7h du matin. Un regard par la fenêtre de l'hôtel. Le lac est là sous mes yeux, enfin je veux dire entre les arbre.

Pas de grisaille.  Alors je file pour chercher mon "eldorado"...

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Le soleil n'est pas encore en vue. Mais les premières lueurs annonciatrices de sa venue sont là.

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Tout, autour de moi se prête à la photo.

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Une légère brume vient s'ajouter à la beauté du paysage.

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Tout est calme. Pas un bruit. Tout au plus, le "caquètement" de quelques foulques...  

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Le soleil ne tarde pas à se montrer. C'est  moi qui suis impatient de le voir arriver. Mais pas question de s'asseoir sur ce banc. Je risquerais de m'endormir!

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En attendant l'instant de la renaissance de l'astre solaire, je profite de la vue comme ici par dessus la roselière.

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Et toujours pas de soleil en tant que tel. Heureusement, une branche morte retient quelques instants mon attention.

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 Finalement .... he bien... heu... à suivre ...!

Tout doucement, le soir s'en est venu. Le soleil est descendu sur l'horizon d'où des photos aux éclairages différents.

Hélas, pas de coucher de soleil. J'attendrai donc demain pour son  lever.

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Le  port de Paladru dans le contre-jour, avec toujours son pêcheur solitaire

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La roselière au bout du lac. Je  n'ai pu m'y rendre, mais ce n'est je l'espère que partie remise.

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Mon amicale pensée pour Luce, l'amoureuse des bancs.

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Le soir tombe. Le  ponton de l'hôtel Beau Rivage  m’accueille. En été, c'est la plage de l'hôtel. Paladru est à l'opposé.

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Tandis que la lune veille sur le lac, le soleil s'en va doucement, éclairant encore une rive du lac.

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Mais au même instant, de l'autre côté, c'est déjà  l’obscurité, que d'ailleurs j'ai eu du mal à maîtriser. Pardon pour la piètre qualité de cette photo.

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Rendez-vous demain pour le lever de soleil si le beau temps le permet.

Poursuite de ma promenade de long des rives du lac.

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Les bateaux se reposent, ondulant mollement sous l'effet d'un léger vent.

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Le petit port de Le Pin. Voiliers et bateaux de pêcheurs font bon ménage sous le regard de Madame la Lune.

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 Au village de Paladru, une habitation qui semble sortie de la Louisiane. J'ai aimé, vous vous en doutez, l'ombre sur la façade.

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Au large du port de Paladru, un pêcheur attend le moment de plier les gaules... 

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Un  petit coup de zoom, pour s'approcher du pêcheur sans faire de bruit ...

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Il  n'y a pas qu'en Bretagne que l'on trouve des épaves. Mais ici, cela fait désordre.

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A très bientôt pour la suite.

Le  lac de Paladru en Isère. Une petite merveille dont  je vous ai ramené quelques cartes postales. Je les appelle ainsi mes photos, car elles reflètent juste le paysage.

Pas vraiment le genre que j'affectionne... Une première série  à Charavines.

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Le coup d'oeil vaut pour la différence de bleu de l'eau.

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Du vert, du bleu, pardon, des bleus... qui laissent insensible la foulque macroule en bas de la photo.

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 Un peu de  jaune pour rompre l'harmonie des bleus...

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Des voiliers au coffre, mais pas vu un seul sous voiles...

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Oui, c'est bien ce que je disais, paysage de carte postale. Mais c'est vrai que c'était une prise de contact avec le lac.

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Alors puisqu'on y est,  on continue....

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Bon, un  peu plus recherchée, la photo.

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 Foulques et grèbes,  ou le petit peuple du lac de Paladru (dans ce coin...)

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La suite, très  bientôt.

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Que serait la Bretagne sans ses bateaux?

En voici quelques échantillons.

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Paimpol. Pour une fois pas de brise sur le port, l'eau est presque un miroir.

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Paimpol. De l'autre côté du quai, la surface de l'eau est  un peu  plus agitée. Elle casse la ligne droite des mâts.

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Une image traditionnelle : l'Aber Wrac'h et sa non moins traditionnelle rangée de bateaux au mouillage.

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Landunvez  (Plougerneau). Il n'y a pas que des gros bateaux, les petits ont aussi droit de cité !

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Landunvez  (Plougerneau) : L'heure de la pêche ou du moins l'heure du départ ...

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Landunvez  (Plougerneau) : Marine traditionnelle,  je veux dire à la voile . On part tirer des bords.

