Aujourd'hui, petit passage à Dole.

Cette ville est particulièrtement plaisante. Le quartier du canal des tanneurs, par exemple se prête à la photographie.

Malheureusement, les jardinières ne sont pas encore en place, et il manque un peu de couleurs.

Par contre, il y a un élément imperturbable dans la  physionomie de la ville, c'est la collégiale ou cathédrale Notre Dame.

J'ai donc pris le parti de vous la présenter, du point de vue photographique. Pour l'histoire, je vous renvoie à votre moteur de recherche préféré.

Elles sert d'emblème aux bâtiments particuliers ou historiques de Dole... 

Nota : suite à une chute de 30cm sur le goudron, dernièrement, mon objectif a quelques soucis et me restitue parfois des images un peu floues en divers endroits... désolé. Alors je ne peux vous présenter que le moins mauvais...

Le port de plaisance de Dole s'étend sous la protection de la collégiale.

N'étant pas photographe paysager, il m'a fallu jouer avec les éléments environnnants pour tous ces clichés.

Identité de formes.

Surprise en découvrant cet hibiscus. La maison natale de Pasteur est juste derrière les fleurs de droite. Photo réalisée au flash, car les fleurs étaient dans l'ombre.

Même punition pour ce laurier.

Le vieux Dole et ses maisons bourgeoises se blottit au pied de la cathédrale.

Ici, il n'y paraît pas mais la pente de la rue est importante.

Voici, pour ce premier cheminement autour de la collégiale.

Demain la suite de sa découverte. 

Newsletter opérationnelle. Inscrivez-vous.

Pour ce soir, retour à des valeurs sûres. Pas de délires... Juste un regard pour vous faire rêver...

Le petit port de la Seyne St Elme, près de la plage des Sablettes.

Un port pour le moins confidentiel, loin de certaines structures démesurées.

Un peu plus loin, un minuscule port à la Ciotat, mais ce n'est pas le principal... rien à voir avec les parkings à bateaux tout proche.

Un autre port de la Ciotat, celui-ci reste encore réservé aux pointus, ces fameux bateaux de pêche méditerranéens.

Nous voici à présent sur le port principal de La Ciotat. Ici le mélange des genres est surprenant. Bateaux de joute nautique contre yachts...

Les mêmes barques de joute mais vues d'un autre côté qui permet de remarquer le nombre de bateaux n'ayant rien à voir avec la pêche... A noter au passsage, les canards, ce qui est surprenant pour des animaux d'eau douce (en général)

 Un peu plus loin, le mélange des genres est évident. Les  "pôvres" bateaux de pêche ont du souci à se faire...

Heureusement, il en reste encore pour les touristes, les photographes et accessoirement pour quelques pêcheurs...

Il m'en reste encore quelques unes du même genre à vous montrer. Même si ce n'est pas tout-à-fait mon style de photo, j'ai pris du plaisir à les faire. Et j'espère que vous aurez pris du plaisir à les regarder.

Newsletter opérationnelle. Inscrivez-vous.

Lors de mon passage sur la Côte au mois de février, chez mon amie Mimi, j'ai oublié pour un temps, la beauté des paysages pour me replonger dans ces scènes de tous les jours que j'affectionne tant. Surtout quand elles prêtent à sourire...

Sept mats, vierges de tout oriflamme. Peut être attendent-ils justement mes photos...

j

A la Ciotat, on n'est jamais trop prudent, il faut être équipé pour emprunter les trottoirs...

Plus de place au port de la Ciotat. On se gare comme on peut.

La petite sirène du port de la Ciotat...

Si vous voulez des nouvelles fraîches, c'est par ici...

Attention au départ 3...2...1   Risque pas d'avoir froid dans l'eau le gars....

Mais finalement, quant à pêcher, autant le faire à deux, au moins on se tient chaud.

Et j'entends déjà les esprits facétieux me rétorquer, que pour pécher, c'est souvent à deux...

Ouf, je me suis défoulé ce soir... il faut que j'en garde pour demain..  Alors à plus tard.

Source : petitemimine.centerblog.net sur centerblog.

Le soleil à gauche, éclaire la scène qui vers la droite s'assombrit lentement. Mais tout cela ,n'est qu'un jeu de lumière, car la nuit n'est pas encore là.

L'étang, sous l'effet de la bise est agité. Et les vaguelettes captent le soleil en divers endroits.

Pas vraiment un contre-jour, encore que le soleil ne soit pas bien loin... sur la droite.

