Eté 2015. Promenade sur les quais de Roscoff, alors que la mer est à marée basse.. Ce qui permet d'avoir un autre regard sur ce lieu.

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Depuis le quai, côté mer on peut surveiller le balai des mouettes et autres goélands. Là ils sont posés mais le ballet est néanmoins incessant.

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 Petite capture d'un vol au ras des  flots...

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 Ne me demandez pas d'identifier. C'est pour moi mission impossible.

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 Il  y a des  jeunes ou juvéniles et des anciens. Mais après...

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Retour sur le port où les bateaux ne vont pas tarder à avoir les pieds au sec.

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Pas de première jeunesse, mais elle rend encore certainement bien des services.

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 Là on touche le fond.

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Une image insolite pour ceux qui ne sont pas habitués au rythme des marées et surtout à leur amplitude.

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Et puis toujours à marée basse qui dégage les fonds. On y découvre d'anciennes constructions. Mais quelles sont-elles? Si vous avez la réponse,  je suis  preneur. Merci.

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A bientôt

La nature est proche de chez moi, à moins que ce ne soit moi qui soit proche d'elle, en matière de distance.
Alors rien de plus simple que de faire un petit tour à la campagne et plus précisément à Sellières, dans le Jura.

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"Home sweet home", "Mon chez moi". Bref, c'est, vous l'avez compris, l'endroit d'où je vous adresse ces quelques mots et photographies. 

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 L'église sans clocher est juste derrière chez moi. Le rêve de tout citadin qui veut habiter la campagne et faire interdire les cloches du village...

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Et puis il y a la rivière, légèrement boueuse suite aux dernières précipitations importantes.

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Petite image bucolique, sur fond de rivière. Certains  pour définir celui-ci parlent de bokeh. Certes, c'est le terme technique qui convient. Mais je trouve cela  pompeux, voir  présomptueux . Alors restons modeste. C'est peut être un beau fond, voilà tout. 

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Quelques feuilles naissantes rappellent que la nature est toujours en évolution,

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Comme des groseilles ou des mini-pommes... Mais je me garderai bien d'y goûter. Par contre pour l'opposition des couleurs, oui je garde..

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Le petit chemin qui sent la noisette... 

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Quel embrouillamini... Comme la nature peut être complexe parfois, mais certainement jamais sans raison.

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Une  végétation luxuriante à travers laquelle on à parfois du mal à atteindre la rivière.

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Voilà ce qu'il y a, entre autres, à peine 100 m de chez moi...

Désolé de ne pas être plus  présent actuellement sur le blog. Mais les occasions de faire de la photo se font rares...

Alors pour passer le temps, voici une photo pour réfléchir sur la géométrie comparée des droites et des courbes et autres rondeurs...

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A bientôt.

Le coquelicot est synonyme de beau temps, de chaleur... Oui mais il pleut ! Pas vraiment un temps à mettre un photographe dehors. Pourtant si. La preuve ... 

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 Juste quelques photos malgré un temps pourri. Et les coquelicots font le gros dos.

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Des gouttes d'eau s'accrochent aux tiges tandis que d'autres en longs traits fins tombent au sol.

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 Petite  variation en N&B & rouge ...

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Au  loin  j'ai cherché  la  lumière...

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A bientôt

Poursuite du reportage sur la cascade de Baume les Messieurs. Cela ne se voit peut être pas, mais il pleuvait. J'ai du essuyer mon objectif à  plusieurs reprises. Ceci a pu altérer la qualité des photos en raison d'un léger voile de buée résiduelle.

Comme  précédemment, pas de commentaires. Juste le plaisir des yeux.

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A  bientôt. 

Suite aux  fortes de pluie de ces derniers jours,  je me suis rendu le 19 mai à la cascade de Baume les Messieurs pour  y admirer le spectacle. C'est la première partie de celui-ci que je vous livre aujourd'hui. Je ne commenterai pas ces  photos, mes mots ne parviendraient pas à décrire le spectacle. 

Pour les amateurs,  j'ai fait quelques photos filées. 

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C'est sur cette dernière photo un  eu spéciale, que je vous dis à bientôt pour la suite.

Petite sortie nature pour les besoins du journal. Une nouvelle occasion pour moi de découvrir ma région.

Direction la Bresse jurassienne et  l'un de ses nombreux étangs : l'étang Jacquot entre Sergenaux et Sergenon.

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Les fortes pluies de fin avril ont considérablement fait monter le niveau des étangs et comme ici, l'eau s'est avancée dans les terres, en zones ordinairement humides mais non inondées.

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L'eau est très proche du chemin et l'on pourrait presque se croire en Guyane, mais la température nous ramène à la réalité.

