21 mars 2019, toujours. Serais-je toujours à la recherche du temps perdu? Peut-être bien. Mais à fouiner ici et là, je ne pense pas avoir perdu mon temps.
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L'heure a pris maintenant des allures résolument modernes. Les mécanismes d'horlogerie se sont transformés en puces électroniques et autres leds.
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Pour autant (et pourquoi pas pour au temps...) la montre a encore de belles heures devant elle, surtout qu'elle est faite pour cela !
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Passage devant le magnifique Palais Granvelle transformé en Musée du Temps . C'est à voir : ici
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Et juste en face le musée du Temps, la manufacture UTINAM, spécialisée dans l'horlogerie contemporaine voire futuriste. C'est elle qui a fabriqué l'horloge du musée des Beaux-Arts, vue sur mon reportage précédent. Et c'est le même mouvement d'horlogerie que dans une horloge à balancier, la fameuse horloge comtoise.
Encore une tradition respectée , avec ce sablier d'une grande pureté.
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Et le passé qui s'incruste comme ici, cette ancienne entrée d'usine dans le centre ville qu'il faut aussi prendre le temps d'admirer.
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Et si quelqu'un a pu arrêter le temps, ce sont bien les Frères Auguste et Louis Lumière, nés à Besançon. Avec eux, le cinéma a figé l'histoire.
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Mais le temps tourne, et là, pas de cinéma. Le parcmètre me rappelle l'heure et surtout la facture ... Car c'est bien connu, le temps, c'est de l'argent!
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À bientôt pour un retour à Paris.