Suite et fin de ma promenade au Parc des Bains,  dans ma quête pour la couleur.

Mais finalement, en regardant après coup mes photos,  je m'aperçois que les formes m'ont aussi influencé.

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Mais tout d'abord, ce banc, habillé pour l'hiver à moins qu'il ne soit ainsi que dans  le cadre du street art  ou  du land art...  

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Enfin, quelques  fleurs attirent mon attention...

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Je vous  l'accorde, ce n'est pas de la couleur. C'est du N&B. Mais enfin quoi, le blanc et le noir ne sont-ils pas des couleurs?

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Au début,  je parlais des formes. Et cette image est particulièrement dérangeante, car rien n'y est droit mais tout en opposition ...

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La Vallière, traverse, en fait, longe le parc. Il  faut en profiter car dans quelques centaines de mètres, elle entame son parcours citadin couvert ...

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C'est la même rivière... mais oubliée la pose longue, que je n'aime pas trop utilisée car  je trouve qu'elle enlève le côté naturel d'une photo... Il s'agit du même endroit mais pris de l'autre côté du pont.

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Au détour du chemin,  ces constructions. De la couleur, oui, mais comme la qualifier, passée ou vive?

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Ici,  belle opposition...

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Et l'on retrouve les narcisses jaunes qui nous mènent vers les Thermes.

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Un gros  plan pour embellir la page...

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Me voici arrivé au bout de mon périple. Pas beaucoup d'effervescence dans le parc. Mais au final, n'est ce pas mieux ainsi, pour profiter pleinement de l'endroit? J'y reviendrai,  dès que les iris seront en fleur .. ou avant !

Au coeur d'un hiver qui ne veut pas dire son nom, petite promenade au Parc des Bains de Lons le Saunier pour tenter de trouver quelques couleurs dans la grisaille du moment.

 Avec un clin d'oeil à Nadia.

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Et dans la grisaille,  j'ai trouvé de la couleur avec ces narcisses jaunes, en tout début de floraison..

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Et puis encore ces crocus, que j'ai isolé par un N&B aux alentours.

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Même le petit plan d'eau m'offre ses reflets arborés.

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Les  jardiniers de la ville sont passés par là, le rouge est encore tendre. Il me  faudra revenir. 

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Le petit bassin reçoit son approvisionnement en eau .

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Tiens, voilà du rouge qui a résisté à l'hiver et aux oiseaux.

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Et puis du jaune, qui lui, annonce plus ou moins un printemps proche.

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Les branches des arbres créent en ce moment des vitraux aux pâtes de verre translucides.

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Ils n'ont pas été taillés et donc se dressent fièrement vers le ciel, comme des herses pour se défendre d'un éventuel agresseur.

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Et puis voici une photo anodine... au premier regard. Mais en y regardant de plus près, vous y verrez ce qui a attiré mon attention... Cherchez bien.

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Voilà la solution du mystère.

Il y avait dans l'arbre du milieu, un martin-pêcheur. Hélas je n'avais pas mon zoom avec moi.

Je ne peux donc que vous proposez un agrandissement de la photo précédente.

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A bientôt pour la suite de ma promenade.

Pour les besoins de l'Office de Tourisme des Côteaux du Jura,  je me suis rendu en réunion à Château-Chalon. Un temps exécrable, pluie, vent à ne pas mettre un photographe dehors. Pourtant j'ai décidé d'aller y faire quelques photos, histoire de montrer ce village, classé parmi les plus beaux villages de France avec un autre œil que sous le soleil et les petites  fleurs.

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La  montée s'effectue depuis Voiteur à travers le vignoble planté de savagnin qui donnera naissance au Château-Chalon, vin jaune par excellence.

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De ci, de là, les viticulteurs sont dans les vignes. Les premières tailles ont débuté.

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Tout au fond, la colline d'Arlay se dresse avec sa forteresse érigée au sommet et un arbre en fleurs, vient rompre la monotonie.

