Le regard peut s'élargir, mais peut aussi se resserrer pour ne plus voir qu'une partie du décor. Je ne suis pas japonais et je ne ramène pas au pays une tonne de clichés. J'ai déjà assez de travail  avec  la  malheureuse  petite dizaine  que je vous présente. Et donc  une  nouvelle  fois, vous verrez ce que tout le monde voit, mais  à travers  mon œil...

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Voilà qui sort de l'ordinaire, une  maison  classée  "X"...

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Et tant pis pour les bien-pensants (ou les mal-pensants ... )

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De toute  façon,  dans  le coin, même les chats le prennent de haut et vous rejouent "la chatte sur un toit brûlant"...

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Car à Dijon,  on ne vous le dit pas, on vous le chuchote...

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" Encore une fuite, décidément le vieux matériel est bon à mettre à la casse...

Comment  je  peux  régler  ça avec  mon  petit matériel? "

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Et à Dijon,  j'ai découvert  une  nouvelle  façon de s'envoyer en  l'air...

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En espérant vous avoir fait passer un petit moment hors du  temps.

Il y a  différentes  façons de voir une ville.  Mon regard n'est pas celui d'un touriste et n'a pas su s'intéresser au patrimoine bâti couru par tous les appareils photos. Alors au risque de  blesser mes voisins de Côte d'or,  voici  juste cinq "images" pour donner mon ressenti...

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Voilà, était-il  besoin  de légender? Peu importe. Ce qui compte, c'est que le regard s'arrête, dissèque et reparte,  content ou non,  satisfait ou interrogateur.

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A bientôt pour d'autres  photos un peu différentes de  Dijon,  réalisées  en  ce 13 juilet 2015.

Après  la cascade de la Frasnée,  direction Prénovel,  les Piards et Etival. Le paysage va se modifier. Une petite boucle très  plaisante donc par la variété des sites découverts.

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On atteint ici l'altitude de 1000 m. Le point haut maxi sera ici de 1036 m. Pour quelques centaines de mètres encore,  les sapins nous accompagnent avant de céder la place à de vastes prairies.

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Les effets du  printemps sont encore visibles par rapport à la  plaine. Les fleurs sont partout.

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Les  bordures des routes sont tapissées de fleurs diverses .

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Tout ce tapis végétal a pris de la hauteur. Les fleurs sont très hautes,  cherchant  vraisemblablement la lumière à travers les sapins.

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C'est bien sûr, un bonheur pour les insectes. Il y a à manger partout.

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 Changement de cadre et  découverte d'un paysage typique du Jura à Prénovel.

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Autre typicité des paysages de montagne, les gentianes, ces grandes fleurs jaunes dont les racines servent à faire une célèbre liqueur. On dit aussi que  la  hauteur des  gentianes  à  l'été déterminera la hauteur de  neige en hiver... Au fond le village des Piards, dans  l'alignement de Prénovel.

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Puis on redescend pour jeter un oeil sur le lac d'Etival. Ici,  le grand lac. Derrière moi,  le petit lac, mais invisible, noyé dans la végétation.

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 Nous sommes à 800 m d'altitude,  au pied d'une barre calcaire haute de plus de  100 m.

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Long de 1,2 km et large au  mieux e  150 m, l'endroit est apprécié des promeneurs pour sa tranquillité.

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C'est là que s'arrête ce voyage en trois étapes, plus instructif que n'importe quel livre de géographie.

A  bientôt,  pour un autre ailleurs.

Troisième passage dans le jardin d'Agnès Fougère qui n'est pas un nom de circonstance... et laissons nous guider par la  frénésie de croissance de toutes ces plantes qui font le  charme de l’endroit.

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Quelques taches de couleurs suffisent  à composer  un tableau. Ici, c'est  le rôle de quelques  plantes accompagnées d'un papillon (moro-sphinx)

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 Une  halte?  je vous en  prie, asseyez-vous et jetez  un  oeil  à l'entour.

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L'art de la composition, les plus petites plantes devant, les grandes derrière. Quant aux plus grandes,  on les verra après..

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D'un rien, Agnès crée le décor. Ici, une vieille roue fera l'affaire, ce qui ne perturbera pas le papillon. Au  fait, vous l'aviez vu?

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 Par moment, un refuge ou un resto du coeur pour insectes...

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Les différentes étapes du développement de la fleur...

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Tiens, encore lui ou un autre. Mais ces  petits œillets semblent appétissants!

