Habitant à la limite de la Bresse jurassienne et du vignoble jurassien,  j'ai la chance d'avoir à disposition une somme de  lieux à photographier.

 Ce matin, le soleil  était absent, remplacé par le brouillard, d'où mon idée d'aller voir ce qui se passait du côté des étangs. 

Par chance, le brouillard est resté "en suspension" au-dessus de moi et m'a permis quand même de faire quelques clichés.

 Deux  petites séries pour en juger.

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 Étang du Villey  à Vers sous Sellières.

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Étang du Roselet  au Chemenot

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Étang Adrien au Chemenot

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Étang Seigneur à Champrougier

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Étang Guillemin aux Deux Fays

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Comme on peut le constater, la lumière n'est pas uniforme, car la nappe de brouillard n'est pas identique en tous lieux. De même, la diversité des étangs évite une certaine monotonie, ce qui fait aussi le charme de  cette région à 8 ou 10 km de chez moi.

Alors, à suivre?

Poursuite de  la découverte des cascades de Baume les Messieurs, vues presque de  l'intérieur.

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 Je suis derrière une chute et protégé  par une paroi de tuf, ce calcaire qui a façonné les cascades de la région. Par une échancrure, on distingue les parois de la reculée.

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Ne craignez rien,  je ne suis pas mouillé.

Et là, je souris en imaginant la tête des touristes qui photographient la cascade dans son ensemble et qui m'ont vu disparaître  derrière les masses d'eau.

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Je  ne peux malheureusement pas m'aventurer plus  loin. La roche est  glissante et la  largeur abritée va en se rétrécissant.

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Juste avant, j'étais au fond à gauche ...

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A défaut de vous montrer la cascade dans son intégrité, en voici au moins un bout.

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La végétation, surtout des mousses et quelques  plantes herbacées commencent  à changer de couleur. 

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Je suis passé sur le côté droit. Après certains épisodes pluveux,  là aussi, il y a de l'eau qui coule. La forme de la végétation, retombante, ne trompe pas.  

Ici, c'est le bout du monde. La route vient buter sur le fond de la reculée de Baume Les Messieurs.

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Une  petite dernière pour  le côté sauvage du  lieu.

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Et voilà seize  photos qui viennent grossir ma collection. Et si  je comparais toutes celles que j'ai faites, pas une ne se ressemblerait.

 C'est là  tout  le charme des cascades..

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A bientôt.

Baume les Messieurs. Un endroit emblématique du Jura grâce notamment à sa cascade.

J'ai eu l'occasion de m'y rendre dernièrement. Ayant des bottes dans ma voiture, j'ai pu faire autre chose que les photos genre touriste ...

 A vous de voir... 

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Aujourd'hui par chance, pas trop de vent, donc pas d'embruns collés sur l'objectif. Un peu d'eau  pour s'aventurer au plus près.

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J'aurai certainement pu prendre ces photos au téléobjectif. Mais mon objectif, sans jeu de mot, était autre.

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Pas trop d'eau malgré les pluies récentes. Le voile des cascades n'est donc pas très occultant et deviner ce qui se passe derrière le rideau d'eau... 

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Je suis  presque au pied des cascades et là bien sûr, les gouttes mouillent mon matériel. Je suis obligé d'essuyer l'objectif et de prendre la  photo sans trop réfléchir.

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Si par endroit on voit le fond de la rivière, il ne faut pourtant pas si  fier. Par endroit, c'est  profond.

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Même si le vent n'est pas en rafale, il fait pourtant bouger la chute d'eau et si  j’étais rester en face de la cascade, je  n'aurais pas vu cela.

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A présent, je suis dans l'une des cavités derrière les chutes. Le spectacle est tout autre.

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 La nature à l'état pur et un photographe en son sein ... 

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A suivre .

La  période est encore indécise, les verts sont encore présents tandis que les ocres tardent à venir... L'eau et son miroir complète le tableau d'une nature fraîchissante.

Etang du Prince,  Petit Nance.

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Un instant agitée, la surface de l'eau casse les reflets.

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L'étang peu à peu, se couvre de feuilles, que l'arbre  généreusement  lui  offre.

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Par instant, une risée trouble la quiétude de l'onde, la taillant comme un brillant.

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Ah que les impressionnistes auraient été heureux ici. 

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Se rappelle-t-on seulement que ces étangs sont des réalisations de l'homme et non l'oeuvre de la nature?

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Et s'il fallait un titre : convergence....

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Histoire d'avoir la tête à l'envers.

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Petit effet photographique

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Un petit joyau dans un écrin, pour l'heure, encore de verdure.

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A  bientôt.

Courant septembre, la chaleur était encore bien présente, incitant à la promenade et à l'observation de la nature.

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Petite histoire sans paroles. 

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 Chargée de pollen, l'abeille s'en est donné à coeur joie.

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A bientôt.

Penn Enez,  commune de Plouguerneau.

Là-bas, au bout de la côte, sur un tumulus surplombant de quelques mètres le port, un lieu étrange. 

Un lieu sorti de nulle part dont l'architecture ésotérique interpelle le quidam.

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La  présence en ce lieu de ce qui ressemble à un temple, ne peut que surprendre le promeneur.

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Des statues sont disséminées sur le  sol, selon ce qui ressemble à un ordre bien établi.

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On retrouve bien une inspiration, mais par quel sentiment  a-t-elle été dictée? 

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Un homme, un prêtre, un marin?  J'avoue  me  perdre en  conjectures.  

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 Tout semble  indiqué ici une  porte, un chemin à suivre, mais pour aller où?

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 Démesurée, cette femme attend, à moins qu'elle ne veille. Quelle est donc son  histoire?

