Petit post dans le sens du cartophile ... bien que ce ne soit pas mon truc. Mais pour une fois j'ai cédé à l'ambiance.

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L'ambiance... oui c'était ça le truc. Et on comprend mieux en voyant le paysage par un soir d'automne, pourquoi les tableaux de l'enfant du pays, Monsieur Gustave Courbet, étaient si tristes. Et on a appelé cela "réalisme".

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Alors du coup, je me suis mis aussi au "réalisme"...

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Mais  je  ne suis pas allé  jusqu'à reproduire "l'origine du  monde", au "réalisme" torride, c'est un pas que  je n'ai pas osé franchir. Il n'y a que la Loue que  j'ai  franchie, en empruntant la  passerelle.

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Et  puis  j'ai découvert le "réalisme" de la nature avec les berges à l'ombre et les sommets illuminés des derniers rayons du soleil.

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Et c'est sans compter sur le "réalisme" des  hommes, bien  inspirés à engranger du bois, au plus près du foyer...

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Et puis les hommes ont poussé le "réalisme"  à comparer  Ornans  à Venise, l'affublant du qualificatif de "Petite Venise comtoise"...

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Alors  poussons le goût du "réalisme" en zoomant pour découvrir quelques détails de l'architecture  particulière des bâtiments,  les pieds dans l'eau.

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Et puis même la  photo, ici passablement ratée, apporte du "réalisme" dans la  vision du quotidien avec le linge qui sèche!

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Voilà,  si d’aventure vous passez par là,  mais évitez le jour de "l'enterrement  à Ornans"... allez  musarder dans les petites rues, et puis faites un tour au musée Courbet,  histoire de  faire le plein de "réalisme"...

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Dernière partie de mon voyage dans les airs,  dernières photos. C'est aussi la fin d'une belle aventure que je ne pensais pas vivre, quatre jours auparavant. Je garderai de ce  voyage, un merveilleux souvenir avec la sensation de flotter dans un espace intemporel, où le silence vous gagne, où les  yeux s'écarquillent à chercher la "petite bête", où enfin on se sent tout petit et en même temps supérieur... Même  pas  la sensation de  vide. C'est vraiment extraordinaire.

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Alt : 301m

Devant nous, plus de vignoble. Nous sommes trahis par le vent. Au  loin, de droite à gauche, Messia,  Courlans, Courlaoux et au fond,  l'Etoile et Arlay.

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Alt : 276,30m

Sous  la nacelle,  la Vallière serpente, tranquille au soleil levant. Et droit devant,  le terrain d'aviation.

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Alt : 240,6m

Ici ou là, subsistent quelques bancs de brume, à moins qu'il ne s'agisse de  fumée.

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Alt : 319,2m

Tout  là-bas,  les ruines du château d'Arlay, mais à vol d'oiseau, il y a encore une dizaine de km ! Et puis surtout à son pied, tout un extraordinaire vignoble. Hélas, nous n'irons pas  jusque là-bas...

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Alt : 347,9m

Comme on peut le constater, le château est vraiment très loin... mais l'aire de poser par contre est tout en bas à gauche

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Alt : 322,1m

Une dernière photo en vol. Par  mesure de sécurité, ensuite, plus d'appareil photo, pas de bras hors de la nacelle et on attend tranquillement le poser...

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Alt : le  plancher des vaches...

Atterrissage en douceur à  proximité de la  piste d'envol. Il n'y a  plus qu'à attendre le véhicule suiveur pour nous aider à maintenir le ballon au sol, en descendre et replier  l'ensemble.

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A présent,  il  faut expulser l'air de l'enveloppe pour pouvoir ranger...

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Dernière  photo de notre vaisseau des airs... en effet, il faut prêter main forte au pilote pour le pliage, le démontage et le rangement...

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Durée du vol : 57 minutes. Distance  parcourue,  + ou - 12 km. Carte éditée grâce à Lightroom 5 et au GPS de  mon APN Sony Alpha 99

Comme on peut le voir, le vent nous a poussé au delà de la route 1083, qui marque la limite ouest du vignoble dans ce secteur...

J'ai néanmoins pu réaliser quelques photos de celui-ci pour le journal. Et j'ai pu publier quatre photos pour mettre à l'appui de mon reportage.

 Reste le voyage. Certes loin de cinq semaines en ballon. Mais c'était déjà cela.

