7 août 2021 : Après le moulin à vent de Craca, un moulin en bord de mer. Un passage s'impose. Allons-y.

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Bien évidemment, il s'agit d'un moulin à marée établi au fond de la baie de Poulafret  (Paimpol)

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Le premier moulin à marée de Poulafret a été construit en 1810 sur l'étang de Poulafret, accessible à la marée. Il a été reconstruit en 1880 et a fonctionné jusqu'en 1923. 

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La présence des bateaux au sec, nous indique que nous sommes bien à un endroit de la baie, à marée basse.

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L'endroit a été transformée en pôle nautique et base de loisirs avec une petite plage (hors  photo) .

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Depuis la digue séparant la mer (à droite), de l'étang (à gauche) avec la petite plage de sable.

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 À bientôt.

7 août 2021 : Du côté de Plouézec, on surplombe la mer, un spectacle des plus reposants par temps calme.

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Antoine Kito est un sculpteur installé sur la route de la pointe de Bilfot. Face à la mer trône une statue représentant une femme de pêcheur, guettant le retour de celui-ci.

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Le style particulier de l'artiste mérite d'y jeter un regard. Un regard que je n'ai pas eu assez aigu pour distinguer (photo précédente), une larme sur le visage de  la dame. Par contre, ici on notera le petit chien assis au pied de sa maîtresse, chien  symbolisant la fidélité.

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Du  haut du  promontoire, la vue est dégagée sur la plage de Plouézec (Port Lazo)

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Après quelques minutes de route, nous voici revenus au  niveau de la mer, sous un ciel chargé mais que j'aime tellement.

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Un pêcheur, des bateaux plats pour les parcs à huitres, des ilots épars. Un rien suffit à mon bonheur de photographe.

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Puis au détour d'un chemin, un vaste champ d'hortensias accompagnés de capucines. Le mélange des genres m'avait interpellé, en bien.

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Le moulin de Craca est à 80 mètres de la mer et à une altitude de 60 mètres sur la falaise Nord de Plouézec. Construit en 1843 et 184, il sera abandonné en  1993, puis restauré entre 1994 et 2001. Fonctionnel, il  permet des démonstrations de mouture durant la saison.

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 À bientôt.

7 août 2021 : Ce  jour-là, le temps était gris et je n'avais pas pu profiter de l'endroit, puis un grain était venu apporter son "grain de sel". Heureusement, le restaurant où j'avais réservé une table, était proche. J'ai pu m'y réfugier et y déguster des moules, sa spécialité. (Restaurant du GAEC de Pors-Even)

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À marée basse, on découvre les parcs à huitres. Au fond, se situe la chapelle de la Trinité.

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Les bassins où sont entreposées dans certains, des poches à huitres, semblent datés.

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 Sont-ils les héritiers d'une manière ancestrale de culture de l'huitre?

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 Quelques bateaux de pêche sur fond  d'île Saint-Riom

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 À marée basse, la mer découvre des surfaces sableuses réparties entre des amas de granite, résultant des poussées volcaniques il y a bien longtemps. Et difficile d'imaginer que le massif armoricain culminait à 4 000m.

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Pour les géologues, nul doute que l'étude de ces diverses pierres se montre intéressante ! Et pour nous autres, cela ajoute à la beauté du paysage.

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 À bientôt 

7 août 2021: le début de mes vacances. Depuis Perros-Guirec où j'ai pris mon premier petit déjeuner côtier, direction Plouézec et  plus  précisément, la pointe de Bilfort.

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Une vue imprenable comme on dit dans les agences de location ...  Au premier plan, le petit Mez de Goëlo  puis derrière  le grand Mez de Goëlo (Alt  60m). 

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 Sur le dernier rocher d'une suite "à la queue" du grand Mez de Goëlo, le phare de l'Ost-Pic. L'ost pic ou l'Hospic n'ayant aucune traduction du breton ni sens en français il s'agit très probablement d'erreur d'écriture.

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Une vue rapprochée de ce phare construit  de 1893 à 1894, et allumé le 15 août 1894. Il fut le premier en France à avoir un couple de gardiens officiellement désigné. En 1911, le phare fut automatisé. 

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Un chapelet de rochers rend la navigation malaisée pour qui ne connaît pas le secteur. Heureusement, de part en part, des balises montrent les chenaux à emprunter ou plutôt les endroits à éviter. Surtout à marée  haute.

