A quelques centaines de mètres de Nant sous Ste Anne, célèbre pour sa taillanderie, aujoud'hui musée, dans le Doubs, le Lison sort des entrailles de la terre. Je  vous propose de  m'accompagner pour en savoir sinon un peu plus, pour cela je vous renvoie à Mister G..., du moins pour le découvrir en photos.

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Arrivée dans la reculée au-dessus de la source du Lison. Un  paysage classique dans le massif du Jura.

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Les environs se sont parés de leurs dernières teintes automnales, ajoutant à la magie du lieu.

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Avant de retrouver la source, il faut longer la rivière et découvrir dans ces eaux calmes, les reflets de la végétation environnante. 

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Peu à peu, le bruit sourd de la cascade augmente. Nous approchons et la source se dévoile là-bas au fond...

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On va faire durer le plaisir d'où cette photo flou à dessein ... 

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Nous y sommes. Le Lison sort de la  montagne un peu comme crachée par un visage difforme issu de nulle  part ...

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Un petit filé pour ceux qui aiment...

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Un plan vertical permet de se rendre compte de l'aspect géologique de l'endroit et de la taille du site. 

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Avant d'aller voir plus loin et plus haut, un dernier coup d'oeil au pied du site.

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A plus tard pour la suite des aventures de Lison à l'air libre.

Ça y est j'ai atteint le fond ... le fond du lac, bien entendu. Le spectacle, si l'on peut parler ainsi est surprenant. Maisons en partie effondrées, arbres sans vie, vestiges du canal, tout concourt  à apporter un sentiment désagréable, nauséabond, rappelant pour les plus anciens de biens tristes images liées à un passé douloureux. J'ai retravaillé  différentes photos, ce qui va sans doute accentué ce sentiment. Qui plus est,  je me suis efforcé d'éviter de mettre des personnes sur mes photos,  pour rendre encore plus l'impression de désolation .

Aujourd'hui, le  barrage a été remis en eau. L'élément liquide va peu à peu  envahir les  lieux, effaçant  à nouveau de notre mémoire  et ce pour de nombreuses années, tout un pan de  l'histoire locale.

je n'ai pas commenté ces photos. Je vous laisse simplement vous faire une idée.

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A bientôt  pour d'autres  photos  plus "bretonnantes"...

Voici la fin de ma deuxième virée dans Lons le Saunier. Du bon et du moins bon,  du flamboyant et du terne. Finalement  à l'image d'une ville qui peut révéler, mais trop peu souvent, de belles facettes d'activité nocturne.

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Un grand cinéma tout neuf à l'architeture résolument moderne... mais trop terne,  alors,  j'ai colorisé...

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Au parc des bains, la lumière joue avec  le feuillage.

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Les thermes révèlent leur beauté mieux qu'en plein jour.

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Une symphonie colorée digne de l'automne.

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Pour que le souvenir ne s'évanouisse pas.

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Retour vers la  ville, qu'on s'attend à voir nimbée de lumière,  heu ... pas  vraiment.

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Silence sur la  ville, comme l'accordéon des tables replié sur lui-même est  muet!

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Le carton du sans-abri de jour ... et la nuit,  où est-il?

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Dédoublement.

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je  ne sais si j'ai retranscrit vraiment ce que j'ai ressenti  au cours de  mes  divagations nocturnes. Mais  j'y ai pris du plaisir. Sans nul doute,  j'y retournerai.

Après une première série sur la "vie" nocturne,  j'ai remis le couvert! Seulement cette fois-ci, j'ai essayé d'être un peu plus poétique. Mais cela ne change rien au fait, qu'il y avait tout aussi peu de monde au cours de cette dernière sortie.

Et puis la nuit, le regard est différent, on ne voit plus les choses de la même façon. C'est ce que  j'ai essayé de montrer avec ce reportage et le suivant.

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 Trottoir pavé de feuilles d'or

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Le  musée attend Belphégor mais n'est pas le Louvre qui veut ...

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L'Hôtel-Dieu... aux grilles majestueuses mais fermées...

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Oublierait-on que Lons le Saunier est  proche du vignoble jurassien? Les caves de la rue du commerce sont là pour nous le rappeler.

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Au hasard d'une vitrine, l'art moderne s'affiche.

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Ce pressoir rappelle lui-aussi la proximité du vignoble.

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Abandon ...

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Théâtre, Carcom, restaurant,  office de tourisme, siège de FR3 Franche-Comté (annexe de Lons le Saunier). Ce bâtiment à lui seul est toute une histoire locale et malgré des incendies,  il est toujours présent.

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Demain, un autre volet. A bientôt donc.

Petit retour sur les photos précédentes et surtout les commentaires qui ont suivi... Je peux comprendre qu'on puisse déplorer la mise en eau d'un barrage qui va engloutir toute une  vallée et sa vie. Je  peux comprendre que l'on préfère voir une belle étendue d'eau plutôt que ce paysage digne d'Halloween.  Mais les faits sont là et si j'en juge par les milliers de touristes et locaux qui sont venus, par le nombre de visites guidées mises en place par EDF, il y a eu un réel effet de curiosité. Et  j'avoue que c'est quand même ce qui m'a poussé  à venir en ce lieu.

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Il faut entreprendre la descente. Comme on peut le comprendra, il n'y a pas de routes ou de sentiers aménagés. Les arbres fossilisés dressent leur carcasse un peu dérisoire.

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Sous mes yeux, le fond de la vallée, occupé par le fleuve et les ouvrages d'art (écluses) qui jalonnaient le trajet.

