'attend en un lieu superbe, baigné de quiétude.

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En attendant notre guide, nous patientons près de la pièce d'eau, dont je doute qu'elle date de la construction de l'abbaye. Elle a sans doute eu une utilité mais laquelle?

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Devant l'entrée, enfin une des entrées des anciens logis abbatiaux, largement remaniés depuis leur création. La couleur de la pierre est caractéristique de  celle que l'on trouve au nord de Montpellier.

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Fondée en 1139, l'abbaye des moines bénédictins rejoint un peu plus tard l'ordre cistercien.

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L'arc cintré ne déborde pas de sculptures comme le portail de certaines cathédrales. Néanmoins, on y trouve quand même matière à étudier. Mais  je vous  invite à observer les deux chapiteaux de chaque côté de l'arc ou archivolte.

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Pour une fois  je ne vais pas recopier ce que je trouve sur Internet. Mais l'explication au sujet des deux chapiteaux de la photo précédente, est là.

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Petit détail des sculptures, les fameux donateurs dont il est question au-dessus?

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On pénètre dans ce qui fut la nef mesurant 83 m de long et 23 m de haut. Soumise à la règle cistercienne, la décoration de l'église est par conséquent réduite au minimum, comme vu au porche d'entrée. 

 Je vous laisse deviner ce qui se cache au fond à droite.  

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Ici, l'une des rares chapelles, sur 9, à avoir conservé sa destination première.

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 Car effectivement, en 1790, les trois derniers moines quittent Valmagne. L'abbaye devient bien national. Elle est vendue en 1791 à M. Granier-Joyeuse qui  transforme l'église en chai. Des foudres sont alors installés dans les chapelles latérales et axiales de l'église. Aujourd'hui, ces foudres attestent simplement du passé viticole du lieu. Le domaine poursuit néanmoins la production du vin mais avec des techniques de conservation modernes..

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On sait les effets du vin, néfastes pour la santé. Ici se sont les murs des chapelles latérales qui ont souffert des émanations et vapeurs d'alcool provenant des tonneaux, dont on devine le sommet de l'un deux, en bas de  la  photo.

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 À suivre, si vous le voulez bien. À bientôt.

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25  juin 2021: je poursuis ma route au fil de l'eau en espérant faire quelques découvertes intéressantes au point de vue photo.

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Au  long du cours d'eau,  on rencontre des troupeaux de taureaux et de chevaux. Coexistence pacifique... surtout en présence des jeunes taurillons.

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La relève est assurée et maman veille sur sa progéniture.

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Chez les chevaux aussi, il y a de la  jeunesse.

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Devant nous, le bac du sauvage. Bien pratique dans cette région où les ponts sont rares. Un bateau que j'ai d'ailleurs emprunté pour m'aventurer das la Camargue profonde. 

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Mais pour nous, c'est la fin du voyage aller. Le câble  permettant le guidage du bac, nous interdit d'aller plus loin.  

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Retour donc vers les Saintes Maries, ce qui me permet de découvrir l'autre rive du Petit Rhône. 

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Au-delà de la rive, on découvre la Méditerranée. 

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Ce  n'est qu'en retravaillant cette photo que j'ai découvert la présence de ce rapace dont  je ne donnerai pas le nom, de peur de me tromper ! Surtout que je ne le connais pas.

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La rive est plus boisée d'un coup. Il y a moins d'eau au bord, et les mouettes y font leur toilette.

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Que de perchoirs, notre aigrette garzette n'a que  'embarras du choix. 

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El 'ami héron veut-il ressembler au jaillissement de plantes derrière lui en mettant ses plumes au vent?

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Finalement non. Et lassé de voir les touristes le prendre en photo, il leur tourne le dos.

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C'est la fin de cette promenade au fil de l'eau, avec ce bouillonnement d'écume. Une promenade qui m'aura permis de rencontrer quelques spécimens  caractéristiques de la Camargue, dans leur environnement naturel. Ce qui n'a pas de prix.

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À bientôt 

25 juin 2021 : Petite escapade sur le petit Rhône.

