Roscoff : Le regard dans le vide ...

15 août 2020 : À quoi bon vouloir faire des photos en ville, alors qu'il y a foule? Du coup, j'ai laissé mon regard aller où bon lui semblait.

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Comme ici avec ce gros plan de l'ancre posée face au port. Je n'ai malheureusement pas su d'où elle provenait.

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 Face à elle, l'entrée du  port

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Et dans  le port, comme abandonnée au rythme des marées, cette barque, sorte d'objet flottant non identifiable.

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À peu de distance, la façade d'un côté, battue par les vents du large, d'une maison aux murs de pierre. Nous somme ici au bout de la rue commerçante. Là où la foule s'agglutine !

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Construit en 1968, cette jetée ou estacade longue de 580 m, permet l'embarquement des passagers pour l'île de Batz à marée basse. 

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Après une première maison, la suivante. Dans le même style et pour cause, il s'agit de deux corps de bâtiment d'une maison en forme de U, au bout du quai Parmentier. 

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Au large, un vieux gréement s'autorise une sortie. 

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Mais si l'un sort pour le plaisir, l'autre travaille... et sa journée n'est pas finie.

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La vieille estacade dont il avait été question d'engager la restauration, il y a quatre ans. Mais les experts en ont jugé autrement... Elle ne sert d'ailleurs plus qu'aux piétons.

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Lorsque j'ai posté cette photo, j'ai voulu mentionner la présence de deux oiseaux, mais en y regardant de plus près, il y en a quatre !

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Garé sur le parking du port, je ne pouvais pas faire moins que de terminer ce reportage par une nouvelle photo du large, lequel aspire mon regard.

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 À bientôt.