-
La Belgique est le royaume de la bande dessinée. Alors quoi de p lus normal que de découvrir par ci par là, quelques murs décorés :
Mais quant on est la patrie de Magritte rien d’étonnant à voir du surréalisme ...
1 commentaire -
Opposition de style entre ce mur moderne aux reflets divers et variés :
et cette vieille porte située à côté et qui ne reflète plus que son passé meurtri :
votre commentaire -
A liège, il faut parfois lever la tête pour découvrir une oeuvre d'art, comme ici, tout en hauteur :
et quand ce n'est pas de l'art, c'est la nature qui entreprend de gagner les hauteurs, telle cette glycine :
1 commentaire -
Un éclairage moderne dans la montée du Palais, mais pour autant, les araignées ont décidé de partir à la conquête de la lumière...
Et les araignées sont dans leur élément. Elles peuvent jouer les "spiderman" sur les vieux murs de la ville.
1 commentaire -
Dans la cour du palais épiscopal, des collnes et aupied de chaque colonne avec des bas reliefs. Il aurait été impossible de tous les montrer.
Alors juste un exemple avec cette femme à la jarre : Verseau ou autre tentatrice?
Et ici un petit diable, une bille de clown?
1 commentaire -
Le Palais des Princes -Evêques de Liège ou Palais épiscopal de Liège, se situe sur la place St Lambert, dans le centre de Liège. Le Palais est devenu le Palais de Justice
Mais c'est aussi le palais de justice : effet de robe sur les marches :
votre commentaire -
Avant de voir quelques photos de Liège, voici mon reportage sur la gare de Liège-Guillemins. Passionné de trains et de photos, j'ai eu l'occasion d'assouvir mes deux passions. Si je réserve mes photos de train aux forums ferroviaires, je vous offre ces quelques vues avant gardistes de la gare de Liège.
L'architecture résolument moderne de la gare, œuvre de l'architecte espagnol Santiago Calatrava Valls, inaugurée le 18 septembre 2009 après une dizaine d'années de travaux, offre au photographe une palette de ressources infinies. Encore faut-il aimer le graphisme et la composition photographique.
L'architecte a su jouer avec les courbes et les droites sans que ni les unes, ni les autres ne heurtent notre regard.
L'ensemble reste aéré et on ne peut ignorer que l'on est dans un monde ferroviaire.
L'architecture moderne a su s'adapter aux nouvelles techniques de construction permettant toutes les audaces.
Une photo qui pourrait paraître naturelle, pourtant elle est désaturée pour ne laisser que le rouge apparent.
Sous les quais, la zone de déambulation avec un pigeon... voyageur. Normal non?
L'appel de la lumière. Mais on ne souffre pas de claustrophobie, tant il y a de puis de lumière.
Petit jeu à l'extérieur avec un léger flou sur le haut de la charpente révélant la luminosité de l'ensemble.
On peut rejoindre les quais au-dessus, par un monumental escalier, recouvert d'un dôme superbe.
Et voici ce que l'on appelle la casquette. Une gare qui se voit de loin. Petit rappel, nous sommes en Belgique avec pour preuve la fusée de Tintin ...
C'est sur ce reportage que je vous abandonne pour quelques jours de vacances.
Mais je vous ai préparé quelques photos tous les jours, histoire de passer le temps jusque vers le 15 août.
A bientôt.
5 commentaires -
Monschau ou Montjoie. Selon que vous êtes allemand ou wallon, vous utilisez le vocable qui convient. Personnellement, mes racines lorraines me poussent à dire Monschau. Village typique et touristique, Monschau, de fait est situé en Allemagne, à l'est des Fagnes de Belgique
Village à connotation d'artisanat d'art, j'ai choisi de vous en montrer quelques bouts à ma manière, n'ayant que peu de goût pour la photo touristique...
Ainsi cette passerelle m'a paru asphyxiée par la végétation, alors hop, plus de vert.
Autre pont, mais même rivière. Alors traitement identique pour ne garder que l'essentiel : le pont et les squelettes de poissons...
Gargouille d'un autre temps, alors photo traitée comme avant...
L'état civil de Monschau : Sur les feuilles bleues s'inscrivent les mariages depuis plusieurs années.
La roue tourne, comme le temps passe...
Ferronnerie d'art et vieilles pierres s'unissent avec bonheur.
Non je n'ai pas trafiqué cette photo. La maison est réellement comme cela !
Combat entre le minéral et le végétal, entre la fonte et l'herbe.
Alors oui, ici j'ai trafiqué en saturant la photo. Mais la tentation était forte au vu de toutes ces couleurs.
Comme aux Pays-Bas, en Allemagne le vélo reste une valeur sûre, même comme pot de fleur...
Enfin au retour chez mes amis belges, passage à Stavelot, en Belgique, où se déroule une exposition des oeuvres de Henri Cartier-Bresson. Je ne pouvais pas faire autrement que de lui rendre moi aussi hommage, en N&B...
Demain d'autres vues belges avant mon départ en vacances le 1er août...
6 commentaires -
Poursuite de la promenade en Hautes Fagnes. Certains troncs d'arbres n'ont pas supporté l'incendie. Même dans la mort, ils restent cruellement beaux...
La nature a pourtant repris ses droits et des centaines de fleurs continuent d'exister pour notre plaisir mais aussi pour l'équilibre de la biodiversité.
C'est le royaume de la macro, pour ceux qui aiment.
Désaturation : vieux tronc et digitaline...
A contre emploi... vie et mort !
Stigmates de l'incendie...
Et pour finir une image de vie, de l'avenir. Dommage monsieur était trop occupé pour me regarder.
Les Hautes Fagnes : un territoire à découvrir mais aussi à protéger. Merci à Nicole et Paul pour cette découverte.
6 commentaires -
Les Hautes Fagnes forment une région qui s'étend, en Belgique dans la Région wallonne et, en Allemagne, dans la Rhénanie-Palatinat et la Rhénanie-du-Nord-Westphalie. En néerlandais, Hoge Venen, en allemand, Hohes Venn. (Cf Wikipédia)
J'ai eu l'occasion de trainer mes pas dans ce parc naturel qui a été la proie des flammes en mai 2011.
Vaste étendue herbeuse... mais où le pied s'enfonce ,c'est de la tourbe.
La digitaline et bien d'autres plantes colonisent les lieux qui sont protégés.
Ds bornes de pierre ou des croix comme ici la "Croix du Prieur ", érigée en 1605, marquaient la frontière entre la Principauté de Liège et l'abbaye de Stavelot-Malmedy.
Les épicéas, plantés par les Prussiens vers 1840, disparaissent peu à peu., laissant la nature (la tourbière) reprendre ses droits . 4.500 ha ont a été classés en réserve naturelle (dès 1957).
Dans un paysage encore fortement marqué par l'incendie de 2011, des caillebotis (ici remis à neuf, car ayant brûlés) permettent de se promener sur le territoire en toute sécurité. Au fond, le massif de l'Eifel en Allemagne)
Les flammes ont brûlé les feuillages. Mais le coeur de l'arbre n'est pas toujours mort autorisant à terme une renaissance.
Les verts sont multiples... et la jeune fougère se distingue par ses couleurs tendres.
Fin de cette première partie, la suite demain si vous le voulez bien.
5 commentaires