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 En Camargue, on cherche inévitablement à voir des taureaux (ou des flamants). Depuis la route, c'est toujours derrière des barbelés. Ici ils sont libres. C'est tellement mieux pour la photo. Ici, ils sont un peu loin, mais peut-être aurais-je la chance avec moi pour en voir de plus près.

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Les rives du fleuve sont envahies de bois mort mais aussi de goélands !

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Enfin un beau spécimen, isolé. Du coup, le 70x300 s'impose. Et le passage du bateau ne semble pas le troubler. J'imagine qu'il est blasé de voir des touristes  passés et repassés...

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En prenant cette photo, je n'étais pas sûr d'avoir bien vu. Mais en l'agrandissant, j'ai bien sauf erreur de ma part, un bihoreau à gauche et une aigrette garzette à droite. Du coup, je suis un peu content !

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Et la chance est encore avec moi puisque je peux tirer le portrait de ce héron sans que celui-ci ne s'enfuît à mon approche.

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Petit changement de décor, avec ce qui de loin, m'est apparu bien étrange: des bateaux à terre. Mais non, il s'agit bel et bien d'un petit port. 

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Et en voici la preuve avec son chenal d'accès.

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Et puis c'est l'apparition de cabanons avec chacun, un appontement et bien sûr, un bateau !

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Et puis une image d'un autre temps avec ce magnifique carrelet ou filet de pêche.

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Voici pour cette deuxième partie de mon voyage en bateau. Allez, promis, je vous  prépare la suite.

À bientôt.

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25 juin 2021 : Direction les Saintes Maries de la Mer. Mais pour une fois, pas pour du tourisme traditionnel en ville, mais pour un grand bol d'air.

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Mais avant de partir, une petite concession au tourisme avec cette vue de l'église fortifiée des Saintes Maries de la Mer.

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Un petit rappel des célébrités locales...

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Elle protège son petit. Mais qui est-elle? Et depuis quand est-elle là?

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Je me demande bien pourquoi on appelle cette mer, la Grande Bleue?

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On l'oublie trop souvent mais les Saintes Maries de la Mer, c'est aussi un petit port de pêche.

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Mais la plaisance y a aussi droit de cité, comme on peut le voir au fond.

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Un petit reflet étoilé vert pour changer du bleu.

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Quel calme, loin de l'agitation du centre ville. 

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Ah, j'ai parlé trop vite...

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Vous l'aurez compris, je suis en bateau. Mais pas vous. Alors vous ferez le voyage en photo.

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Lui rentre de sa promenade. La mienne commence. Mais ce sera dans un prochain épisode à suivre sur cette antenne!

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À bientôt.

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24 juin  2021 : Comme c'est loin déjà. Et pour tout vous dire, quand j'ai revu mes photos, je ne me souvenais même pas les avoir faites...

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Lascivité, amour, sieste au soleil du  Midi.

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Comme deux pions d'un éternel jeu d'échec.

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Droites et  perspectives. Ici en l'occurrence, de s perspectives de beau temps.

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Je sais maintenant où la mer fait son nid.

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Retour de pêche avec le ballet bien connu des mouettes à l'arrière.

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Du bleu, puis du  bleu et encore du bleu . Et j'oubliais, un peu de blanc...

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J'ai retrouvé le bateau de Barbie !

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Quel style, quelle floraison. Cela valait bien une photo. 

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En début d'été 2021, une photo printanière. C'est marqué dessus.

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On pourrait s'y tromper. Dehors ou dedans?

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À bientôt. Promis.

23 juin 2021 : Poursuite de la découverte de cette  petite Venise...

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Me voici à présent sur le quai Brescon à côté de quelques barques de pêcheurs qui donnent avec les façades colorées, la note provençale au lieu.

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Une tartane, barque de pêche typique à voile triangulaire, justement dénommée Martigues, est encore présente dans ce petit port. Sans doute une  embarcation restaurée et préservée. 

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Peut-on faire plus simple? En tous cas, l'embarcation est bien gardée...

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De  l'autre côté du pont, sur un angle du mur de l'église, la statue d'un saint.

