Toujours sous un crachin tenace, mais j'aime, quelques souvenirs glanés sur une petite partie de la route des abers. Bien sûr, le domaine privilégié reste l'eau tant salée que douce...

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Le  petit port tranquille de Paluden (Lannilis) sur l'Aber Wrac'h. Le gris du ciel apporte une douceur aux teintes que j'affectionne .

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Malgré la bruine ou le crachin,  je m'amuse des reflets des bateaux.

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Les nuages passent, et quelques gouttes d'eau sur l'objectif témoignent de leur venue.

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Contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'eau ne s'enchaîne pas... 

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Un peu de couleurs dans la grisaille et aussi un amical bonjour à la Bretagne.

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Une photo qui ne doit rien à un logiciel de post-traitement mais à mon chiffon pour nettoyer l'objectif et au fait que j'ai pris cette photo dans la seconde qui suivait l'essuyage... 

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Changement de lieu. Port Saint Pabu sur l'Aber Benoit. Ici, les mouettes?, pardon  les  goélands (Merci Pascale MD) s'en donnent à coeur joie avec les coquilles vides de moules. Oui, il y a toujours quelque chose à trouver dedans ... 

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 Autres coquilles vides, celles de bateaux laissés pour mort sur la grève.

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 Comme ailleurs, la  mousse, les algues envahissent ces épave que les éléments naturels continuent de manger peu à peu.  

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Il gît sur le flan... atteint dans son intégrité, abandonné par ceux qui l'ont mené.

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Le même vu de l'autre côté, n'a pas vraiment bonne mine. Combien de temps encore résistera-il aux vagues et autres attaques du  temps?

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Emplacement des épaves. 

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A  bientôt pour d'autres découvertes bretonnes.

Cité religieuse de tradition, il reste de son passé, quelques endroits typiques qui donnent à la ville, un certain caractère. A voir ci-après.

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Le Grand Hôtel du Sacré Coeur Vve Drago a perdu de sa splendeur. 

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Un  petit quartier  piétons permet de retrouver vieilles pierres et anciennes bâtisses. 

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 De  ombreuses tours jalonnent les rues jouant avec les vitrines modernes..

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Le calme de la France profonde au chaud soleil d'août.

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Témoignage d'une activité disparue. 

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Tout comme ici, mais je ne pourrais vous dire de quel commerce, il s'agissait, du temps où l'entrée était libre comme écrit au bas de la vitrine. Maintenant....

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Le canal du Centre offre à peu de Distance des commerces, une promenade rafraichissante.

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Un détour par le parc du cloître clunisien jouxtant la basilique du Sacré-Coeur.

"Les larges galeries voûtées d'arêtes offraient aux moines un espace de prière, de  méditation et de travail. Au centre, le jardin entend suggérer l'allure, le charme et les  mystères des jardins médiévaux"  ( Cf  OT de Paray le Moinal)

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Puits de science  ou de vérité?

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 Détail du portail sud d’accès à la  basilique, avec linteau gravé de huit médaillons.

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Pour clore cette visite de Paray le Monial, une photo révélant les volumes intérieurs ressortant en niveaux successifs.(Chapelles rayonnantes, déambulatoire, abside, choeur et clocher)

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Le temps en Bretagne est soit beau, soit beau. Enfin pour moi... le seul problème c'est le crachin qui se mêle de vouloir être sur la photo... mais ce n'est arrivé qu'une fois en dix jours...  Alors on jette un œil sur les quelques photos réalisées sur un des bouts de terre que compte le Finistère.... 

Vous me pardonnerez la qualité médiocre de certaines photos.

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 Le petit chemin qui mène au bout du monde. Il n'y paraît pas, mais il fait humide sauf ici où nous sommes protégés du vent et donc du crachin.

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Là  par contre,  c'est  une autre histoire. En quelques  instants,  le ciré dégouline, l'appareil photo pleure de tous les côtés. Je protège au mieux l'objectif mais je passe mon temps à l'essuyer. Heureusement le post traitement effacera les traces et autres gouttelettes. 