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Chose promise, chose due. Voici les grandes plantes sous un décor improbable mais tellement visuel.

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Encore un visiteur, mais cette fois-ci, il est presque caché dans la fleur

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Comme des minis soleils, ils éclairent le fond. Pas étonnant qu'ils attirent les  papillons.

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Il nous reste un épisode à regarder, avec  un regard qui  va s'élargir un  peu,  mais  ce sera pour plus tard.

Poursuivons la découverte de cette cascade de la Frasnée bien particulière.

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J'ai donc entrepris de remonter le long de la cascade pour mieux l'apprécier et peut être la comprendre...

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Puis je suis entré dans son lit, en passant sur les différents rochers moussus et glissants...

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A ce niveau,  j'étais entouré d'eau...

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A peu près la même photo mais en pose longue, sans trépied...  Du sport et il faut oublier de respirer, tout en tentant de garder son équilibre!

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Et tant on y est,  autant voir ce que cela donne en N&B... 

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Un  petit regard vers le bas, mais là  je suis de nouveau en dehors du lit de la rivière.

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Je  me dois à présent de vous donner une explication. Et regardez bien cette photo avec la falaise tout en haut.

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Voici un autre plan de l'endroit. Si  j'ai suivi un sentier pour aller voir plus haut, celui-ci est rapidement devenu impraticable. Et  pour cause

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S'il  y a  effectivement  un début de sentier, c'est  parce que  les touristes et randonneurs  ont  fait comme moi depuis des années. Mais il n'y a pas de chemin. Il s'agit en fait d'un déversoir naturel du torrent par où s'échappent les eaux lors des grosses intempéries. La rivière fait un coude juste au dessus et s'échappe du lit naturel, situé à gauche, lors des crues. D'où la présence de toutes ces  pierres, troncs et  branches qui se trouvent là...

Je vous laisse à penser de la puissance du flot,  à certaines périodes de l'année!

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 Mais aujourd'hui, le  lieu est calme et  le Drouvenant coule  paisiblement

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Je quitte la Frasnée pour prendre de l'altitude.  Photos à venir. Alors à  bientôt.

Toujours le jardin d'Agnès Fougère. On y est si bien qu'on ne va pas le quitter comme cela...

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Nous sommes loin de la Provence.  Néanmoins, la lavande profite bien et nous invite à venir prendre une tasse de notre choix...

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Une  petite capture de ce citron  sur le rouge de la fleur...

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Un  petit coin propice à la médiation. Et  pour Agnès, toute récupération est bonne pour planter un décor.

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J'ai  aimé ce mélange de couleurs. Alors je me suis dit que vous pourriez en profiter aussi... 

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Petite sortie du jardin,  pour découvrir un peu du paysage environnant.

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Un tête à tête me paraît bien improbable. Il ne nous reste alors que l'imagination pour recomposer un tableau bucolique...

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Il restait quelques roses. Celle-ci semble née sur la branche 

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Tandis que cette autre  semble  faire une tentative d'évasion vers  le ciel.

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Les rayons du soleil traversent les feuilles pourpres de cette plante au raz du sol...

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Un subtil mélange de plantes. Un  joli désordre savamment orchestré qui donne  à ce jardin tout son charme.

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A suivre,  si vous le voulez bien ...

La Frasnée dans  le Jura,  un petit village  caché au-dessus de Clairvaux les Lacs. Un endroit que je ne connaissais pas. Mais la Frasnée ce n'est pas qu'un village. Alors  voici  le début d'un reportage qui changera de titre au  fur et à mesure de mes déplacements.

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Ce petit village est niché au creux d'une falaise.  Et ce que l'on remarque tout de suite,  c'est le clocher qui bien que non franc-comtois, n'en n'est pas moins orné de tuiles vernissées.

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Une  petite  rivière, le Drouvenant, ici bien calme, a la particularité de tutoyer le lac de Clairvaux au nord mais au lieu de se jeter dedans,  il en récupère les eaux pour finir sa course dans l'Ain, du côté de Pont de Poitte.

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Les hautes falaises dominent le minuscule village

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Lequel  village est  par ailleurs  bien  fleuri,  un côté agréable du  lieu.

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Mais en sortant du village par une route en impasse,  je découvre  une  pancarte  : Cascades ???. Curieux  je décide de m'y rendre.

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A quelques  hectomètres en effet,  j'arrive au bout de la route pour découvrir la cascade.

