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Bonsoir,
Je vais être passablement occupé pendant quelques jours avec en outre, des absences. Je n'aurai guère le temps de poster des photos (voyage à Lyon et à Paris). A mon retour, je devrais avoir de quoi alimenter ce blog.
Et puis je ne me suis pas remis de mon week-end...
Et je tiens à vous présenter mes compagnes ....
de g à d : Laura, Clarisse, Manon, Amandine, Eloïse, Tyffany, Elisa.
Et je vais vous livrer un secret : je pars retrouver Amandine (Miss Franche-Comté 2012 - Comité Miss Prestige National [Geneviève de Fontenay]) pour l'élection de Miss France, Comite Prestige National. Cette manifestaion se déroulera au Lido, lundi 10 décembre.
Voilà, vous savez tout, ou presque. Et vous comprendrez qu'il me faille du repos...
A bientôt
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Deuxième partie de ma "recherche graphique"
Quelques cheveux dans la lueur d'un spot suffisent à accrocher mon regard ...
Tout comme une ombre et cette image transformée en N&B comme les touches du piano !
Un de mes rares profils un peu plus ouvert pour marquer l’application de la jeune pianiste.
Jeu de main, jeu de ... vilain disait-on. Ici jeu de main, jeu en bien ...
Ombre échevelée...
Je n'ai regretté qu'une chose : c'est que cette jeune pianiste ait mis ses longs cheveux dans sa veste. Heureusement sa boucle d'oreille a sauvé la photo.
Là par contre, j'ai été tout heureux de retrouver une chevelure abondante, brillante de mille feux.
Un petit retour sur les mains :
Et enfin, avec cette photo traitée dans les flous et telle un coucher de soleil, je vous laisse....
Oui je vous laisse sans savoir si demain je posterai quelque chose. Car j'avoue qu'il n'est pas facile de sortir un nouveau sujet tout les jours. Enfin on verra bien.
En attendant, merci de vos visites et de vos comnentaires.
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Aujourd'hui, complet changement de cap pour un reportage qui n'était pas du tout prévu. En effet une école de musique a procédé à une audition publique de ses jeunes élèves. L'occasion a fait que je m'y suis rendu pour le journal. Voici donc quelques photos issues de cette séance. La plus grand difficulté a été de trouver un sujet à photographier car les élèves étant mineurs, je n'ai pas le droit de mettre leurs visages en avant, sauf à avoir des autorisations parentales, ce que je n'ai pas demandé. mais il reste quand même d'autres choix. Comme ici les mains ... instruments indispensables pour jouer de la musique.
Et puis il y a les chevelures des élèves féminines qui brillent sous les spots !
Photographier de derrière, permet d'obtenir des ambiances intimes...
Une frange qui paraît folle ne dérange pas la pianiste...
Les lumières procurent d'élégants reflets qui créent une belle harmonie dans la photo.
Un contre-jour ou un contre-spot que j'aime bien...
Ici la main semble posséder son propre éclairage...
Juste pour la lumière...
Toute ces photos ont été réalisées en manuel, à 1600 ISO , avec un objectif 70/300, à main levée. Seules les vitesses ont évoluées en fonction de mon placement comme bien sûr l'ouverture.
Demain, suite et fin de ce reportage .
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AVERTISSEMENT : Au moment de préparer ce post, j'ai découvert que le CCE2A (Collectif contre l'Exploitation et l'Expérimentation Animale) préparait une manifestation à Paris contre les cirques Pinder et Gruss, le 15.12.12. Je respecte les opinions de chacun et je n'entends pas faire de cet article, de la contre publicité à ce mouvement. Pour avoir parlé avec les propriétaires de ce cirque, j'ai estimé que je pouvais poster cet article qui n'a aucun caractère polémique. Encore une fois, ces photos ne sont que l'illustration de mes délires visuels
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Un cirque est venu s'installer pour deux jours dans une petite ville près de chez moi. Au départ, je ne souhaitais pas m'en servir pour illustrer un article pour mon blog.
Mais voilà, mon regard en a décidé autrement. Surtout quand j'ai vu le haut du chapiteau tout là-bas, à travers les branches dénudées.
Je me suis donc approché de cet endroit qui pour beaucoup symbolise encore la magie, l'émerveillement.
Avec l'autorisation du propriétaire, j'ai pu me promener et faire quelques photos. Pour moi, au delà du spectacle, le cirque reste avant tout lié à une immense machine qu'il faut monter et remonter jours après jours. Et bien peu imaginent la somme de travail que cela représente.
Sans être un grand cirque comme on en connait, celui-ci est quand même conséquent et 20 personnes vivent au cirque, mais aussi en essayant d'en vivre.
Le Lydia Circus se veut être un cirque dans la plus pure tradition des saltimbanques. Les propriétaires sont les descendants de la célèbre famille Prien.
