Ou comment revisiter un travail "picturo-architectural"... La façade du théâtre des Célestins subit une cure de jouvence sous les doigts de l'artiste. Craie, crayon, peinture à l'huile, aquarelle, tout est mis en oeuvre pour sublimer le monument.
10 photos, c'est ce que je me suis imposé pour montrer les différents spectacles offerts. C'est bien peu. Alors à moi quand même de vous faire regretter de ne pas être venus à travers ma trop courte sélection.
Le théâtre sous les yeux de la foule présente malgré la petite pluie, dégouline de peinture...
avant de se transformer en image style imagerie Pellerin à Epinal.
Puis, le bâtiment nous apparaît tel un bas relief pollué, comme griffé par le temps.
Image fugitive qui disparaît dans un incendie virtuel de couleurs.
Puis l'artiste à grands coups de pinceaux d'une peinture largement à l'huile, donne un autre aspect à l'édifice d'où semble émerger un visage...
et tout disparaît à nouveau sous les coups d'un grand lavis...
Des taches d’encre semblent à présent consteller le mur du théâtre lui donnant un aspect camouflé.
Avant qu'à nouveau des couleurs diverses ne composent un tableau qu'aucun peintre n'aurait jamais imaginé....
Finalement, le temps fera son oeuvre et la peinture se craquellera, nécessitant un nouveau coup de badigeon...
pour un dernier tableau somptueux.
Demain, passage sur les quais de Saône. Alors réservez votre fauteuil.