 Merci aux initiateurs de ce vol : le CIVJ = Comité Interprofessionnel des Vins du Jura et à mes collègues de la Voix du Jura pour m'avoir permis de faire ce reportage. Et  merci également à mon exceptionnel pilote.

Suite  du voyage en ballon...

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Alt : 492m

On monte peu à peu. Le soleil nous apparaît occasionnant des ombres au sol.

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Alt : 500m

Je  peux encore faire des photos du vignoble, ce pourquoi je suis à bord.

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Alt : 408m

Le  vent  à  30 km/h a tourné au nord ouest. Du coup, nous survolons non plus les vignes mais  les champs de maïs...

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Alt  : 108m

 Notre pilote cherche des courants  porteurs. Il monte et descend ce qui explique les différences d'altitude.

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Alt  : 686,30m

Devant, voici Cesancey. Les serres sont tout en bas à droite. 

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Alt : 449,2m

Je suis au dessus de Trenal, mais ces vignes aux formes caractéristiques sont situées du côté de Gevingey.  Ici, on se rend compte compte de  l'utilité du 70 x 300

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Alt : 450 m

Voici Gevingey, mais hélas trop loin des coteaux.

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Alt : 378,9m

Toujours  Gevingey et Trenal est sous la  nacelle... Une très légère brume, additionnée de fumée, perturbe un peu les prises de vues. 

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L'effet de la  brume se  fait bien sentir. Quelques  vallonnements pour des vignes mais je vais rester sur ma faim au niveau des photos du vignoble.

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Alt  364,50

 Devant moi au loin, nouvel espoir de vignoble avec l'Etoile. Mais nous sommes au-dessus de Frébuans, soit à encore 9 km... Merci au zoom

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 Alt  : 353,50m

Encore plus loin, le château d'Arlay. A fond de zoom, avec du mouvement dans la nacelle. La photo s'en ressent.

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Voilà  pour aujourd'hui. A plus tard pour la fin de cette aventure.

Bonjour.

Beaucoup d'entre vous semblent intéressés par ce voyage en montgolfière. Alors  je vous invite à bord mais serrez-vous car nous sommes déjà cinq dans la nacelle dont le pilote. Allez, c'est parti...

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Alt  : 239,30 m  - Alt au sol  :  225,6m

Nous avons décollé de l'aire  viti-culturelle de la Caborde, du nom des cabanes de pierres près des vignes. Une réalisation toute récente,  près d'Orbagna.

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Alt  241m

Quelques vignes près de la Caborde. Je ne perds pas de vue que je suis là pour un reportage sur le vignoble.

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Alt : 244m

Coup de chance : je combine mes deux  passions : les trains et la photo. Un  objectif  inespéré.

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Alt  : 254m

 L'ascension se fait en douceur. Peu à peu les bruits du sol s'amenuisent... Seuls, par instant, les brûleurs viennent troubler bruyamment le silence, au point qu'on ne peut plus s'entendre.

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Alt  270m

Comme tout devient petit, un peu à l'échelle des maquettes de  mon réseau de train électrique...

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Alt  : 277,8m

Les villages semblent paisibles, s'éveillant doucement  aux rayons du soleil montant derrière le premier plateau.

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Alt  : 430m

De  l'autre côté, la plaine de Bresse s'étend à perte de vue. La tache noire au centre, n'est pas une poussière sur mon capteur, mais l'ombre de notre ballon.

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Alt : 442,70m

Tout en bas,  vers  la gauche,  notre aire de décollage. En dessous de  nous,  la D1083 et  la  ligne de chemin de fer  Lons - Bourg. Devant, c'est Orbagna,  puis Beaufort

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Alt  : 486,6 m

Les  parcelles de vigne paraissent bien petites

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Alt : 491,10m

Toujours plus haut. Le relief devient plus haché...

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Mais ce sera tout pour aujourd'hui. A bientôt pour la suite.

Il y a quelques jours, j'ai, pour les besoins du journal pour lequel je travaille, effectué un voyage en montgolfière. Objectif, survoler le vignoble jurassien, pour en réaliser quelques  photos.

Je vous propose en deux ou trois épisodes, de suivre cette expérience, la première du genre pour moi.

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Rendez-vous à 8h00 du matin à l'aire viti-culturelle d'Orbagna au sud de Lons le Saunier pour découvrir qu'une montgolfière au départ, c'est ça....

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Mise en place du moteur, pardon des brûleurs, car le vent reste le propulseur avec tous les aléas possibles...hélas

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La lune là-haut, semble nous narguer sachant que ce n'est pas encore  aujourd’hui que nous irons la décrocher...  