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Je  m'attendais  à voir plutôt une chute d'eau, comme  j'y suis habitué dans la région.

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De cascades en fait,  je  ne vois qu'une succession de  sauts,  descendant la montagne. Je décide alors de remonter un peu le cours d'eau.

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Puis  le chemin disparaît très vite. Malgré tout, j'ai  pu m'approcher du bord de l'eau et le spectacle est toujours là. 

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 Une  petite  vue  à  l'ancienne  avant de  poursuivre  ma route. Mais ça c'est  pour un autre jour, car  j'ai  poursuivi  ma remontée...

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Dimanche  28 juin, je  me suis rendu chez Agnès Fougère, à Darbonnay pour y retrouver son étonnant  jardin. J'ai beau le connaître,  j'y retourne pour le plaisir et tenter d'en découvrir quelque secrets. Alors  pendant quelques  jours,  je vous  invite à m’emboîter le pas. Comme à l'habitude, qu'on me  pardonne,  je ne citerai pas ou si peu le nom des plantes rencontrées,  puisque je ne les connais  pas... et cela m'évite de  faire des erreurs.

 Alors direction le gîte d'Agnès

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Quand de vieux objets retrouvent un emploi.

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Petite  pose détente entre  les fenouils?

Cette fleur flétrie de rose trémière attiré mon regard, d'autant qu'un visiteur s'est glissé à l'intérieur.

Quant à sa voisine,  je n'ai pas eu le loisir  'aller voir si  es fleurs étaient occupées...

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Le rosier grimpant au nom certainement imprononçable, nous offre quelques petites beautés

Juste un petit truc photographique. La  fleur n'a pas l'apanage des effets.

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Par ces temps de grosses chaleurs, les fleurs prennent un bain... Pourquoi,  je ne sais pas,  j'ai oublié de demandé à Agnès.

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Une autre rose m'attendait  à 2m de hauteur dans un arbre. Autant dire que ce ne fut pas aisé pour la prise de vue...

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Agnès n'avait sans doute jamais imaginé voir sa table et ses chaises de cette  façon. Et bien voilà, c'est  fait !

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Encore moins comme cela...

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 Voilà pour cette  première  partie,  il y en  aura d'autres en alternance avec d'autres reportages.

Encore un grand merci à la famille Fougère (Agnès, Pascal, Tiphaine et Jonathan) pour m'avoir laissé naviguer dans le  jardin. 

Dans quelques  jours, ils passeront de vie à trépas avant de renaître sous une autre forme. Mais pour le moment,  ils se dressent encore fièrement dans nos campagnes. Alors juste le temps de les  immortaliser.

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L'été est arrivé et avec  lui la chaleur. Dans peu de temps, les moissons vont être légion.

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Les épis regorgent de vitalité et mûrissent doucement au soleil.

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Tiens, ici nous avons une forte tête ...

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 Entre quelques épis de  blés épars,  le liseron tente de trouver sa  place.

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De  l'autre côté de la route,  une autre  variété de céréale. Ne me demandez pas  quoi,  je n'y connais rien,  je le rappelle.

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Mais ici règne un bel enchevêtrement que le vent bat et rabat sans vergogne.

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Quelques coquelicots font de la résistance et se font remarquer par leur robe rouge.

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Voilà  pour aujourd'hui avec ce passage de la main de l'homme, pardon du tracteur avant celui de la moissonneuse...

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Les foins sont en cours,  les grandes  herbes se couchent composant ici et là des mélanges savoureux de formes. La preuve en images, mais comme d'habitude, à ma façon...

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Vu ainsi, il y a un effet de vagues mais à force on se lasse.

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 Je vous laisse avec votre imagination...

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On change d'éclairage, de focale,  toutes les folies sont possibles...

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Levés, soulevés, coupés, les brins d'herbe  ont été retournés, couchés... 

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offrant ainsi mille et une apparences

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Embrouillaminis de  végétaux, forêt vierge de brins d'herbe...

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Ici et  là, des amas d'herbe. Piètre refuge pour quelques animaux.

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Comme des  vagues,  des entrelacs se succèdent

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Retour à la case départ. La machine est passée et une autre repassera pour faire des bottes. Éternel aller et retour de la nature.

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A bientôt

PS :  Pourquoi ai-je travaillé en N&B? Parce que je pouvais plus facilement faire ressortir cinquante nuances de gris...  et surtout, que pour moi, cela évoque un passé déjà bien lointain !