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 Par endroit, la végétation est moins dense et autorise le regard à explorer les alentours.

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Inutile de vouloir s'aventurer plus avant, au risque de s'embourber... Mais l'endroit est étonnant !

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Quelques trous dans la barrière végétale pour retrouver l'étang. 

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Ici, le mélange est total entre les différentes sortes de végétation. C'était d'ailleurs un but pour les participants à cette randonnée, que de retrouver les différentes essences d'arbres.

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 Enfin on ressort de la lisière du bois pour voir l'étang Jacquot, bien agité par le  vent.

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Hôtes des milieux humides, les massettes ont explosées laissant fuir leur "coton". En ce qui concerne la faune, à part un cygne très  loin et deux grèbes qui  ne cessaient de plonger,  rien eu à photographier.

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Voici donc un court aperçu, d'une région très proche de chez moi et qui a encore beaucoup à me montrer.

A bientôt.

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Pour cet article,  je reproduis ici ce que j'ai déjà publié sur Facebook, dans "ma chronique du soir  ... à moi ..."! Voici en complément quelques photos de cette  balade.

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Instants heureux

Aujourd'hui, il m'a été donné de vivre des instants heureux. Imaginez une promenade en voiture à chevaux en pleine forêt. Arpenter ainsi les sous-bois et n'entendre que le bruit tout juste étouffé des sabots sur les pistes et sentiers détrempés. Ou plus métalliques sur la petite route en bordure d'étang… Et mon ami le cocher, à côté de qui je suis assis, qui me conte à sa façon, les histoires (inventées) de la région tandis que devant moi, la lourde croupe des deux comtois, Morgane et Pandore, ondule au rythme de la course tantôt lente, tantôt plus soutenue. Mais c'est si beau à entendre et à voir. Et le vert tendre des arbres qui joue avec le bleu du ciel enfin lavé de ces nuages gris. On dit que le bonheur est dans le pré, mais ne serait-il pas là aussi en communion avec la nature, les animaux et … l'amitié. Merci l'ami Jean-Charles Giroud (Pichevel) pour cette promenade.

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Morgane et Pandore, mes compagnons du jour.

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Et avec eux,  l'ami Jean-Charles.

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Avant le départ, un bon brossage s'impose.

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Une amitié à faire pâlir bien des humains...

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 Pas d'impatience Pandore, on va bientôt y aller.

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Et voilà, c'est parti pour 45' d'un pur bonheur, mais ne m'oubliez pas !

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Jean-Charles, l'homme qui parle aux chevaux mais aussi aux arbres et aux étangs..

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Au pas tranquille des comtois, que la forêt est belle.

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 Tiens des cousins !

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Et voilà  le  jeunes filles du coin..

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Fin d'un voyage où le monde m'est apparu autrement... Mais ça, c'est mon secret !

A  bientôt.

Il se nomme Seigneur et cet étang en est un. Saison près saison, il  révèle ses beautés comme ici après plusieurs journées de pluie, en ce 3 mai 2016. Alors, à tout Seigneur, tout honneur... 

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Un peu de bleu dans le ciel pour faire oublier la pluie.

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Le déversoir,  pour  une fois  justifie de son utilité.

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Même en début d'après-midi, la pluie du matin a laissé des traces.

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Le renouveau de la nature s'affiche au grand air.

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Les derniers lourds nuages vont filer et permettre aux eaux de l'étang de reprendre un peu de couleurs.

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Oui le temps passe et il suffit d'un souffle de vent pour changer.

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Des plants de colza sont venus coloniser la digue, laquelle en novembre  grouillera de la foule des pêcheurs au filet...

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A bientôt.

Poursuite de la promenade sur les quais du vieux port de Roscoff

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Devant ces amas de  casiers,  je n'ai pu m'empêcher de traiter ma photo de manière un peu surréaliste.

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Mais il penche ! Serait-il en train de couler?

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A marée basse, les vedettes pour l'île de Batz ne peuvent accoster au port. Il faut alors emprunter la passerelle pour les rejoindre et monter à bord.

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En peinture, on appellerait cela une marine ... 

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Le repos du chalutier.

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Encore et toujours des casiers aux multiples couleurs.

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Les balises de l'entrée du port veillent sur les hommes dans le canot à propulsion traditionnelle, à savoir la godille... 

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Pas forcément évident d'avoir des reflets de mats dans un port. Mais cette fois-ci a été la bonne.

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Une nouvelle vue de la passerelle sur fond d'île de Batz. Mais en fait, je voulais surtout tenter de fixer le vol des hirondelles de mer. Et ça, c'est du sport...

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Petite suite  bientôt.