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Il s'agit à présent d'accrocher l'enveloppe à la nacelle.

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Et elle est  longue cette enveloppe. Il a fallu la sortir du sac,  l'étirer,  l'étaler ce n'est pas aussi simple que cela.

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La  préparation du matériel reste avant tout un travail d'équipe et tous ceux qui  participent au vol, se doivent de donner un coup de main et il y a de quoi faire

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Gonflement de  l'enveloppe. Avec un grand  ventilateur,  l'air chaud  fourni par les tuyères est poussé à  'intérieur. 

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Peu à peu notre vaisseau  prend  forme.

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L'air chaud  permet à présent à l'enveloppe de s'élever.

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Qu'il est majestueux notre ballon...

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Dernier coup de gaz avant de partir. C'est l'heure de monter à bord pour  participer au voyage. Il aura fallu 30 minutes pour préparer le matériel. Allez  hop,  je  grimpe  à bord et je  m'envole....

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Mais ça, ce sera pour demain ... A bientôt.

Avant-propos : 

Lors de la Triennale d'Art du Jura,  j'ai eu l'occasion de me rendre dans la salle d'exposition de Jean Bernard Butin, à Baudin. Les toiles aux blancs différents, mais peut-on encore  parler de blancs... s'exposent sur des murs blanchis à la chaux. Ce  jour là, à l'occasion du vernissage, les invités se sont réunis dans cette salle, arrêtant leurs ombres sur les murs et les toiles. Ce sont ces moments que j'ai choisi d'immortaliser.

 Je n'ai pas retouché les photos, faites à main levée. Les cadrages sont d'origine et  j'ai  laissé  quelques éléments extérieurs, qui  permettent de  mieux  situer  les clichés. Enfin,  je  n'ai pas voulu  travailler en N&B,  même si la tentation était grande. Après quelques essais, je me suis aperçu que  les photos  perdaient  une certaine humanité,  pour ne pas dire de la chaleur.  

Je vous livre donc ci-après les résultats, sans commentaires de ma part, vous laissant la libre interprétation des  photos... 

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A bientôt... 

Poursuivons notre promenade sur le sable des plages de Bretagne. On respire l'iode,  on prend des embruns dans  la figure,  on  mange du sable aussi parfois mais on vit de l'air du  large...

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Oiseaux et humains côte  à côte pour la même chose : se  nourrir. Mais si pour les uns, cela reste un plaisir, pour les autres c'est une nécessité.

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Plage réservée...

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Il y a eu l'écume des jours, mais a-t-on écrit sur l'écume de mer?

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Y aurait-il des crocodiles en Bretagne, Vu de loin, c'est ce que j'ai pensé!

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La vision de la Bretagne que je préfère...

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Sable et varech, plus quelques bateaux à marée basse,  une autre image traditionnelle de la Bretagne.

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Ce n'est peut être pas le paradis, mais qu'est ce que cela y ressemble... enfin je  pense!

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Une telle image méritait bien un petit traitement particulier... alors  je ne me suis pas gêné.

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Sous les  pavés, la plage, y disaient en  68... J'ai "fait" mai 68. Mais alors, on m'aurait menti à "l'insu de mon plein gré"?  parce que la plage, c'est ici qu'elle était...

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J'ai écrit un peu plus haut "image traditionnelle de la Bretagne". Le problème, c'est que tout là-bas est image traditionnelle, alors je vais continuer à vous les offrir dans les  jours  à venir...

Aujourd’hui,  je vous vous propose ma propre vision d'une exposition d'art contemporain, encore une, organisée par l'Association Artpol dans la salle de la Congrégation à Poligny (Jura). En fait je me suis servi de l'expo pour ma propre recherche. Alors vous ne verrez pas les  œuvres des artistes... Je  me doute  bien que ces  photos ne plairont pas à tout le  monde, car elles sont différentes de mon cheminement habituel. Mais mon blog ne s'appelle-t-il pas APN en délire?

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Cette exposition est conçue autour des palettes. D’ailleurs le titre est à lui seul, tout un programme : "Artpol fête ses 10 ans  et présente sa palette..."

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Les palettes créent un cheminement, voire des claustras ou cloisons.

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Jouer avec ces éléments s'est révélé à mon esprit avec en tête, l'idée de suggérer la présence des oeuvres.

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.Les toiles restent dans le flou et le regard s'accroche d'abord au premier plan.

