8 décembre 2017. Je suis à Besançon pour profiter du marché de Noël et des illuminations.

Autant le dire tout de suite,  je serai déçu.

 Ce n'est  pas une avalanche de lumière. J'ai connu mieux par le  passé. Quant au marché de Noël, il ne retiendra pas mon attention, avec ses sempiternelles baraques de foire, plus ou  moins décorées où on trouve les mêmes produits qu’ailleurs.

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Une des rares rues où un effort est visible.

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Sur quelques bâtiments, des projections laser.  Pas de chance,  c'est le lendemain que le spectacle en façade était programmé.

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J'espère pour les spectateurs, qu'il  y avait plus d'imagination dans les scènes présentées.

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Des étoiles, des cadeaux, oui je sais, c'est  Noël ...

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Passage Pasteur. Cette galerie commerciale a pris quelques airs de fête.  

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Sous le gui de l'an neuf. Enfin, un peu en avance et surtout sous les boules et les guirlandes de la décoration.

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Direction à présent le marché de Noël, avec au passage cette photo qui à elle seule, représente le plus le symbole de Noël

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 A suivre et et donc à bientôt

4 décembre  2017. Marché de Noël à Baume les Messieurs.

 Pas de photos des stands et des réalisations. Vous avez les mêmes chez vous.

Juste quelques photos des sobres illuminations du site.

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Les vieux murs des habitations ont reçu quelques guirlandes.

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Le porche de l'abbaye a été préservé des leds. Quelques projecteurs mettent en valeur l'ensemble.

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Les guirlandes lumineuses passent de cour en cour sous les porches.

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Deuxième cour, celle de la fontaine où l'eau stagnante gèle.

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Dans le bassin, des effets de lumière grâce à la glace et aux reflets dans l'eau.

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 Difficile d'échapper aux personnes qui parcourent le marché.

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Les vieilles pierres ont retrouvé durant un temps tout leur éclat.

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Dans la première cour, de nouveau un jeu de lumière blanche..

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L'allée des tilleuls qui a accueilli les visiteurs pendant deux jours.

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Enfin, une vue d'ensemble de l'abbaye et son environnement.

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Pas de couleurs criardes. Mais des lumières qui s'accommodent de l'austérité des vieilles pierres de ce site clunisien.

A bientôt.

Le  jardin s'est figé dans le pâle soleil de l'hiver.

Une frileuse torpeur a envahi l'espace.

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Le  pied du parasol est resté dehors, prêt pour reprendre sa fonction aux premiers beaux jours.

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A défaut d'hirondelles ... 

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L'hibiscus avait fleuri, me laissant ses graines. Encore quelques jours, et il sera taillé.

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Entrainement du banc à recueillir une vieille branche.

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Les  minuscules asters mauves ont bien souffert. Et s'il n'y avait qu'eux... Le  travail me tend les bras  !

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Hiver. La nature est au repos, du moins elle paraît...

Dans mon jardin en ce premier février,  je fais un état des lieux...

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Les feuilles se sont amassées. Ici, ce n'est rien. Ailleurs, c'est un matelas... 

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Mes lys ont perdu de leur superbe, semblables à des algues sèches... 

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Les tuteurs  pour les tomates ne verront sans doute plus les tiges partir à leur assaut. J'ai abandonné le maraîchage !

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Un tronc rabougri de lilas a vu son écorce disparaître, et remplacée par la mousse.  

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Un peu plus au-dessus, le lichen a trouvé sa place, toujours en compagnie de la mousse.

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Pour une fois,  j'ai utilisé le N&B, pensant que cela s'accordait mieux avec l'état général de mon jardin en cette saison...

 Et c'est à suivre.

29 décembre 2016. Le brouillard n'en finit pas de recouvrir la région. C'est l'occasion de réaliser des photos un peu insolites

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L'entrée de Sellières. Attention, au bout il y a un carrefour ...

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Une myriade de points lumineux vient  frapper la façade du clocher mais le brouillard n'est pas loin.

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Depuis le  pied de  ce même clocher sur la place de la Fidélité.

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La mairie  semble avoir échappé  au brouillard. Mais ce n'est qu'un leurre du à la qualité des optiques électroniques, aidées  par un éclairage puissant..