Une petite partie des étangs, histoire de fixer les idées.

Les troncs d'arbre, même peu épais me permettent de couper l'effet du soleil et de photographier "à l'ombre"...

Et certains troncs d'arbre m'offrent une silhouette parfois bizarre...

Finalement, le contre-jour offre des possibilités insoupçonnées, nous révélant à travers les ombres des formes étranges et créant ainsi une atmosphère assez particulière mais également pleine d'imprévus.

A demain peut-être, suivant mon humeur du moment.

Toujours en train de trier  mes photos, j'en ai ressorti quelques unes de mes vacances 2011. Le problème c'est qu'il m'a fallu trouver un lien, pour ne pas faire trop bric à brac... Et le titre parle de lui même...

Tout d'abord, une vue bucolique d'un pont sur la Seille à Ruffey...

Et  l'eau de la Seille dans laquelle se reflète la végétation.

Quittons Ruffey pour Arc et Senans, où se déroulait le festival des jardins. Du vert, on passe allégrement au bleu...

Et du bleu il y a encore au-dessus des bâtiments des Salines royales d'Arc et Senans :

Même tapi dans l'obscurité, le bleu du ciel vous inonde  le visage: 

Mauve... mais heureusement qu'une pointe de blanc vient donner de l'éclat...

Brassage des couleurs.

 A présent, je regrette de ne pas avoir fait plus de photos de cet étalage et sous divers angles. Il y avait sûrement quelque chose à faire...

Alors là, plein les yeux, la cabane de jardin, en plein soleil, mais qui offre une ombre salvatrice...

Et on finira pour aujourd'hui sur le pourpre, 

A demain, pour un sujet dont je n'ai pas encore idée... Ce sera donc pour moi aussi, une surprise.

Je rentre d'un reportage sur l'entrainement d'un club de twirling bâton. A cette occasion, j'ai fait quelques photos pour le plaisir et que je vous propose ici.

Cette activité n'est pas spécialement réservée aux jeunes filles. La preuve avec l'entrainement de ce professeur. Les photos ont été réalisées sans flash pour ne pas perturber les acteurs. La présence d'un peu de flou ajoute du mouvement à cette discipline qui portant, n'en manque pas.

L'envoi du baton est un geste important et il conditionne la réception

Il faut une certaine souplesse du poignet pour maîtriser le baton.

Agilité, concentration, entre autres, sont deux atouts importants du pratiquant du twirling bâton

Après le professeur, l'élève. Une même application les réunit.

Pas de pause, le bâton virevolte sans arrêt et les passes se succèdent.

Le bâton est dans les airs, le principal est de le récupérer entre les mains...

Et il faut songer au final. Souplesse, grâce, donnent souvent un cocktail détonant.

Alors, votre avis, sport ou art? 

Je remercie ici Fanny et Maxime, pour leur participation et l'autorisation de publication de ces photos.

Tous deux font partie du Twirling Club de Chaumergy dans le Jura.

Merci à ceux qui se sont inquiétés de moi. rassurez-vous, tout va bien. Mais mes activités  mélées à mes loisirs,  tout cela fait que parfois, il faut prendre du recul...

Et je reviens.

Je reviens pour me plonger dans cette période déjà éloignée de mon enfance. De cette période où je rêvais de jouets inarbordables pour la bourse de mes parents, comme beaucoup d'entre nous sans doute... Et grâce à une bourse aux jouets locale,  le rêve est presque devenu réalité. Non je n'ai pas acheté, mais l'espace d'un instant, j'ai fait comme s'il était à moi ou à vous aussi...

Comment ne pas rêver devant ces autos tamponneuses? Et plus encore que le jouet, elles incarnent la fête. A noter que ce manège est fonctionnel, adapté par un artisan horloger...

Autre prodige de minutie et de mécanique, cet Arlequin automate qui dans les vitrines de Noël me faisait écarquiller les yeux, bref m'impressionnait! Lui ou un autre...

Non, je n'ai jamais voulu jouer à la poupée, mais je pense à toutes ces petites filles dont les yeux devaient être aussi ronds que ceux de cette poupée, en la regardant dans la vitrine.

Ou encore à celles qui voulaient jouer à la marchande, comme on disait...

Quant aux garçons, lequel n'a pas souhaité avoir sa grande échelle de pompier ?

Mais à côté des jouets, il avait les bandes dessinées avec leur monde d'évasion, dans lequel on s'identifiait à nos héros...

