En avançant le long du lac, nouvelles découvertes. Chez les bernaches, le mot famille n'est pas un vain mot...

Mais il existe d'autres moyens se flotter sur l'eau...

Petit coup d'oeil à la nature environnante...

Les sternes sont toujours présents et semblent faire la course avec les voiles...

L'oeil exercé de la sterne scrute la surface de l'eau pour y trouver des petits poissons, sa nourriture.

Changement de lac. En fait les deux communiquent mais une route les sépare. J'ai quitté  le  lac et ses activités nautiques pour le lac réserve naturelle. Les habitants  y sont au calme,  comme ce héron qui a préféré fuir sur l'autre rive à mon arrivée...

Je retrouve  une  foulque sur son  nid.

Pour ceux qui l'auraient oublié, nous sommes bien en banlieue parisienne ;ligne RER D - Juvisy - Corbeil Essonne

 Thèse et antithèse... Technicité et nature. Mais dans un cas comme dans l'autre, le temps se gâte...

Une famille de  bernaches : la progéniture est sous bonne garde.

D'ailleurs,  je me sens surveillé... Pas  vous?

A demain,  pour la  poursuite de cette  "exploration".

Ma  promenade autour du lac de Viry-Chatillon a débuté avec le ski nautique. A présent on va faire le tour du propriétaire, à commencer par ces mouettes qui ont  colonisé la barrière  improvisée, avec des  pneus délimitant le chenal du ski nautique.

Comme au bord de nombreux plans d'eau, les iris jaunes sont nombreux.

Les troncs d'arbres sont parfois tourmentés, comme-ici. La raison? Je l'ignore.

Ici, il me semble reconnaître une foulque dans son nid lacustre...

Par contre,  là,  j'en appelle aux connaisseurs... Ce sont des petits mais des petits de quoi?

La rive sur laquelle je me trouve est balayée  par les sternes....  Pas faciles  à saisir !

En voici un autre en plein ciel, mais  je n'ai pas eu la chance d'en saisir un, au ras de l'eau attrapant un petit poisson.

 Les bernaches sont légions et en voici  un petit détachement.

Mais un lac sans un cygne ferait tâche... alors en voici un.

Et pour finir cette première  partie, une  vue  plus  végétale.

A demain  pour la suite de ce tour du  lac...

Poursuivant ma promenade  à D"eau"le,  j'emprunte le passage souterrain menant à la fontaine  aux lépreux. Je suis  accueilli dès l'entrée par un tag. Pas forcément  très  joli, et qui vu la configuration des lieux risque de faire de peur aux âmes sensibles. Moins élaboré, cela aurait pu être signé de Cocteau. Et puis  un détail retient mon attention  "one l"eau"ve, pardon love...

Je  continue mon chemin pour accéder à la fontaine. Mais là, à l'évidence, il y a trop d'eau, on ne passe pas... 

 J'ai donc rebroussé chemin,  fait un détour, ce qui m'a permis d'immortaliser ce mur de r"eau"ses...

L'eau, encore et toujours. Eau du canal mais pas seulement...

 La  pluie a fait son  apparition d'où des ronds dans l'eau.

Et les  poissons se mêlent à la fête en faisant des ronds dans l'eau... 

 Et  pour finir, deux photos d el'atelier-galerie, de  mon ami Yves  Régaldi.

Pour en savoir un peu plus sur ses réalisations, cliquez  ici

Et surtout ne me dites pas que l'on est loin du thème de l'eau.

 Son atelier est au bord du canal... 

Petite  promenade  à D"eau"le... (Dole)

Même si  D"eau"le n'est pas une ville de cure, c'est quand même une ville d'eau... la  preuve en images non animées mais en couleurs.

De l'eau qui bouillonne tel un torrent, apportant  un peu de fraîcheur...

L'explication de cette eau bien agité  provenant du Doubs...

L'ancien pont et la nouvelle passerelle se côtoient sans une quelconque anim"eau"sité.

Tiens des fleurs. On est  loin de l'eau tout à coup. Croyez-vous?  Pas si loin que cela, car il s'agit de  pav"eau"...

Vous  me pardonnerez j'espère,  ce jeu de  mot .... et alors,  peut  être me direz-vous  : "Eauh ! c'est beau

Quant à ce pavot cousin du c"eau"quelic"eau"... il a fait pour moi,  le beau...

Apprécions à présent les ablutions de ces c"eau"ls verts.

Ah que cela fait du  bien...  Et si  j'"eau"sais,  je ferais comme eux...

- Bon  moi  je vais  me sécher, car l'eau ça mouille !

Fin de cette première partie. Mais je parie que demain,  il y aura encore quelques jeux de m"eau"ts.

Exercice de style pour le skieur nautique mais aussi pour le  photographe... Bah oui, ça  va  vite,  ça tourne dans tous les sens. Bref c'est insaisissable. Voici quelques  photos rapportées de mon week-end en banlieue parisienne  - Lac de Viry-Chatillon,  où j'ai passé plus de 20 ans...

Avec les beaux jours,  les amoureux de la glisse nautique, s'en donnent à coeur joie.

Les  passages sont nombreux mais ne semblent pas déranger outre mesure cette  poule d'eau à gauche.

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Allez  encore un petit tour...

Puis c'est le retour...

Oups,  j'ai perdu le bateau et le skieur...

Ah , revoilà le bateau, quant au skieur....

