Bonjour à tous et merci pour vos petits mots.

En fait j'ai été victime d'un virus dénommé THDo qui procure une barre au niveau des yeux avec sensation de migraine, des douleurs dans la colonne vertébrale et les reins.

Ce virus se développe suite à une Trop Forte Dépendance à l'Ordinateur... => TFDo.

En refaisant le fil des événements passés, je me suis aperçu que j'avais bossé pendant plus de dix heures sur l'ordi à rédiger des tas d'articles, à en relire etc... ( non je n'ai pas passé mon temps sur FB - lol). Donc une attention soutenue au niveau de l'écran et certainement une position mal adaptée sur mon fauteuil. Ajouter à cela une bonne couche de fatigue emmagasinée depuis quelques jours et le tour est joué.

La douleur au niveau des yeux, a, à présent disparu. Reste la gêne au niveau de la colonne vertébrale. Quelques cachets et on n'en parlera plus.

Rassurez-vous, le vieux loup n'est pas encore mort...

Depuis hier,  je suis malade.

Vous allez devoir  vous  passer de mes  photos pendant quelques jours.  Je reviens dès que  ma grosse fatigue  aura disparu : demain  ou  plus tard.

 Merci  bien  vouloir patienter... 

 Bises et amitiés.

Chacun s'y retrouvera...

Albert

A mon retour des gorges du Flumen,  je suis passé au  dessus du lac de Vouglans, alimenté  par la rivière l'Ain. Et j'ai fait une halte désaltérante...

 Le  niveau du lac n'est pas à son maximum,  mais par rapport à certaines années,  c'est nettement mieux...

Il faut dire qu'avec les pluies du moment et les fortes chutes de neige de l'hiver,  il y a de quoi remplir le  barrage. D'ailleurs,  il ne va pas tarder à pleuvoir...

Le rideau de pluie atténue la luminosité,  des risées se produisent à la surface du lac. Une ambiance que j'aime (je sais,  je suis un peu fou...)

En bas,  j'ai  placé  mes  pions...

Petit jeu avec les  piles du pont de la Pyle (c'est son nom)

Bon il est temps de rentré...

Certaines de ces  photos ont été honteusement mais légèrement retouchées avec Lightroom 5 version Béta.

Demain,  je vous replonge dans  mes délires... Attendez vous au pire.

 traiquées

Je termine ici la relation de ma rencontre avec ce site fabuleux. Je suppose qu'il doit en inspirer plus d'un ...

Un rideau d'eau s'écoule de la  montagne :

Les remous causés par la chute sont importants. A cet endroit, les rochers au sol sont couverts de mousse. L'humidité est totale. 

 Dernière  photo sur la tête de la "sublime" cascade... où l'eau s'évacue en formant comme une crinière...

L'autre cascade la  "large", celle de gauche. Au débouché là aussi, le débit est remarquable

Ici à cette saison,  pas de feuilles sur  les arbres. Mais ne sont-ils pas déjà morts, tués par l'humidité? Heureusement le tapis végétal parsemé de jaune donne  une  note de couleurs.

Il faut quitter ce  lieu. La rivière m'accompagne. Mais comme on peut le constater, il ne fait pas bon laisser traîner son objectif à l'air libre..

Petit  jeu  de désaturation sur le lit de la rivière. Image traitée au 1/20s. 

La  mousse est partout, les troncs d'arbres en sont par endroits couverts.

Le vert tendre des arbres finirait presque  par faire mal au yeux (couleurs et luminosité non retouchées)

Petit traitement approprié  pour mettre en évidence cette fleur sur fond de torrent.

Voilà,  c'est la fin de cette promenade. En espérant vous avoir donner l'envie pour ceux qui en sont proches,  d'aller voir ces cascades de Flumen.

J'ai repris ma progression, c'est le cas de le dire, à travers la végétation plus que moussue. Une cascade se dessine dans le fond.

Le sentier, visible à droite,  bien qu'étroit autorise néanmoins une marche encore aisée. Bientôt, ce n'est plus une, mais deux cascades qui se dévoilent.

Voici la cascade large. Le débit est impressionnant.  Au  bout de quelques  instants,  il faut protéger l'appareil photo car l'air est envahi de particules  d'eau.

Les deux cascades, la large à gauche et la fine à droite, réunies sur la même photo.

Mais ma surprise est totale quand je découvre la troisième cascade que je baptise la sublime cascade.

 Un petit retour sur la cascade large. Vous comprenez maintenant pourquoi je les ai étiquetées...

Autre coup d'oeil  suer  la sublime cascade.

Le  pied de cette  même  cascade sous laquelle je n'irai pas mettre mes épaules, tant la masse d'eau doit être importante...

Des tonnes et des tonnes d'eau se déversent dans le lit du torrent

Un plan plus rapproché permet de constater que le vent emporte des paquets d'eau avant même qu'elle ne touche la surface du torrent.

Je vous laisse sur cette vision dantesque. Je vais me sécher avant de vous présenter demain, la suite de ce reportage.  

Les gorges du Flumen près de St Claude,  sont en fait un canyon né grâce au torrent de Flumen  qui traverse, en tunnel, un éperon rocheux.  Les cascades tombent chacune à côté de l’autre dans un cirque naturel sauvage et obscur. 