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Là-bas en face de  moi, se dresse le phare de la Vierge. Heureusement le 70 x 300 me permet de m'en rapprocher. Mais  malgré  le pare-soleil, le vent pousse des gouttes jusque sur l'objectif... Un post traitement  à l'ancienne  s'impose !

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Des vagues viennent éclabousser les rochers, histoire de mieux dramatiser la situation ... Là, j'aime ça.

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Une dernière vue sur cette mer qui m'attire

Avançant vers moi comme pour m’assujettir.

Mais en elle,  c'est son son souffle que je ressens

 Et qui agit en moi comme  un cachet effervescent 

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A demain pour une suite plus calme

Penn Enez, le  10 août 2015, du côté de Plougerneau. Certainement le plus mauvais après-midi de mes vacances. Le  temps a viré. Mais sans pluie, crachin ou vent, que serait la Bretagne? Et puis moi, j'aime. Alors bien sûr, il faut protéger l'appareil photo, mais qu'importe, le plaisir, du moins en ce qui me concerne reste entier. Allez, mettez votre ciré, et on y va.

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Une activité  indispensable sur  la côte : la pratique de la godille, pour ramener l'annexe ou le petit canot, du bateau à la terre. J'ai essayé dans mon jeune temps mais je me suis démonté le  poignet à vouloir faire des 8 dans l'eau avec  la rame ... 

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Bateau de pêche ou autre, tout le monde est à coffre.

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Une vision insolite...

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Il y a un peu de vent, la mer est à marée haute. Sur son rocher, le cormoran, si, si regardez bien, ne semble pas perturbé plus que cela. Il en a déjà tellement vu !

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Même par mauvais temps, on peut positiver. Il suffit de quelques fleurs côtières.

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Une  petite éminence se trouve à côté de moi. Il suffit d'emprunter le petit passage entre les gros rochers pour découvrir ...

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Pour découvrir... la mer, étonnant non? Et surtout chercher la ligne d'horizon.

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Pour ceux qui  me suivent sur Facebook, je vous l'ai déjà présenté, mais sous un autre angle. Qui est-il, que symbolise-t-il? Je ne sais  pas. Et je n'ai pas trouvé d'explication...

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Voici le petit promontoire sur lequel je suis monté pour voir la mer ...

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La prochaine fois,  je vous montrerai .... des photos de Bretagne ou pas.

Vous me pardonnerez ce mauvais titre, du moins je l'espère. Aujourd'hui, je vous conduit à Dole, et dans un premier temps au bord du Doubs.

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 Tout d'abord, une vision un peu zombie du reste du pont romain... Bon d'accord,  je peux mieux  faire... 

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Canards, aigrette et corbeau, une drôle de réunion au fil de l'eau.

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Les canards sont passés, pas plus intéressés que cela par une discussion avec l'aigrette. Quand au corbeau , il ne sens pas concerné non plus.

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 Changement de place et je découvre qu'un héron est arrivé. Malheureusement le soleil dans l'axe ne favorise pas la photo.

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Mais notre ami a la bonne idée de changer de place en quête d'un petit repas.

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Et je retrouve sa cousine éloignée, l'aigrette alors que le héron me gratifie d'un envol lourd dont il a le secret.

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Mais il ne va pas loin, ce qui me permet de lui tirer le portrait. 

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 Dernière vue de l'endroit où chaque famille d'oiseaux a son domaine bien délimité.

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A demain. Merci de votre passage

Tout au long de la côte, on découvre quelques épaves de bateaux, plus ou moins, passablement usées par le temps, les intempéries. J'aurai l’occasion à plusieurs reprises, de vous en montrer. Commençons avec celles découvertes dans l'anse de Kernic.

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Vu de loin, il semble en état de prendre la mer. Mais au vu des entraves,  il est évident que son sort est ficelé. 