Demain, je fais le tour du lac, à pied. C'est plus sûr.

Quelques photos prises aux derniers jours de pluie.

Passant près de l'étang, alors que la pluie s'est à nouveau invitée,  je décide de m’arrêter. Bien m'en prend, car je peux  y voir un grèbe, lequel  ne tardera pas à disparaître sous  les eaux....  

Au bord de  l'étang, quelques iris d'eau ont tenté une sortie en attendant celle du soleil.

A la surface de l'eau,  une saute de vent marque sa présence alors  que la  pluie redouble.

Dans mon avancée, je fais fuir une nichée de canetons... Désolé les gens !

Là au moins, je suis sûr de ne déranger personne et en fait,  je suis attiré par les couleurs de cet arbrisseau, vraisemblablement un noisetier.

Tout comme je le suis par ce vieux toit :Je l'ai vu, 

Moussu,
Moulu,
Vermoulu, 
Et bien que sur lui, il ait plu,
Il m'a plu.

Et  pour finir cette série pour le moins humide,  j'ai retrouvé le grèbe.

Demain  c'est sûr ...  je vous amène  le soleil...  ou autre chose.

Après quelques jours d'absence, retour sur le blog. Je vais terminer ma balade aux coquelicots qui s'est transformée en recherche d'iris...

Au bord de l'étang, quelques arbustes en fleurs m'autorisent une photo

Et les eaux encore calmes  m'offrent quelques reflets sympas.

J'ai encore le temps de m'intéresser à l'anatomie des iris d'eau.

Et pour me mettre dans l'ambiance du temps à venir, une désaturation sélective...

J'ai repris ma voiture pour rentrer, et c'est à ce moment que l'orage me rattrape. Je décide de  m’arrêter près de mon étang fétiche... Heureusement  je suis dans la voiture,  vitre ouverte pour photographier le déluge. Attention,  photo non retouchée,  non ce n'est pas du N&B, ni une désaturation !

Les trombes d'eau s'abattent tout autour....

Changement de cadre pour apprécier le spectacle alors qu'une légère brume s'élève déjà...

L'eau ruisselle et teinte les eaux proches des rives...

Et  je suis rentré...

 A demain  pour d'autres aventures...

Poursuite de ma  promenade au pays des coquelicots... Ceux-ci ne sont pas légion !  

Désolé pour la route, Pastelle et Chantal... elle fait partie du paysage et sa couleur s'harmonise finalement avec celle du ciel...

Au loin,  on voit arriver les trombes d'eau. J'ai même pensé à un moment, à une mini tornade...

Le paysage devient dantesque. L'avion de chasse saisi inopportunément, en devient anachronique... 

Il est tant de rentrer  à la maison. Sur le retour, je m'arrête pour photographier mes  premiers iris d'eau.

Par chance, toujours pas de pluie, il faut en profiter.

Des reflets furtifs, c'est toujours bon à prendre...

Je  m'arrête là pour aujourd'hui.

 Je serai absent deux jours. Retour lundi soir pour la suite et fin de cette promenade. Alors bon week-end.

Retour sur cette heure passée à l'extérieur. Heure pendant laquelle je suis parti à la chasse aux coquelicots mais pas seulement.

 En quittant la maison,  je découvre dans une jachère, mes premiers coquelicots.

Le soleil est encore présent mais des gouttes d'eau attestent du passage  d'une ondée  il  y a peu...

Pas assez de fleurs encore,  je change de coin. Chose étonnante,  les marguerites sont d'un côté de la route  les coquelicots de l'autre, alors qu'au loin  l'ondée s'avance.

Si à gauche, le temps est à l'orage, à droite le ciel est encore partiellement bleu...

Quelques gros plans s'imposent. Mais cela devient difficile, avec le vent qui se  lève.

J'ai quand même le temps d'entrer au coeur de la fleur

Désolé Pastelle, mais il est difficile dans ce sens, d'ignorer la route. Les herbes sont trop hautes et me cachent le bouquet de coquelicots...

Les  nuages sont bas et la pluie s'avance,  mais  elle est loin devant moi finalement... et le vent ne la pousse pas dans ma direction !

 Les grandes herbes à fleurs blanches (désolé pour mon inculture en la matière) se dressent encore vers le ciel qui se charge... 

Quant aux marguerites, elles  ont fière allure...

 Demain,  poursuite de la promenade. A bientôt. 

Eclaircie vers 15h00. Chic,  on va aller faire des  photos. J'ai repéré les premiers coquelicots, il faut en profiter

Mais le temps n'est déjà plus au beau fixe,  une bonne ondée s'approche.

Preuve quand même que je suis allé faire des photos de coquelicots sur fond bien gris mais c'est beau.

Le ciel est de plus en plus menaçant. Il ne pleut pas sur moi mais au loin, oui, sans perturber un avion de chasse...

Les  nuages sont bas, les céréales se plient sous le vent...

J'ai quand même le temps d'immortaliser ces marguerites.

Retour vers la maison. La pluie me surprend vers mon étang favori. Un dernier arrêt pour fixer les trombes d'eau sur la carte  mémoire.

Tout cela en 45 minutes d'écart. Dans les jours à venir,  je vous  proposerai ma pêche aux coquelicots et autres, pendant ce laps de temps...

 Je vais vous faire une confidence,  j'aime ce temps. En  plus  il  me permet d'allier N&B et couleurs, par les seuls caprices de la nature...