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Landunvez  (Plougerneau) : Un peu de vent, et c'est la gîte assurée

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Pointe du Minou, sortie du goulet de Brest : Pour le "Premier Maître l'Her" (aviso classe 69),  il en faudra un peu plus pour lui donner du roulis  ou du tangage. 

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Avec ces bateaux et ceux à venir, j'ai une pensée pour MARIE, bretonne exilée en Isère.

 A bientôt avec  d'autres  photos de mes vacances en Bretagne (2016). 

Derrière chez moi, savez -vous quoi qui n'y a, derrière chez moi ...

Comme dans la chanson, derrière chez moi il  y a ...

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Il y a des arbres, un petit mur.

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Encore des arbres et encore un petit mur.

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Derrière chez moi,  il  y aussi mon pêcher !

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Derrière chez  moi, il y a la nature à l'état pur.

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 A bientôt.

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Retrouvons la Cuisance qui traverse Arbois. Elle donne à cette ville un caractère paysager très intéressant. Et finalement, Arbois n'est pas que vin ...

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Tout près de la rivière, se dresse la tour Gloriette, édifiée dans un rôle défensif.

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 Et ici coule la Cuisance. Un excellent endroit pour les shootings. N'est ce pas Camille?

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Végétal et animal, deux règnes qui se côtoient sans  problème.

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 De nouveau l'église Saint Just.

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Depuis un autre pont, on distingue au fond, le pont des Capucins où j'étais précédemment.

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Enfin, avant de quitter Arbois, un hommage à Pasteur où le savant possédait et maison et laboratoire. C'est à Arbois qu'i l a mené ses travaux sur les fermentations et c'est là qu'il a mis au  point la fameuse pasteurisation.

Bon, promis. J' y reviendrai

Parti de chez moi à 30 km, avec le soleil, je suis arrivé à Arbois sous un ciel barbouillé, voire blanc.

Qu'importe, il ne pleut  pas. Je vais pouvoir (re)découvrir la Cuisance qui traverse la ville.

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Dès l'arrivée, l'église Saint Just, de style roman et gothique du XII° siècle, nous accueille. La couleur rousse de la pierre est admirable...et admirée

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A ses pieds coule la Cuisance surplombée de vieilles maisons dont l'une a conservé ses murs en tavaillons.  

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La ville sort de l'hiver et dans quelque temps, les fleurs s'aligneront sur les  balcons.

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Une vue en enfilade.  A noter la limpidité de l'eau.

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De l'autre côté du pont, la chute d'eau atteste de la présence du vieux moulin à gauche.

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Le clocher de Saint Just par dessus les toits. Le ciel duveteux se marie bien à l’architecture.

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Fin de cette première partie. Dans la seconde, on verra mieux la rivière, promis. 

Petite suite et fin de ma sortie en bord de Seille du 11 mars, avec un petit coucou à Luce... et la prochaine fois je surveillerai les bancs. 

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Une dernière image depuis Arlay,  avant de continuer à descendre le cours de la rivière .

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Je suis à présent à Ruffey sur Seille. Le lit de la rivière est entrecoupé par endroits de petits ressauts, créant des  effets de vague .

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Sous le vieux  pont, baigné de soleil, l'eau file.  

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Les piles du pont cassent la vigueur de l'eau. 

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Pour mieux rebondir plus loin en vagues d'écume blanche.

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Courbes, contre-courbes sont sans cesse en mouvement.

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Et  le soleil s'amuse des remous tout en plongeant au coeur de la rivière...

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A  bientôt 

11 mars 2017, ouverture de la pêche. Je dois aller sur le terrain pour mon journal. 

Direction la Seille à Arlay et Ruffey.

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Battons le fer pendant qu'il est chaud.

Alors on  poste un pêcheur en guise d'introduction au sujet.

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A Arlay, le parcours de la rivière se veut plus rapide.

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Un petit barrage coupe la rivière et lui permet de retrouver un cours plus sauvage. Il y en aura d'autres sur quelques kilomètres.

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Tiens, un  pêcheur.

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Changement de coin et d'allure, mais toujours à Arlay. Mais là aussi un pêcheur . Les jours précédents ont été pluvieux et cela se voit.  

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D'ordinaire, on découvre aisément le lit de la rivière. Et mon pêcheur est toujours là. Vous l'avez vu?

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Vue sous un autre angle de ce petit coin de la Seille dont les eaux proviennent en grande partie de la cascade de Baume les Messieurs.

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Un petit détail de toute cette masse d'eau qui s'écoule.

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La suite demain,  peut être.