Aujourd'hui, c'est la huitième génération de la famille Prein, qui sillonne les routes de France. Le Lydia Circus possède en outre une particularité, à savoir que c'est avant tout une entreprise exclusivement familiale. Et cela, le cirque le revendique haut et fort.
Que ces quelques images soient quelque part un hommage à ces nouveaux forçats de la route...
Car pratiquement tous les soirs, il faut remonter la toile pour assurer un spectacle esthétique et de qualité que le public est en droit d'attendre.
Et tous ces enfants de la balle n'ont qu'un souhait : être et demeurer des marchands de bonheur.
Au faitn un cirque ce sont aussi des animaux. Les seuls félins rencontrés sur place sont deux chats qui font partie du spectacle, avec des lamas, des chameaux, des ânes ou encore de chevaux... dont aucun ne semblait être en péril...
J'aurais voulu vous faire rentrer sous le chapiteau. Mais il était dans l'obscurité et mon flash n'aurait pas suffi. Alors je vous laisse, pour certains, sur votre faim. Je n'ai moi-même pas assisté au spectacle. Mais je suis sûr que le soir, des centaines d'yeux d'enfants se sont remplis d'étincelles.
A demain peut être pour un autre reportage.
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Avant le retour au calme promis précédemment, on va en profiter un peu pour décortiquer cette cascade avec des photos parcellaires...
Tout d'abord, en jouant avec la profondeur de champ, on obtient des visions un peu particulières... : l'eau
ou les branches... C'est juste une question de goût ...
Voilà un endroit où je ne prendrais certainement pas une douche. En été, certains s'y aventurent mais les conditions sont autres.
De nouveau le sommet avec ce rideau qui descend, écumant, soufflant, tout blanc...
Et de saut en sursaut, de cascades en cascades, l'élément humide trouve son chemin.
Rien ne semble lui résister. La chute s'amplifie à chaque rebond...
Le bouillonnement est incessant, toujours renouvelé pour notre plus grand plaisir.
Finalement, tout s’assagit. Mais les eaux sont encore hautes et envahissent les sous bois proches du cours d'eau...
Et beaucoup plus bas, la rivière a retrouvé son lit. Seules persistent quelques surfaces inondées qui font la joie ds canards lesquels découvrent alors de nouveaux terrains de jeu...
J'en ai fini avec la relation de cette promenade à la cascade de Baume les Messieurs
Et rassurez-vous, je n'ai pris aucuns risques inconsidérés . Demain, je vous proposerai un reportage complètement différent mais qui hélas, vous laissera sans doute sur votre faim... mais chut!
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Troisième volet de ma promenade.
Voilà ce qu'on appelle la queue de cheval. Il est tout à fait exceptionnel de la voir ainsi. Je n'ose même pas imaginer les cheminements de la grotte en ce moment...
Il faut à présent redescendre. Mais la cascade reste bien présente et si par moment elle disparaît à la vue, le bruit est toujours là.
Un peu de poésie avec cette feuille jaune sur fond de mur d'eau...
Je l'ai dit, j'ai mis mes bottes. Heureusement car l'eau est vraiment partout.
L'humidité est totale et les fines gouttelettes d'eau vous mouillent en peu de temps.. Pour prendre une photo, il faut faire vite et mettre l'appareil à l'abri, tout de suite. Pas question de prendre des poses longues.
Mais il n'est pas facile de résister à l'envie de faire une photo....
Le dôme ou le sommet, l'endroit d'où se déverse toute cette eau, est particulièrement remarquable.
C'est un spectacle permanent. Je pourrai photographier mille et un endroits différents...
Chutes, embruns, rebonds, jaillissements...
Un dernier regard sur cette chevelure abondante qui pare la cascade.
Il me reste un chapitre à écrire, avec le retour au calme. Mais ce sera pour demain.
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Me voici au pied du mur, enfin, au pied de la cascade. C'est un enfer de bruit et d'humidité. Les embruns volent de partout. Et les appareils photos n'aiment pas vraiment cela. En quelques secondes, je suis trempé... Je décide alors de faire le tour par la droite pour rejoindre un chemin qui me mènera au sommet de la cascade :
L'eau est partout et le spectacle total. Et pour une fois, très peu de touristes. Juste une dame âgée parisienne, ravie du spectacle et quelques curieux du cru. C'est le bonheur...
Autant en profiter tant qu'il n'y a personne, pas de gamins qui courent en tous sens, ni de chiens qui aboient à tout va et pas non plus d'amoureux qui se photographient mutuellement devant la cascade... quand ils ne vous demandent pas de les prendre en photo... Attention je n'ai rien contre les enfants, les chiens ou les amoureux. Mais c'est qu'en été, c'est le lot de ce lieu touristique, comme bien d'autres.
Puis j'arrive au niveau de l'escalier. Surprise! L'eau est là aussi, bien présente. Pas évident de grimper là-haut. Je prends néanmoins mon courage à deux mains - non je ne suis pas monté à quatre pattes...- et j'entreprends de gravir cette montée sans savoir ce qui m'attend plus haut.