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 De l'autre côté de la pointe, ce sont des falaises qui dominent, où les Allemands pendant la seconde guerre mondiale avaient disposé des observatoires.

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 À bientôt .

16 août 2020 : Voici la fin de ce reportage sur la côte bretonne. Mais aussi la fin de mes vacances 2020.

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Un vieux gréement s'aventure au large. Certainement une expérience enrichissante que je ferai peut-être un jour.

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Les rochers indissociables de cette côte créent des lucarnes avec vue sur mer.

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Gris, rouges, pourpres, noirs, aiguisés, arrondis, tailladés... Les qualificatifs ne manquent pas pour décrire ces rochers bretons.

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Un bestiaire rocheux ? N'y-a-t-il pas une tortue, un requin, un cochon et peut-être d'autres animaux dans cet amas?

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 Isolée au large, une barque ... Mais encore?

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Ah la pêche au casier pour récupérer sans doute quelques homards ! Où devrais-je écrire quelque homard !

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Une petite photo pour rappeler que la Bretagne c'est aussi la Terre avec comme ici liseron et capucines.

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Et pour finir je vous laisse... Le temps de réfléchir à cette sentence affichée sur un poteau électrique près du port.

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Ainsi se termine mes vacances 2020. Mais pour les amoureux de la Bretagne, il y a encore à venir, les photos des vacances de 2021. Car ici, on prend son temps. Sans se préoccuper de ce qu'il y avait avant, puisque l'important, c'est ce qu'il y a encore à venir.

À bientôt

16 août 2020 : Dernier jour de vacances. L'occasion de jeter un dernier œil sur la mer.

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Les trois photos qui suivent n'ont rien de particulier, sinon qu'elles illustrent parfaitement le caractère maritime de la Bretagne, mais plus que les bateaux, se sont les ciels que j'ai voulu privilégier.

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Un reportage sur la Bretagne, sans chapelle, c'est impossible. Alors voici la chapelle  Saint Michel. Celle-ci faisait partie de l’ancienne paroisse de Trémenac’h annexée à Plouguerneau en 1792.  La chapelle St Michel fut bâtie en 1707 sur une fontaine de dévotion et là même où Michel le Nobletz, père des Missions Bretonnes, vécut en ermite en 1607 et 1608. 

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On pourrait croire cette pierre être une ammonite géante. Il n'en est rien. Les marques visibles sont celles d'un marteau-piqueur. Ce bloc de granit a été taillé et une partie a servi pour être sculptée.

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La mer d'Iroise est bien calme et se laisse contempler à l'infini.

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Depuis les terres, on peut apercevoir au-delà de la lande couverte de fougères, la fière allure du phare de l'île Vierge.

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 Encore un animal préhistorique, à moins qu'il ne s'agisse  d'un sphinx...

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 À bientôt pour la suite et fin de ce reportage.

16 août 2020 : Malgré le temps gris du jour ( pour une fois en Bretagne), je me dirige vers une petite plage charmante comme il en existe tant dans la région. Malheureusement...

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La plage du Douvez est situé sur la rive droite de l'Elorn. D'après mes informations, elle paraissait accueillante, malgré la grisaille. Hélas, la plage à marée  basse, laisse apparaître des algues vertes peu engageantes. Je vais devoir trouver mon bonheur photographique ailleurs, dans les environs.

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 J'imagine bien que lorsqu'il fait beau, le paysage est tout autre. Et pour les habitants de la zone pavillonnaire, ce doit être un régal.

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N'allez pas imaginer que ce bateau est abandonné. Non, à marée haute, il retrouvera les flots pour appareiller, au bon vouloir de son capitaine.

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De l'autre côté de l'Elorn, fleuve côtier qui se jette dans la rade de Brest, voici la charmante chapelle Saint Jean.

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Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés, etc... Et un chercheur de trésor ...

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Mais avant de partir, la photo obligatoire de l'endroit avec en perspective, au fond Iroise et Plougastel et les deux ponts qui, d’ici, semblent n’en faire qu’un. Au premier plan le pont de l'Iroise, derrière le vieux pont Albert Louppe, passage obligé entre le Léon et la presqu'ile de Plougastel Daoulas que l'on devine sous les ponts.

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À bientôt.

15 août 2020 : Depuis Santec et la plage de Thevén, un regard sur les rochers.