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 Ici ou là, quelques décorations de Noël  jouent à cache-cache avec avec moi par l'entremise d'un arbre en ombre chinoise. 

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Une autre vision qui dans quelques jours, ne sera plus d'actualité.

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 A  bientôt .

Un lieu atypique  : la Bulle  à Parfums à Darbonnay (39)

Juste quelques photos prises lors d'un reportage en vue d'un événement  à venir chez Tiphaine Fougère.

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 Un plaisir pour les yeux, mais aussi pour les narines, enfin quand on a la chance d'être sur place... Il  ne vous reste plus qu'à imaginer.

Merci à toi Tiphaine pour l'accueil.

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 A bientôt.

Une exposition aux Deux Fays sur la Grande Guerre, celle de 14 comme on disait .

 Exposition réalisée par Alain Neirinck.  

Pas question pour moi de retracer cette guerre, mais juste vous faire partager mon regard...

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Des encriers pour rassurer par quelques nouvelles, sa famille.

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 Avant l'assaut, on mange comme on peut avec les moyens du  bord : gamelles,  chauffe-plats, assiettes. 

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Inséparable du poilu, la pipe et le tabac.

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 Le temps, un autre ennemi du poilu, interminable mais parfois aussi trop rapide ...

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  Une façon comme une autre aussi de passer le temps en travaillant les douilles vides des obus.

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 Pour 1 400 000 poilus, ce fut hélas leur ordinaire.

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Reposez en paix, vous les braves.

 A bientôt.

Musée des Forges de Baudin.

En attendant les visiteurs du musée en cette  journée du patrimoine, on prend son mal en patience en faisant quelques photos sous la pluie.

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Les  barrières, bien mouillées, devaient canalisées la foule... Elles m'ont juste servi pour la photo !

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Guide d'un musée par temps de pluie,  ce n'est pas une sinécure, ou plutôt si, quand il n'y a personne. Chacun sa croix ....

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Le  principal dans ces cas là, est de garder la pêche.

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Les " inexplications" du  moment :  il pleut tout ce qu'il peut mais le lavoir reste obstinément vide .

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Mieux vaut se protéger si vous passez sous les frondaisons, ça mouille!

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La  vieille descente d'eau de pluie en fonte a encore son utilité.

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Une gouttière qui ne date pas d'aujourd’hui, vu la propreté de la pierre

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Bon,  là, d'accord, il va être temps de revoir les chéneaux... 

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Le vieux  presbytère, résiste de moins en moins aux aléas du temps, et son reflet ne va pas beaucoup mieux.

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A très  bientôt sans doute.

Le ciel en ce moment est bien changeant.

Et l'on dit que l'humeur des gens se retrouve à travers leurs actes, leurs écrits, leurs œuvres.

 A en croire mes photo,  je doit être assez perturbé actuellement...

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Nuages, nuées, ondées mêlées. Fait pas bon mettre un nez dehors.

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Si d'un côté, le temps est courroucé, de l'autre il offre une accalmie.

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Une autre vue de l'éclaircie en espérant qu'elle sera plus longue. (Mais il n'en fut rien !)

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Ces trois photos ont été réalisées au même endroit mais en variant les angles. (Du côté de Desnes et Vincent)

Voici la fin de ma deuxième virée dans Lons le Saunier. Du bon et du moins bon,  du flamboyant et du terne. Finalement  à l'image d'une ville qui peut révéler, mais trop peu souvent, de belles facettes d'activité nocturne.

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Un grand cinéma tout neuf à l'architeture résolument moderne... mais trop terne,  alors,  j'ai colorisé...

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Au parc des bains, la lumière joue avec  le feuillage.

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Les thermes révèlent leur beauté mieux qu'en plein jour.

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Une symphonie colorée digne de l'automne.

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Pour que le souvenir ne s'évanouisse pas.

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Retour vers la  ville, qu'on s'attend à voir nimbée de lumière,  heu ... pas  vraiment.

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Silence sur la  ville, comme l'accordéon des tables replié sur lui-même est  muet!

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Le carton du sans-abri de jour ... et la nuit,  où est-il?

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Dédoublement.

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je  ne sais si j'ai retranscrit vraiment ce que j'ai ressenti  au cours de  mes  divagations nocturnes. Mais  j'y ai pris du plaisir. Sans nul doute,  j'y retournerai.