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 Ici il faut cheminer à travers les éboulis, les roches éclatées et les souches  brûlées

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 Par endroit, c'est digne d'un paysage lunaire, encore qu'à ma connaissance sur la lune, il n'y a pas d'arbres.

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 La terre  par endroit est sèche, craquelée. Vision étonnante...

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Depuis le mois de mai, l'eau est absente. Et la végétation reprend ses droits... Et tous ceux qui sont venus ici s'attendaient à découvrir un paysage de désolation. Mais c’était sans compter  ur la nature...

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Le  paysage  subaquatique à l'air libre ...

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Les limites des eaux sont parfaitement visibles, comme le sont les délimitations en murets, des parcelles cultivées jadis

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Encore quelques centaines de mètres et l'on sera au fond... Avoir dans le prochain épisode.

Comme lors du précédent épisode virée-nocturne-1 quelques autres images illustrant le caractère désertique de la ville. Une gare fermée, le dernier train est passé à 21h02 et  le  prochain n'est pas avant  05h44. Et que dire des bars... Pratiquement tous fermés, vie nocturne inexistante. On comprend mieux que cette ville soit plébiscitée par les seniors...  Ville dortoir sur laquelle tombe la pluie.

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Demain,  on repart en Bretagne... voir ce lac disparu...  Guerlédan le lac disparu-1-

Une ville, ça vit, enfin  normalement. Sauf que par chez moi,  les villes dorment la nuit... Exemple avec Lons le Saunier entre  22h00 et 23h15. Personne ou presque, mes commentaires seraient superflus. Alors histoire sans paroles...

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 Demain,  la suite.

Le plus grand lac artificiel de Bretagne est situé sur le Blavet à la limite du Morbihan et des Côtes d'Armor. Cette année ,  il a subi sa cinquième vidange depuis  la réalisation du barrage. Cela  m'a donné  l'occasion d découvrir un paysage particulier que  je vous  invite  à découvrir.

Remarque :  Suite à un problème intermittent avec mon objectif,  certaines photos ont été retravaillées exagérément  pour tenter de vous éviter des flous disgracieux et conserver néanmoins des  photos de ces instants exceptionnels. A savoir que depuis j'ai changé  d'objectif et  je travaille  avec  un 24 x 70 en lieu et  place du 18  x 55. 

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Le vidage du  lac autorise la visite du barrage, mais surtout sa réfection.

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Le lac est devenu une base de loisirs. En temps ordinaire , elle abrite quelques voiliers, Ceux-ci sont restés,  car épaves depuis  longtemps. (Illustration de mes propos sur mon objectif déficient)

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Le fond du lac où des arbre squelettiques subsistent ... ajoutant à l'étrangeté du lieu.

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Surréalisme que ces bateaux sans eau... On y est habitué à la mer, mais pas là où devrait se trouver un lac...

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Et tout en bas coule le Blavet. Le site attire les touristes et les curieux. Les accès en véhicule sont  réglementés et il faut marcher pendant plusieurs centaines de mètres pour accéder aux "rives du lac"...

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 Comme on peut le constater, la végétation a commencé à reprendre ses droits depuis fin mai (nous sommes en août). Sauf  l'arbre à  jamais pétrifié.

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 Les promeneurs redécouvrent  les vieux ouvrages d'avant la construction du barrage (construction de 1923 à  1930)...

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Ici passait le canal de Nantes à Brest, jalonné de 17 écluses...

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Maintenant, il faut entreprendre la descente,  pas une mince affaire pour aller voir de plus près, les lieux.

A bientôt.

Une courte promenade photographique dans les vignes au-dessus du hameau de Fangy. Mais  il faut faire vite, le soleil va bientôt m'abandonner...

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Sur une éminence avec vue sur le nord ouest, direction la région doloise. Mais là, point de vignes...

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Par contre, à l'opposé, les coteaux vers Toulouse le Château sont couverts par endroits, de vignes. Pas de grands domaines, mais de petits propriétaires ou même des vignes familiales.

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La nature nous permet encore de jouer avec elle et de proposer des photos un peu différentes.

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Comme on peut le constater, les vignes n'ont pas encore trouvé leur couleur rouille et si les gelées blanches continuent, les feuilles grilleront et tomberont sans qu'elles se soient parées de jolis tons et nuances.

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Pour le moment on se contentera de feuilles d'or qui n'enrichissent que les yeux des lecteurs.

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Tiens, en cherchant bien, quelques feuilles se sont mises dans le rouge.

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Sur fond de vigne, cette fleur dont malheureusement je ne parviens pas à retenir le nom. Mon esprit se refuse à cette gymnastique et il en est de même avec les insectes ou oiseaux. Pas mon truc quoi.

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Et pour finir, mon inculture botanique m'interdit de vous donner le nom de cet arbre. Et  pourtant je suis sûr de connaître.

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Demain,  reprise du voyage en Bretagne.

Domblans le 26 septembre 2015. A l'occasion d'une réception qui se passe dans un premier temps en extérieur, j'ai  le loisir de suivre  le coucher du soleil. En  voici quelques  instants choisis.

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18h16 -

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18h46 -

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18h47 -

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19h03 -

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19h10 -

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19h40 -

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19h46 -

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Remarque : certaines photos peuvent avoir un cadrage approximatif. Cela est du au fait que  j'étais sur  un  parking et je ne voulais pas du toit des voitures comme premier plan. Il y avait en outre un environnement indésirable : poteaux de signalisation ou électriques.