Et que dire des soldats de plomb. Combien de fois ces figurines sont elles mortes d'un rageur coup de doigt ou dans une longue chute? Cow-boys, soldats, gendarmes, indiens, tous nous ont raconté une histoire...

L'Histoire, elle était enseignée à l'école, comme ici dans cette naïve reproduction de classe de filles.

La récompense, c'était parfois le spectacle comme ici avec ces marionnettes héritées de la culture lyonnaise : Guignol, Gnafron et Madelon...

Et enfin, le train...Ah qu'il m'en a fait voir celui-là... J'en ai rêvé. Mais au jour d'aujourd'hui, il est devenu réalité... sous forme d'un réseau à quelques mètres au-dessus de ma tête...dans la mezzanine!

L'espace de quelques minutes, ou plutôt une bonne heure, j'ai rajeuni de nombreuses années. A la découverte de certains jouets, le passé m'est revenu en tête, remuant bien des souvenirs. 

Alors, si d'aventure a lieu près de chez vous une bourse aux jouets, poussez la porte. Même si vous n'achetez rien, vous repartirez avec un autre état d'esprit, je vous le garantis.

Bonsoir et à demain.

Ce soir un insecte de nuit est venu se poser sur mon écran. Comme un signe !

Le signe  que je suis fatigué, que je dois m'arrêter.

Alors il n'y aura que cette photo. J'espère que demain je pourrai me remettre à vous poster des photos. Mais en ce moment je sature...

Bonne nuit à vous et à la prochaine.

Certains le savent, un de mes axes de travail en photo, est la photo ferroviaire. Mais voilà plusieurs mois que j'ai laissé  de côté cette branche. Aujourd'hui, j'ai décidé de m'y remettre , poussé par un évenement, la venue d'un autorail ancien.

Je ne vais pas vous embêter avec ce genre de photo, j'ai les forums spécifiques pour cela. Par contre, j'ai voulu vous montrer quel pouvait être  l'ordinaire d'un tel photographe.

Peu après mon arrivée, j'ai pu shooter un premier train, ordinaire...

Puis la longue attente commence. Les horaires que je possède, sont parcellaires et le temps passe. Heureusement, pour un photographe, il y a toujours manière à passer son temps. Aussi je vous présente ma compagne du jour...

Pus je remarque quelques gouttes de rosée sur les feuilles de ces plantes. Il n'y en n'a pas asez à mon goût, mais je vais faire avec, pour une petite photo

Le temps s'écoule, toujours rien. Il faut parfois avoir une patience de pêcheur pour être photographe de trains...Face à moi, l'église de Bréry se dresse entre deux arbres. Un petit clic, voilà :

Et toujours cette ligne droite au sortir d'une courbe, qui reste désespérement vide...

Mais enfin, voici ma quête récompensée avec l'arrivée de ces "Picasso" sous mon objectif. 45 minutes d'attente pour cela...

Je vous épargnerai ma sortie de l'après-midi, toujours à l'affut de ces autorails.

A demain pour un autre reportage, peut être pas si éloigné de celui-ci...

Après mon marché d'hier, je suis descendu  aujourd'hui dans mon jardin, pour consulter la nature. Les jacinthes  sont à présent  bien sorties et m'offrent des teintes superbes, allant du bleu profond au bleu pâle...

ou encore un rose presque blanc.

Les parterres de primevères ont envahis les massifs ou les allées, dans des tons proches de ceux des jacinthes.

Les violettes odorantes ont également conquis leur part de terrain, et par endroits constituent un tapis.

La spirée rose a retrouvé sa vigueur, la preuve avec ses magnifiques petites feuilles. 

Au-dessus, le pêcher en quelques jours a développé ses bourgeons, puis les feuilles s'ouvrent peu à peu...

Le cognassier du Japon n'est pas en reste et dans quelques jours, de magnifiques corolles s'épanouiront.

Le framboisier quant à lui, n'attendait que les rayons du soleil pour se développer

Quant à cet arbuste, sauf erreur de la spirée blanche, il va se couvrir de petites fleurs qui plus tard attireront des colonies de cétoines dorées.

Sur le rosier à l'ancienne, les premières feuilles sont également apparues. Mais je reste toujours étonné par le genre des épines.

Pour le moment, le lilas se tient encore en retrait, mais d'ici peu, les fleurs seront présentes...

Et pour la dernière photo, j'ai pu relier les trois éléments : minéral, végétal et animal...

Dans quelques jours, je retournerai faire un nouveau point, car il y encore quelques découvertes à faire...