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De plus, le bois est une matière noble sur laquelle on peut lire sa vie...

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Certaines palettes ont été peintes et de ce fait, ont intégré l'exposition en tant qu'oeuvre.

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Un  petit aperçu quand même de ce  que nous présente les artistes d'Artpol

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On pourra me taxer de détourner les œuvres, comme  ici cette photo ou la  précédente. Mais au final, je compose avec, est-ce un mal?

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Une petite idée de l'exposition où les palettes composent entre autre, un déambulatoire.

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L’accès à l'exposition est gratuit

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Et comme nous sommes dans l'ancienne chapelle de la Congrégation, un regard sur ce qui reste au fond  du bâtiment originel,  devenu à présent salle culturelle. Ou quand  le baroque rejoint  le contemporain

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Merci  aux  membres d'Artpol,  présents sur  place  pour  l'autorisation de  prendre des  photos. Quant à ceux qui sont dans la région,  je les invite à aller y faire un tour. C'est dans  la rue principale de Poligny,  une  banderole  exposition barre la rue  et c'est ouvert de  14h à  18h tous les  jours  jusqu'au 19 octobre.

Dernière précision, toutes les photos, sauf  les deux dernières,  ont été réalisées avec mon objectif fixe SONY 50 (f/1,4)

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A demain,  peut  être... 

C'est aujourd'hui que se termine  le voyage  à Annecy avec cette  promenade en bateau...

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Il semblerait  que ce  château vous ait bien plus, alors on va encore en profiter un peu. D'abord avec un coup de zoom,

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Puis avec une vision panoramique, digne d'un calendrier des postes et pourtant ce n'est pas  mon style...  Et il est vrai que la ville d'Annecy est souvent présente sur ceux-ci...

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Le  bateau va remonter vers Annecy en longeant la côte ouest. Celle-ci est moins riche que son opposée à cause de l'ensoleillement qui y est plus réduit.

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Autre activité dans  une zone  plus  calme,  la  pêche...

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Moins de choses  à voir, alors on  s'essaye à des photos un peu différentes

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Et ici on joue avec les reflets et les rayons de soleil à travers les nuages.

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Ce  n'est  plus cap au  large,  mais   "Terre, Terre..."

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Un  peu de sport  avant de rentrer au  port, en tirant des  bords...  

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 Le château d'Annecy veille sur nous et nous donne le cap à suivre.

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 Cette fois-ci, c'est la vraiment la fin.

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 Merci de m'avoir accompagné pendant ce trop court séjour à Annecy. Et merci à tous pour tous vos commentaire.

 A bientôt

Ce reportage vient à la suite de celui qui se trouve  ici  :  oeuvres  in situ .  Lors de  mon  passage, il manquait une oeuvre qui n'est arrivée que ce samedi à la veille du vernissage de l'exposition. Oeuvre de Romain Cattenoz,  il s'agit de la Miroiterie Mobile

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"Peugeot  205,  mise  à  nue de sa  mécanique et de sa  peinture,  l'acier de sa carrosserie a été entièrement  poli  jusqu'à obtenir la qualité d'un miroir. Objet  industriel connu,  et  reflétant son environnement, elle se confond dans l'espace. Posée dans la cour au milieu d'arbres majestueux et face  une chapelle invitant à un voyage spirituel. Elle pourrait être aussi vue comme  une  invitation au voyage"  ( à voir  jusqu'au  12 oct  2014) - Texte de  l'artiste

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Belle  homogénéité entre le toit de la voiture et le toit du ciel.

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Je vous laisse imaginer le travail qu'il a fallu produire pour obtenir ce résultat.

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 Le  jeu des reflets tant dans les vitres que dans la carrosserie offre de belles perspectives

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Et en ce samedi, un petit exercice de recherche graphique ... pour me faire plaisir !

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Mais dimanche,  catastrophe...

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 La  pluie s'est  invitée  pendant la nuit. Elle a rendu vain le travail  de l'artiste.

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La rouille  a repris ses droits et s'est réimplantée  sur la carrosserie mise à  nu.

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Et ces gouttes d'eau résument peut être la tristesse  du créateur de cette oeuvre, laquelle par le pouvoir des éléments naturels a donné au final, naissance à une nouvelle   composition.... 

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J'ai tenu par le nombre de photos, par rapport à celles proposées dans l 'autre reportage ( deux  par artiste) à rendre hommage au travail  de Romain Cattenoz.