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Et puis il n'est pas le seul dans sa lente agonie...

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 La  photo si besoin est, peut dramatiser la situation...

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Seule la marée vient de temps à autre, lui rappeler que son élément, c’était la mer.

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Celui-ci semble avoir connu plusieurs vies. Mais en ce lieu, plus d'espoir d'une renaissance.

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Même si les lettres ont disparu, il refuse de perdre son identité ...

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Sac de nœuds ou nœud gordien? 

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La mer se retire, laissant une fois encore sur la grève, le navire soutenu par ses "jambes"... 

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La proue reste fidèlement tendue vers le ciel comme si elle voulait encore affronter les vagues.

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Pour celui-ci, la situation est scabreuse. Et qu'en est-il lors des grandes marées, est-il encore baigné par les flots?

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Au bout de la chaîne était le bateau ... 

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A  bientôt pour d'autres  paysages marins ou pas.

7h00 du matin. Je suis réveillé par un claquement caractéristique. Celui des cigognes qui claquent leur bec en renversant leur cou... Vite debout, un œil à la fenêtre pour confirmation. Oui elles sont là, sur le toit de l'église. Malheureusement, la végétation entre ma chambre et l'église m'interdit d'avoir une vue dégagée. Et pas question de sortir car c'est à ce moment là qu'elles pourraient choisir de partir. Alors, je vais essayer de trouver une solution. 

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Illustration de mon propos précédent.

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Celle-ci est sur un pignon, mais le feuillage me fait obstacle. Il faut que je trouve une autre fenêtre.

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 Voilà, c'est mieux. Mais laissons la parole à notre visiteuse.

"Moi, je n'ai pas besoin de cure-dents."

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"Et un peu de gymnastique le matin, pour échauffer les muscles, c'est toujours bon"

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"Ah que ce soleil levant me fait du bien... Et notre avantage, à nous les oiseaux, c'est qu'on peut en profiter avant tout le monde!"

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"Bon, il faut que je remette un peu d'ordre dans tout cela, ça fait négligé."

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"Il est  temps de  faire le point... et de vérifier d'où vient le vent."

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"Quelques étirements ne seront pas de trop. C'est que j'ai de la route à faire."

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"Le Jura c'est beau, mais en hiver,  j'ai un peu peur à cause de mes rhumatismes... J'ai besoin de chaleur!"

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"Allez, c'est parti. Direction le Club Med... la  grande bleue...   A l'année prochaine."

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C'est fait. Elles ont pris leur envol,  pour  un  périple qui  les  conduira  jusqu'en Afrique. An noter que cette cigogne avait deux bagues, une à chaque patte.

Septembre, c'est le temps des vendanges. Et dans le Jura, comme ailleurs, elles vont débuter sous peu. Alors vite, quelques photos tant qu'il y a encore des grappes. Direction Toulouse le Château.

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Un petit coup d'oeil sur les blancs qui profitent sur soleil matinal.

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Au jeu de la transparence, les blancs marquent des points.

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Le soleil chauffe encore les têtes rondes... avant que celles-ci ne fassent tourner d'autres têtes.

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Et si l'on passait aux rouges? A n'en pas douter, certaines grappes ont siouffert. La canicule?

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Un  petit  méli-mélo de couleurs annonciateur de l'automne...

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Un autre  jeu de la transparence.

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 Les rangs n'attendent  plus que les vendangeurs.

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Un semblant de composition florale naturelle.

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Un terroir protégé par la tour du Prévôt et l'église de Toulouse le Château... et ça, c'est à 800 m à vol d'oiseau de chez moi et ça n'a pas de prix.

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A bientôt pour d'autres images .... 

La  plage, c'est simple. C'est du sable,  de l'eau, des vagues, des nuages, des déchets et des gens. Cela dit, je n'aime pas les gens sur les photos. Donc je ferai le maximum pour les éviter.

Alors laissons l'oeil s'aventurer sur la plage, voire au-delà...

