Pour ne pas lasser le blogueur visiteur de ces pages, j'alterne un peu les vues de la cité et celles du carnaval. Alors retour sur les pavés...
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Située sur une terrasse, cette maison avec sa tour a certainement eu un rôle de guet par le passé.
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Les tendres couleurs printanières commencent à envahir le paysage et pour une fois la tour de guet vue précédemment pourra annoncer un événement pacifique.
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D'ailleurs, l'invasion a déjà débuté à l'intérieur de la cité...
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Un claustrât à l'ancienne... Comme quoi nos architectes modernes n'ont rien inventé avec leur décor de bois devant les façades de nos immeubles.
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Ici par contre, ce n'est pas une découverte mais la perpétuation d'un geste ancestral à travers la fabrication du papier à l'ancienne.
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Petit travail de retouche inspiré par la géométrie du lieu.
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Vieilles pierres aussi pour le clocher de l'église qui domine fièrement le village.
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Non je ne suis pas en prison. Mais dans la rue d'où la vue s'échappe vers ce petit jardin intérieur, plein de senteurs à la belle saison.
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Les glycines envahissantes... mais tellement belles quand elles sont arrivées à l'étape de la pleine floraison. Les pierres rondes ou plates n'ont pas eu l’exclusivité de la construction, puisqu'ici elles cohabitent avec les briques.)
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Allez, un dernier délire avec cette désaturation partielle qui permet de faire ressortir les panouilles, pardon, les épis de maïs séchant sous les poutres.
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A bientôt pour un troisième volet de cette promenade sur les pavés de Pérouges.