Bientôt le sommet. L'eau est toujours présente. Le haut de la cascade est à ma hauteur. C'est de plus en plus impressionnant. Si ceux d'en bas me voient, ils doivent me prendre pour un fou...
Ça y est, je suis en haut sur un pont qui permet de franchir le cours d'eau donnant naissance à cette cascade. Cela rugit de partout, l'eau gronde, fonce et se jette dans le vide. A ce moment là, on se dit que l'on n'est pas grand chose devant les forces de la nature... (NLDA : La photo mène à la philosophie... )
Et voici le pont que j'ai emprunté pour traverser la rivière. Comme on peut le constater, l'eau passe encore bien dessus. Heureusement, j'avais mes bottes, mais c’était plutôt limite. Les bas de pantalon au-dessus des bottes ont quand même été copieusement mouillés par les vagues!
Petit regard à travers les futaies en direction du clocher sur le restaurant (fermé hors saison...). Puis je poursuis ma route vers la seconde merveille du lieu.
Voici d'où provient l'eau de la cascade : de cette chute d'eau. Nous sommes là devant l'accès aux grottes de Baume les Messieurs. En temps normal, lors de le période estivale, les visiteurs empruntent la galerie qui passe sous la chute d'eau et grimpe l'escalier pour accéder à l'entrée située au-dessus.
Demain, nous continuerons la visite si vous le voulez bien, bien au sec devant notre écran d'ordinateur.
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Les pluies récentes ont provoquées quelques inondations dans la région. Ce fut spectaculaire et il n'y a pas de pertes en vies humaines. Aussi Aujourd'hui, j'ai décidé de me rendre sur place pour voir un peu le spectacle offert par la nature.
Ce reportage en plusieurs parties est rapproché de celui effectue il y a peu : http://apnendelire.eklablog.com/le-long-de-la-riviere-a58629699
Me voici d'abord près de Domblans, où la Seille fait le gros dos :
Sortie de Voiteur. Je retrouve les vieux ponts qui années après années, résistent à l’assaut du flux.
Sur son promontoire, Château-Chalon est assuré d'avoir les pieds au sec...
Nevy sur Seille : la rivière si calme d'habitude n'est qu'un bouillonnement. Mais imaginons comment c'était 12 heures avant : l'eau dépassait les berges...
Sortie de Nevy : le Dard s'est répandu dans la prairie, désertée de ses chevaux...
Confluent du Dard et de la Seille. Impossible de m'aventurer plus loin pour situer la rencontre des deux cours d'eau. J'ai les pieds dans l'eau, mais j'ai des bottes...
Drnier regard sur la Seille qui a pris des allures de torrent himalayen...
De l'autre côté de la route, le résultat des débordements de la nuit...
J'ai dépassé Baume les Messieurs. Je retrouve de Dard qui s'aventure encore hor de son lit. A se demander où il est vraiment!
Et enfin j'arrive au bout de ma promenade. La cascade de Baume les Messieurs, dans toutes sa splendeur.
Je dois avouer que c'est la première fois que je la vois comme cela. Mais pour la visite, merci de revenir demain. Le spectacle sera à la hauteur. Mais je vous laisse la surprise... A bientôt
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Le temps ne m'a pas permis de sortir faire des photos. Je me suis donc plongé à nouveau dans mes archives et j'ai redécouvert ces quelques photos non publiées. Pardon Pastelle, elles ne sont pas de saison ...
En ce jour d'été à Dole, un héron est venu à passer devant mon objectif. J'en ai profiter pour l'immortaliser. Mais je n'avais pas mon téléobjectif, alors le résultat n'est pas à la hauteur de mes espérances et surtout des vôtres :
Par chance, il a fait un autre passage, me permettant de le fixer un peu mieux :
Puis il s'est posé m'offrant un peu de son profil :
Puis il m'a regardé comme pour me dire : tu veux ma photo?
Désolé pour la qualité des photos
Quand je dis que je n'ai pas fait de photos aujourd'hui, ce n'est pas tout à fait vrai : la preuve derrière chez moi :
Le terrain de boules a pris l'eau et la rivière ses aises...
A demain, en fonction du temps...
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Samedi, balade en ville. Pour le coup, pas grand chose à me mettre sous la dent... Alors je vous propose mon "n'importe quoi" du jour...
Tout d'abord, le ciel de Lons le Saunier. A l'origine, il est clair avec des voiles nuageux qui coupent le soleil. Un petit réglage sur l'APN et je transforme le phénomène:
Poursuite de ma promenade et au hasard d'une rue, je découvre ce rosier quelque peu malmené :
Le côté graphique me plait, alors j'en remets une couche:
16h26, il va être temps de rentrer, la lumière baisse à vue d'oeil
Et une petite dernière, à l'état pur, pas de transformation, sortie telle quel de l'APN:
C'était ma maigre récolte de ce week-end...
A demain peut être...
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