15 août 2018 : Deuxième volet de ma visite des chapelles. Avec je l'avoue, une curiosité grandissante au fur et à mesure de mon périple.

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Lannilis, chapelle Saint Yves du Bergot.  XVIème siècle.

Elle surplombe les eaux vertes du pont du Diable. Elle a connu une histoire bien mouvementée. A la fin des années 1990, elle n'était plus qu'à l'état de ruines. L'Association "Sauvegarde du patrimoine" s'est mise au travail. Sa ténacité fut payante puisqu'en 2007 la chapelle avait retrouvé sa splendeur d'antan.

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Une  grande sobriété  habille cette chapelle.

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Et toujours des hortensias.

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La chapelle avant restauration.Voici le lien pour en connaître un peu plus sur cette renaissance : ici 

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Chapelle Sainte Marguerite à Landeda. 

Rebâtie en 1852 remplace un édifice signalé en 1650.

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La chapelle abrite un maître-autel datant du XVIIIème siècle ainsi que les statues de la Vierge Mère (fin du XIVe) et de Sainte Marguerite (XVIe). À coté de l'édifice se trouve un amas rocheux auquel la tradition populaire attribue une action bénéfique contre la stérilité féminine.

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Plouguerneau : La Chapelle Prat Paol date du XVIème siècle.

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Restaurée au XXe, elle illustrerait "le passage du culte païen des eaux au culte chrétien des pierres".

À 200 mètres se trouve le "Pont du Diable" bâti à l'âge de fer et remanié au Moyen Age qui permet de passer d'une rive à l'autre de l'Aber Vrac'h. Il s'agit en fait d'un amas de gros blocs de granit disloqués entre deux rives de l'aber. On ne peut les emprunter qu'à marée basse. 

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Saint-Paul Aurélien y fit jaillir trois sources (frappant trois fois le sol de son bâton, dit la légende) : la première se trouve sous la chapelle, une autre devant la chapelle, la troisième dans une prairie en bordure de chemin.

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À bientôt  pour la suite et fin de ce voyage au pays des chapelles. - Kenavo.