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De vieux pieds de vigne qui ont fait leur temps, terminent leur vie sous la pluie.

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La route continue de s'élever. A gauche enfin, on découvre le village de Château-Chalon sur son promontoire. Dans le creux,  Voiteur et Domblans.

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On se rapproche. Un nouveau petit arrêt pour immortaliser le village sous les nuages.

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 Dans le village, devant l'église, on voit que le vent a déjà sévi. Pour ma part, impossible de m'abriter sous mon parapluie...

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L'endroit habituellement si fréquenté, est désert.

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Sur le belvédère, personne. Ce lieu de passage obligé pour les touristes, est complètement vide .

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Tout au fond à gauche,,la reculée de Baume les Messieurs est sous  la pluie. Mais le belvédère n'e'st pas en reste et j'ai fort à faire avec les gouttes de pluie sur l'objectif. 

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Il est temps de repartir. Au passage, je remarque cette poignée qui me fait de l'oeil. Je ne sais pas combien de fois je suis passé par là, mais je ne l'avais jamais remarquée...

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Enfin, voici la traditionnelle photo de Château-Chalon que pas un organisme touristique m’achèterait pour illustrer un article sur ce si beau village.

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Et je suis reparti. Dommage car une heure après, le vent avait forci et une tempête de grêle s'abattait sur la région.

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Retour en Bretagne, et plus précisément du côté de Plougonvelin. Les plages ne sont pas à proprement parler, ma tasse de thé en matière de photographie. Trop de monde ... mais heureusement, il y a le sable, les vagues, etc ... 

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Mais en terme de vague,  ce n'était pas violent ... et celles-ci étaient plutôt ensablées.

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Heureusement, un peu plus loin, avant qu'elles ne viennent mourir sur le rivage...   

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Bien sûr, pas de quoi surfer...  

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Jeu de couleurs et de nuances... que les vagues viennent perturber...  

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Et  pour finir,  vagues de  nuages....  

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J'ai quitté le Jura pour le Doubs. Me voici à présent sur le pont enjambant justement le Doubs, entre les lacs de Remoray et St Point. Bien sûr, il y a de la neige mais pas autant qu'espéré...

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Les eaux du Doubs sont particulièrement calmes et la température est douce. Et  l'ombre du  pont  finit de mourir dans l'eau.

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Au bout, le lac St Point prend vraiment naissance mais il était trop tard pour que j'aille en faire quelques photos.

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De l'autre côté du pont, le lac de Remoray vient mourir, laissant par endroits des zones humides, prises par la glace. 

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 La limite eau, glace est particulièrement visible. Au fond, la masse sombre du massif du Haut-Jura barre l'horizon. 

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Quel bonheur que de pouvoir prendre un reflet sans une ride à la surface de l'eau ...

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Il ne faut pas grand chose parfois pour rêver : juste un paysage ...

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Un peu d'eau et c'est un nouveau reflet, comme pour dupliquer la beauté.

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Elles ne font plus guère illusion les massettes. Mais elles évoquent encore le côté lacustre de l'endroit et dans  quelques mois,  ce lieu s'animera d'une vie animalière grouillante. Mais, ça,  c'est une autre histoire.

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A bientôt

Dans ma recherche de la neige, j'ai repris la route. Mais depuis plusieurs  jours, le soleil est venu contrarier mon expédition. Celui-ci a fait fondre le manteau blanc, m'obligeant à aller plus loin. Cette fois-ci,  je suis à la limite du Doubs et du Jura, à Mignovillard (864m). L'épaisseur n'est pas exceptionnelle, mais après tout,  je ne suis pas là pour faire du ski...

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Heureusement qu'il y a du soleil, on peut profiter de quelques éléments graphiques comme les ombres.

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Et puis pour rompre la monotonie, on peut traiter en N&B. De toute façon, la neige restera blanche.

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Les haies d'arbres, quand il en reste permettent de donner de la profondeur à la  photo.