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Une  partie de la réponse est là :

Début des  travaux  :  2006 ,  fin :  ?

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Et  pour en voir encore plus  :  https://www.youtube.com/watch?v=mU_InXYKib0

Musée des Forges de Baudin.

En attendant les visiteurs du musée en cette  journée du patrimoine, on prend son mal en patience en faisant quelques photos sous la pluie.

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Les  barrières, bien mouillées, devaient canalisées la foule... Elles m'ont juste servi pour la photo !

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Guide d'un musée par temps de pluie,  ce n'est pas une sinécure, ou plutôt si, quand il n'y a personne. Chacun sa croix ....

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Le  principal dans ces cas là, est de garder la pêche.

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Les " inexplications" du  moment :  il pleut tout ce qu'il peut mais le lavoir reste obstinément vide .

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Mieux vaut se protéger si vous passez sous les frondaisons, ça mouille!

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La  vieille descente d'eau de pluie en fonte a encore son utilité.

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Une gouttière qui ne date pas d'aujourd’hui, vu la propreté de la pierre

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Bon,  là, d'accord, il va être temps de revoir les chéneaux... 

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Le vieux  presbytère, résiste de moins en moins aux aléas du temps, et son reflet ne va pas beaucoup mieux.

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A très  bientôt sans doute.

Le temps de mes vacances bretonnes a été placé sous le signe du soleil. Alors,  je lui rends hommage avec ces photos où le jaune domine.

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Plougrescant :  Un site que l'on ne présente plus mais que je vous détaillerai plus tard : la maison des rochers. 

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Plougrescant : c'est la profusion de l'or.

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Landunvez : Ma plus mauvaise photo de la série, à cause de mes genoux qui me trahissaient... et m'empêchaient de me baisser.

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Carantec : Elle paraît bien seule la fourmi, mais en fait non ...

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Carantec : Celle là,  je ne pouvais pas la rater.

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Sibiril : L'annexe reviendra au quai, quand le bateau reviendra au port .

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Daoulas : Le jardin de l'ancienne abbaye de l'Ordre de Saint Augustin. Une découverte que je vous offrirai ultérieurement.

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St Pol de Léon : La  marque  jaune ... pour les amoureux de Blake et Mortimer ! 

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A bientôt 

Gare de Lons, jeudi 15 septembre 2016. Objectif, replonger dans ma passion des trains.

 Bien que ne regardant plus la télé depuis dix ans, il m'arrive de découvrir un reportage ici ou là. Et très souvent, tout y est flouté, marques publicitaires, de voitures, plaques minéralogiques, raisons commerciales, visages  etc... Quand ce n'est pas le reportage diffusé à l'envers,  carrément. Tout cela me met hors de moi et gâche la perception du dit reportage. Je veux bien concevoir, qu'il y a le respect de la personne, du droit à l'image. Mais il me semble que la législation autorise la prise de vue d'ensemble... Etant correspondant de presse,  je sais où sont les limites. Mais dans certains reportages télévisés, on va vraiment trop loin... Autant faire de la radio !

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Alors, arrivé devant la gare de Lons,  je me suis demandé ce que vaudrait mes photos, si je les traitais comme à la télé.

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Premier exemple,  j'ai inversé la photo et flouté les enseignes... Bah oui,  pas de pub détournée.. .

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Aïe,  j'ai mal travaillé, on arrive encore à lire !

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On  peut  faire des  premiers  plans  pour avoir des  fonds  flous. Et si on fait de la télé, on laisse l’interviewé, en dehors du champ ...

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On  peut aussi  faire croire qu'on donne dans la recherche artistique. Oui, c'est un train au fond,  mais on ne sait pas qui est le constructeur!

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Toujours les gros plans,  c'est quand même pratique pour éviter d'identifier un lieu.

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L'horloge est visible mais par chance, on ne distingue pas  le nom du fabricant, ouf !

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Malheureux, tu es trop des voies, c'est interdit... Heureusement, on ne te reconnaîtra pas,  je t'ai flouté la tête.

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A  l'excès,  on peut camoufler toutes les marques, et  notre train devient tristement anonyme... 

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Par respect pour les  personnes attendant le train, au fond, autant jouer avec la profondeur de champ...

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Désolé messieurs. Je ne vous ai pas demandé la permission de vous prendre en photo. Même si vous n'étiez pas l'objet principal de la photo (là, il me fallait votre autorisation), mais faisiez partie d'un ensemble,  j'ai préféré vous dissimuler le visage.

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Alors finalement, nous  faudra-t-il un jour en arriver à cette extrémité, pour que le législateur soit content?

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Début septembre,  fête des plantes et des fleurs au château d'Arlay. Quelques souvenirs pour faire durer l'été...

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Pour cette première photo, retour aux cartes  postales? Façon siècle dernier . 

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Allez soyons sérieux, les roses n'attendent que moi , enfin surtout les acheteurs.

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J'aurais voulu associer les couleurs de ces roses à leur langage. Mais les couleurs sont tellement variées, que je ne suis pas sûr qu'elles correspondent à ce qu'elles sont censées exprimer.

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Est-ce un blanc, un jaune pâle? Je ne voudrais pas commettre d'impair.

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 Une rose rose. Oui, il fallait bien cela dans la collection.

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Toute ourlée, aux multiples teintes... Du coup, elle doit exprimer de multiples amours.

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Un coin pour les amoureux... Mais pas pour notre oiseau qui me paraît bien seul,  face à son reflet!

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Et pour finir, une vision du château d'Arlay, cadre sympathique de cette manifestation grâce à l'amabilité de son propriétaire, Alain de Laguiche.

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