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Si j'en crois les trous laissés dans le personnage, il s'agit de Saint Sébastien. Les flèches ont disparu. Mais le doute n'est guère permis puisque le pont et  l'église sont affublés du vocable de Saint Sébastien !

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De l'autre côté du pont, le quai Marceau. Si adorablement typique avec en arrière -plan, l'église Saint-Sébastien et son incontournable campanile.

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Quelques bateaux de pêche modernes s'insinuent encore dans un paysage façonné par les bateaux de loisirs.

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Une originalité bien utile du lieu : la navette maritime qui permet aux habitants de s'affranchir de la circulation routière pour aller d'un quartier à  l'autre. Elle dessert les trois quartiers du centre-ville de Martigues : Ferrières (derrière l'Hôtel de Ville), L'Ile (pointe de l'Ile) et Jonquières (arrêt Lucien Degut, rond-point du Leader Price). Elle est totalement gratuite.

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 À bientôt et en espérant vous avoir offert une autre vision qu'industrielle de Martigues.

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23 juin 2021 : Destination Martigues  une ville que je ne connaissais que de nom. Pour moi, sa proximité avec le tissu industriel de l'étang de Berre, de Fos, ne m'incitait pas à m'y rendre. Voici donc quelques images pour faire changer les opinions.

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En passant dans les rues de la vieille cité, je suis comme assailli par une nuée de papillons  multicolores.

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Et puis j'ai trouvé que l'effet serait plus saisissant avec une photo en mode portrait.

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Barques du Club Martégal de Joutes Provençales, sur fond du pont du quai Kléber.

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On peut imaginer que ces  barques servent aux joutes... mais elles ont sans doute déséquipées, vu l'absence du ponton à l'arrière pour le jouteur.

Au passage, on notera que la publicité a fait son apparition sur les flancs des barques...

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Martigues reste un port, beaucoup plaisancier et un peu pêcheur. 

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Et voici ce qui justifie le titre de  "Venise  provençale"  dont s'enorgueillit la ville au quai Brescon ou "miroir aux  oiseaux".

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Et une autre vue, un peu plus fleurie.

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Au prochain épisode, on descendra sur le quai...

À bientôt.

22 juin 2021 : Que ne ferais-je pas pour titiller votre curiosité!  Alors je vous laisse me rejoindre au fil des photos pour découvrir ce qui se cache derrière ce titre ...

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Nous voici donc en présence de ce cirque classé Grand Site de France et reconnu au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’Unesco pour son paysage culturel de l’agro-pastoralisme méditerranéen. Il s'agit bien évidemment du Cirque de Navacelles. La photo est prise depuis la Baume Auriol à 616 m d'altitude et le petit village est lui à  219 m en son point le plus bas.

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Ici l'objectif 70 x 300 prouve son utilité pour découvrir le hameau de Navacelles

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 Des maisons resserrées les unes contre les autres et dont le caractère méditerranéen n'échappera à personne. 

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Certaines sont blotties sous la falaise avec ici un détail intéressant. Elles sont dans le Gard, alors que l'autre côté de la rivière, au premier plan, c'est  l'Hérault...

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Le hameau tente de se fondre dans la nature derrière des arbres séculaires.  

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L'église de l'Assomption de Navacelles dont les débuts de construction datent de 1873.

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Surmontant le village en arrivant, quelques roches marquent le côté chaotique de l'endroit.

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Et puis dans le village, ces arbres à l'ombre bienfaitrice dont j'ignore le nom (désolé mais moi et les noms de plantes ou d'animaux, ça fait deux...)  .

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Peut-être que cette photo aidera les botanistes à resituer cet arbre !

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 Pour finir cette première partie et pour faire exception à la règle, voici un papillon dont je connais le nom (enfin j'espère)  : un  flambé.

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Mais au fait, je parlais au début de cirque et de Vis. Pour le cirque, c'est OK. Mais  pour Vis, qu'en est-il? N'y aurait-il pas un vice de forme? Promis, je me rattrape dans la suite de ce reportage. Alors,  à bientôt.

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