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Une langue de bleu dans un ciel chargé, cela ne se refuse pas.

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La vague déferlante était sombre, 

Suivie par d'autres en nombre...

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Le spectacle est perpétuel, inlassablement rejoué. Du moins, le croyons-nous. Mais en fait, jamais une vague n'est pareille à la précédente,  le ressac est mille fois rejoué mais toujours autrement. Un cinéma permanent mais sur très écran géant.

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Les  vagues,  des sculptures vivantes. De l'art moderne qui a toujours existé (ou  presque... )

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Et la plage , c'est aussi un endroit où la mer se débarrasse de ce qu'elle ne veut plus. Ainsi ces plantes marines arrachées sur les fonds et qui se dessèchent au soleil.

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Éphémères réalisations marines . 

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On nous dit,  la Bretagne c'est gris. Ah bon?

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Et la plage , ce n'est pas du sable. Il y a aussi cette végétation de bord de mer qui capte notre regard pour ceux qui savent regarder.

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Univers marin ....

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Quand le bleu du ciel se mêle à celui de la mer, rejoints eux-mêmes par les couleurs des coques des bateaux de pêche...

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A bientôt .

Je viens de découvrir Paray le Monial (71) . C'est une ville tournée vers la religion chrétienne par son passé avec la basilique du Sacré Coeur (11e - 12e s.) Nous sommes là, dans une  atmosphère purement clunisienne. Le nombre d'églises, chapelles et édifices religieux est important et le tourisme est surtout représenté par des pèlerins.

La religion n'étant pas ma tasse de thé,  je me suis tourné vers l'architecture et l'art. Et mon appareil photo remplaçant largement la bible, je suis  parti en quête des clichés que je vous propose ci-après.   

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En entrant dans la basilique, j'ai eu la chance de découvrir qu'un rayon de soleil  tombait sur l'autel.

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De même il jouait à travers un premier vitrail, éclaboussant le sol d'une multitude de couleurs.

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Plus loin, c'est avec  le mur qu'il  jouait une symphonie.

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Je ne pouvais pas passé à côté de la photo de cette imposante basilique de style roman.

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Aussi étonnant qu'il  puisse  paraître,  cette  chapelle la Combière  fut construite par les jésuites dont la présence à Paray-le-Monial remonte à 1619, peu de temps après la béatification de Claude La Colombière en 1929. Directeur spirituel de Marguerite-Marie, Claude La Colombière fut canonisé en 1992, après la venue du pape Jean-Paul II. (cf OT de Paray  le Monial)

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On peut noter l'impact du mouvement Art déco dans le décor notamment dans  les vitraux.

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L'abside représente le Christ du sacré-Cœur entouré des jésuites et des visitandines. Il s'agit d'une  mosaïque  réalisée par les ateliers Mauméjean  Durant 3 générations, la dynastie Mauméjean a développé l'art de la verrerie et de la mosaïque.  Les mosaïques font preuves de beaucoup d'innovation. On voit apparaître des tesselles en verre poli et en matériaux permettant de beaux jeux de réflexion de la lumière. (cf  OT de Paray  le Monial)

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Passage à présent à la tour St Nicolas (ancienne église de 1535) pour une expo mosaïque. Malheureusement  pas le droit de photographier les  œuvres . Mais par chance, le lorrain que  je suis, a remarqué le vitrail de St Nicolas...d'inspiration  moderne et étonnant avec  ses tons rose,  violine, etc.

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Un autre regard plus touristique sur la basilique qui se mire dans la Bourbince, affluent de l'Arroux en rive gauche et donc un sous-affluent de la Loire.

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Dernier passage en fin d'après-midi à la basilique où je découvre la forme particulière des lustres, eux aussi de facture moderne en accord avec les vitraux du transept sud.

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J'avoue ici, n'avoir pas trouvé la signification de cet ensemble de vitraux. Mais par contre,  j'en ai aimé le graphisme.

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Bientôt, une autre série sur cette ville surprenante par bien des aspects.