Au bout du 29 : Une côte des dangers.
12 août 2022 : Après Saint-Pabu, descente vers une côte assurément moins hospitalière…
-=-=-=-
Nous sommes à Trémazan, un nom qui ne dit pas grand-chose au commun des mortels. Le nombre de bouées, balises et marques diverses attestent de la dangerosité des lieux.
-=-=-=-
Mais nous sommes à quelques kilomètres de Portsall, rendu tristement célèbre après le naufrage de l’Amoco Cadiz en 1978, là-bas, tout au fond à gauche, dans l’axe de la marque blanche. Quand on voit aujourd’hui cette côte, on ne peut imaginer comme elle fut souillée, ni appréhender le désastre dramatique pour la faune et la flore.
-=-=-=-
Une faune qu’il eût été dommage de voir disparaître. Heureusement, la nature a des ressources, mais ici largement aidée par les hommes. Cette descendante des mouettes peut leur dire merci.
-=-=-=-
Son environnement est aujourd’hui sain, mais quand même en fragile équilibre, qu’un rien peut dérégler.
-=-=-=-
Marée basse, on se repose…
-=-=-=-
On se repose tellement, que l’on profite d’une retraite méritée. Ce bateau, le Gwalarn, construit en 1985, à Camaret, était un goémonier, basé à Lanildut. Il a perdu son bras de charge et vu son aspect, je doute qu’il soit encore actif.
-=-=-=-
à bientôt
-=-=-=-