Il est vrai que lorsque l'on est au bord du torrent,  on est très vite pris par l'ambiance assez étrange qui s'en dégage. Devant les cascades,  l’impression s'intensifie. En regardant mes photos sur mon PC,  je me suis aperçu qu'elles ne rendaient pas l'atmosphère particulière du  lieu. Je les ai trouvées sans relief...Alors on me pardonnera d'avoir appliqué sur certaines un  post-traitement un peu spécial.

En votre compagnie,  je  vais remontrer le cours du Flumen. C'est la première fois que je visite les lieux... La nature paraît luxuriante, abondante. Le débit du cours d'eau est  important :

Je n'aime pas trop travailler en basse vitesse, mais  il y a des amateurs, alors je m'y essaye.

Quand on parle de canyon,  on comprend mieux pourquoi en voyant comme l'eau  s'attaque aux falaises.

Le vacarme est assourdissant, l'endroit est encaissé et quand le chemin quitte un temps la rive pour s'élever, le regard se pose sur d'autres merveilles.

Un peu de  verdure et quelques fleurs rappellent que le printemps est arrivé :

La nature continue de nous  offrir  un spectacle  étonnant et en guise d’accès au site, nous offre un arc de triomphe

Puis on retrouve  la rivière qui est plus ici, un torrent

L'eau court de rochers en rochers, de  mini-cascade en  mini-cascades. L'humidité ambiante est importante.

Par endroit, le torrent semble se poser...

Puis on arrive  à peu de distance du cirque naturel. A cet instant,  je ne réalise pas  encore le spectacle qui va s'offrir à mes yeux.

Je vais devoir  emprunter un chemin qui va aller en se rétrécissant et de  plus en plus malaisé à suivre, tant il y a de  mousse. Sans compter qu'à 50m des cascades,  on sent déjà les embruns de  celles-ci. Mais tout ça, ce sera pour demain ...

Suite de mon petit reportage en ville.

Les arcades : vues comme cela,  je leur trouve un air printanier...

Je vous laisse juge de la qualité de ce graffiti, très inspiré télévisuellement. Quant au rapprochement avec le texte,  j'avoue chercher encore à comprendre

Mais peut-être préférerez-vous cette oeuvre à proximité immédiate de la précédente?

Seulement, le temps passe, il faut songer à rentrer

Mais avant de partir,  un petit cadeau  pour Luce... Promis,  dès que je peux,  je me mets en quête de ce mobilier.

A bientôt avec une série différente et surtout, beaucoup  plus coulante...

7 mai 2013. Le temps est au beau. Ma décision est prise,  je vais faire un tour en ville.

Mon idée est d'immortaliser quelques  bancs, comme celui-ci par exemple... 

Mais  bien vite  mon esprit et  mon  oeil captent d'autres scènes. Qui plus est, je suis dans un lieu où les  bancs sont absents

Il ne reste  plus qu'à laisser vagabonder  mon regard.

Et Norbert,  il est où? Au bout du fil,  madame...

Jeu d'ombres sous les arcades alors qu'un  homme hésite à s'installer avec sa guitare. Peu après, il partira... dommage

Un, deux,  trois, ...............soleil... pardon  ombre! où les deux.

Poursuite de ma petite sortie en ville, demain. Enfin, si vous le voulez toujours.

Dans la continuité de  mon article  précédent : Où sont-ils?, retrouvons nous dans la salle d'exposition.

Le photographe attend désespérément les visiteurs...

Le temps passe. Serait-ce une visiteuse?

 Tiens, ceux-ci semblent intéressés...

D'autres semblent plus hésitants :

Un autre  préfère regarder en solitaire :

Tandis que d'autres écoutent les explications du photographe.

Je tiens tout particulièrement à remercier mes amies les chaises pour leur participation amicale à ce roman-photo et  leur présence pendant ces heures sombres de la  vie d'un  photographe.

21 visiteurs dont 7 amis, plus 2 (*) venus à la suite d'une invitation très tardive. Le tout  pour 8 heures d'expo sur deux jours.

Pas assez de communication, et surtout  trop tardive,  lieu  méconnu du public, temps  pourri  le samedi et trop  beau  le dimanche. Autant de paramètres que je ne maîtrisais pas.,  n'étant  pas  demandeur  pour cette  expo. J'avais simplement été sollicité... 

(*) il s'agit de Françoise H.,  une amie qui a fait 60 km a/r pour  venir me voir depuis Dole. Quant  à l'autre ami, il s'agit de Fabien Prignot  à voir  ici  et  là ,  un poète qu'il faut connaître car  il le mérite.

Finalement ,  je me serai essayé  à la création  photographique,  un genre que je  n'avais pas encore pratiqué. Et j'espère  surtout ne pas avoir abusé de votre temps avec mes délires...

On dit souvent que le résultat d'une photo ou d'une peinture par exemple, est le reflet de l'état d'esprit de celui qui a réalisé ce travail. Je vous laisse donc juge... 

Je vous plante le décor :

Les fauteuils sont prêts pour accueillir les personnes fatiguées...

Petite recherche en attendant...

Ils sont peut être trop bien alignés  mes fauteuils...

Peur de recevoir un cadre sur la tête?

On joue sur le rapprochement...

Et même  plus...

Faut-il arriver à évoquer des dessous de table?

Réduit  à créer des  mobiles pour passer le temps !

A moins que ce ne soit des épouvantails à visiteurs... à moineaux !

Douze  personnes pour venir faire un tour... quatre minutes en moyenne dans la salle. Je ne sais même pas si je vais rouvrir la salle demain.

 Je ne juge pas. Je pose le constat.