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Ils se dressent hors de l'eau, nécessitant les bateaux à faire de nombreux détours. Car s'il y a ceux qu'on voit, il a aussi ceux qui sont sous la surface de l'eau et  bien plus traîtres.

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Ils sont toujours intrigants avec leurs formes bizarre et certaines roches qui semblent en équilibre instable.

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Ils semblent taillés grossièrement au burin.

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Ils offrent des formes, des veines multiples. Marques du temps géologique...

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La plage en ce 15  août est bien déserte. Et le soleil peu présent n'incite pas à la baignade.

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Du côté des bateaux, pas mieux. Les sorties sont limitées au maximum...

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Et un dernier rocher particulier, refuge d'une tétine perdue, oubliée !

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À bientôt

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15 août 2020 : À quoi bon vouloir faire des photos en ville, alors qu'il y a foule? Du coup, j'ai laissé mon regard aller où bon lui semblait.

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Comme ici avec ce gros plan de l'ancre posée face au port. Je n'ai malheureusement pas su d'où elle provenait.

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 Face à elle, l'entrée du  port

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Et dans  le port, comme abandonnée au rythme des marées, cette barque, sorte d'objet flottant non identifiable.

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À peu de distance, la façade d'un côté, battue par les vents du large, d'une maison aux murs de pierre. Nous somme ici au bout de la rue commerçante. Là où la foule s'agglutine !

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Construit en 1968, cette jetée ou estacade longue de 580 m, permet l'embarquement des passagers pour l'île de Batz à marée basse. 

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Après une première maison, la suivante. Dans le même style et pour cause, il s'agit de deux corps de bâtiment d'une maison en forme de U, au bout du quai Parmentier. 

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Au large, un vieux gréement s'autorise une sortie. 

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Mais si l'un sort pour le plaisir, l'autre travaille... et sa journée n'est pas finie.

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La vieille estacade dont il avait été question d'engager la restauration, il y a quatre ans. Mais les experts en ont jugé autrement... Elle ne sert d'ailleurs plus qu'aux piétons.

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Lorsque j'ai posté cette photo, j'ai voulu mentionner la présence de deux oiseaux, mais en y regardant de plus près, il y en a quatre !

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Garé sur le parking du port, je ne pouvais pas faire moins que de terminer ce reportage par une nouvelle photo du large, lequel aspire mon regard.

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 À bientôt.

14 août 2020 : Passage dans l'après-midi à la pointe Saint Mathieu. Beaucoup de monde, des touristes, dont je suis. Cela veut dire peu de photos. 

Mais ici , il n'est pas nécessaire de mettre une pléthore de clichés pour être en phase avec le lieu.

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Les hauts murs de l'ancien abbaye aujourd'hui ruiné. Les ruines que l'on peut voir de nos jours ne sont pas celles de l'abbaye du VI^e siécle, mais celles du monastère bénédiction reconstruit aux XI^e et XII^e siècles. Ce sont les vestiges de l'église abbatiale qui fut élevée de 1157 à 1208 et remaniée aux XIV^e et XV^e siècles.   

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Se mêlant gaillardement au dessus des ruines, on découvre le phare construit en 1835, haut de 37 mètres et s'élevant à 56 mètres au-dessus du niveau de la mer. (Portée en mer 24 km).

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Ces vastes ouvertures devaient sans doute être munies de vitraux qui devaient diffuser une douce clarté dans l'édifice.

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Ici, un bas-relief (?) dont je doute que ce soit sa position originelle et qui doit dater de la période gothique.

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À côté des ruines alliant art roman et gothique, le sémaphore moderne actuel a été érigé au plus près de la pointe en 1906, pour avoir une vue sur le chenal du Four comme sur l'entrée du Goulet de Brest. Haut de 37 mètres et s'élevant à 56 mètres au-dessus du niveau de la mer, il s'agit en fait d'une vigie car il est opérationnel 24h/24, au contraire des sémaphores qui ne sont armés par leur personnel que du lever au coucher du soleil. . 

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Un bel ensemble constitué d'éléments disparates : ruines de l'abbaye, ancienne église paroissiale Notre-Dame-de-Grâce, croix monumentale Saint Mathieu, vigie et phare. Pour tous une seule mission veiller sur les vivants et sur leurs âmes.

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À bientôt.

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