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Des traces révèlent une présence. Mais elles ne datent pas d'aujourd'hui et impossible de savoir qui est passé par là.

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La neige, c'est un assemblage de cristaux comme du sable. La preuve, regardez bien.

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Croisement de mammifères... 

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Et pour finir, même style que le début avec les ombres des piquets.

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 Demain, je reprends la route ...

On s'évertue souvent à aller en altitude chercher des champs de neige. Certes, les paysages sont très souvent magnifiques. Malheureusement, le temps peut manquer, la météo peut être en délicatesse avec le photographe. Alors, hier, je ne suis pas allé bien loin, juste après Château-Chalon, au Fied. Bien sûr, la neige n'était pas très présente, mais j'ai essayé d'en tirer parti. Voici donc le résultat de ma petite sortie.

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L'herbe et la neige pour un tableau peu ordinaire. Loin des étendues blanches immaculées, mais le charme, à mon sens, agit encore.

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Et puis en cette saison, les arbres dépourvus de leurs feuilles offrent la vision de leur ramure.

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Le ciel a tenu à apporter sa touche personnelle dans la composition de ce paysage,  je n'allais pas l'en dissuader.

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Et puis par chance, j'ai capté le rayon vert, si cher à Jules Verne. Bien sûr, il n'était pas sur l'horizon à l'instant où le soleil disparaît au bout de l'océan. Mais ce fut quand même pour moi, un instant d'indicible bonheur.

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Une photo plus pour l’anecdote qui montre que le vent venu de l'ouest a bien soufflé  et entassé la neige au pied des arbres.

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 Petit jeu avec les filtres pour cette photo

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Enfin changement de lieu. Ici à Valempoulières. Un  peu plus de neige pour une autre forme de paysage.

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A bientôt

Château-Chalon est un des sites emblématiques du Jura. En voici quatre vues prises du même endroit, alors que la brume remonte de la vallée. Pour la dernière photo, ayant peur que quelqu'un s'approprie le village, je l'ai mis en cage ...

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A très bientôt...

Le ciel en ce moment est bien changeant.

Et l'on dit que l'humeur des gens se retrouve à travers leurs actes, leurs écrits, leurs œuvres.

 A en croire mes photo,  je doit être assez perturbé actuellement...

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Nuages, nuées, ondées mêlées. Fait pas bon mettre un nez dehors.

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Si d'un côté, le temps est courroucé, de l'autre il offre une accalmie.

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Une autre vue de l'éclaircie en espérant qu'elle sera plus longue. (Mais il n'en fut rien !)

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Ces trois photos ont été réalisées au même endroit mais en variant les angles. (Du côté de Desnes et Vincent)

En ce 12 décembre, sortie nature à l'écopole de Desnes. Cet endroit est une réserve naturelle pour la faune et la flore, sur une ancienne gravière réhabilitée. Cette sortie que j'ai suivie  pour le journal avait pour but d'observer les oiseaux hivernants. Malheureusement pour les particpants, pas de locataires des lieux...

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Au petit matin, mais à la veille de  l'hiver, c'est déjà tard, le soleil tente une percée au delà de la colline de l'Etoile à 6,4 km de là.

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Le plan d'eau est d'un grand calme, à peine troublé par les sauts de quelques poissons.

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Les arbres nus (clin d'oeil à Focales  ) se mirent dans le miroir de la gravière, tandis que le Mont Genezet à gauche, (424 m d'altitude !)  surveille à 7 km de là, les environs ...  

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Plus proche de nous, les lichens ont envahi les arbres.

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Mousses, lichens et feuilles mortes... belle composition pour une nature morte (pour un temps).

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Dans le courant de la matinée,  le jour est enfin levé laissant apparaître quelques lambeaux de bleu. Dans le lointain, à 3,7km, la colline d'Arlay,  324 m.

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 Voilà pour ce petit tour d'horizon avec la carte pour se repérer.

A bientôt.