13 août 2020 : Où l'on retrouve le phare de Brignogan et des "cailloux" :

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Le  phare de Brignogan s'appelle en fait le phare de Pontsuval et ce depuis le 15 septembre 1869, date  de son premier éclairage. Construit pour alerter de la dangerosité des récifs qui bordent la Côte des Légendes, il fait le relais entre le phare de l’Île Vierge et celui de l’Île de Batz.  150 ans de bons et loyaux services.

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La côte des Légendes peuplée de monstres marins. Mais attention, les légendes sont terrestres et nos rochers ne font vivre que l'imagination de ceux qui les   regardent,  sans qu'ils voient d'ailleurs la même chose !

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Au loin, la vigie de la Marine Nationale, veille. Il ne faudrait pas qu'un navire vienne trop près des côtes, d'où l'existence au large, du rail d'Ouessant.

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Une vue de l'autre côté du phare de Pontsuval, au caractère breton affirmé.

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Toujours ces gros cailloux,  présents depuis la nuit des temps, balayés par les vents, polis par les marées mais insensibles aux grosses tempêtes.

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Ces rochers offrent une multitude de teintes, suivant que la mer les agresse ou pas. Tandis que l'eau limpide de la mer d'Iroise s'évertue à vouloir gagner la  terre ferme.

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La mer au calme plat, sous un ciel qui est loin d'être uniforme. Et tant mieux pour le photographe. Enfin, moi j'aime.

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Telle une marée d'argent coulant du four, la vague inlassablement assaille le rivage.

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La petite plage du lieu accueille quelques baigneurs. On est loin des plages de Méditerranée ou de l'Atlantique.

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Voilà pour aujourd'hui quelques derniers osselets d'un dinosaure antédiluvien, tandis que près du rivage à droite, un hippopotame fait sa sieste...

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Voilà, je vous laisse imaginer votre monde. À bientôt.

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