Deuxième série sur les vendanges dans le Jura.

 Moins expressive que la première, elle est juste naturelle. Mais pour moi, elle a autant de valeur.

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 Ce  jour-là,  j'ai été servi par un ciel  tourmenté. Et à dire vrai,  j'adore...

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Déjà, des premières feuilles qui virent aux couleurs d'automne...

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Une doux mouvement de terrain , tout en douce rondeur, qu'on y passerait la main... (Clin d'oeil à mon ami Serge Etievant)

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Pendant ce temps, les vendangeurs ont changé de parcelle. Il reste quelques rangées  à récolter.

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En contrebas, dans la remorque, les bacs attendent leur dû, sur fond de Bresse toute proche.

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Un  pommier dans les vignes ou plus allégoriquement, le jardin d'Eden dans les vignes du Seigneur... 

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De vieux sarments ici aussi, ont résisté au temps ou  : Ô sarment, suspends ton vol... (pardon Lamartine)

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La nature nous joue de ses tours... Pourtant dans quelques temps, ce cep sera copié... 

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Entre les pieds de vigne, des pommes... Mauvais présage !

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Je vous l'avais dit.  A présent des colchiques. Oui, c'est la fin de l'été ... déjà.

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Encore un grand merci à mon amie Lise à qui je dédicace ces deux reportages.

Répondant à l'invitation d'une amie à venir faire quelques photos des vendanges dans la parcelle familiale, voici un premier reportage.

Ce sont plutôt des photos de la vigne, car je me suis engagé à ne pas diffuser les portraits des vendangeurs (ses) au travail.

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Direction Ruffey sur Seille, avec en fond, le château féodal d'Arlay et tout au fond, le premier plateau du Jura.

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Entre feuilles encore vertes et  d'autres grillées, les grappes sont là pour celles épargnées par les intempéries.  

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Après le blanc, le rouge, même si ici,  il paraît plutôt noir.

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Mais au final, tout est mélangé. Au moins ici, en fonction du choix du viticulteur.

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Tout doucement, on remplit les bacs.

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Dans le lointain, la silhouette entière fière du château d'Arlay... 

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Il n'y paraît pas, mais il fait chaud. Alors on tombe la veste...

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Jusqu'aux derniers grains. Il ne faut pas gâcher. Déjà que la récolte sera moindre à cause du gel dans certains endroits.

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L'outil indispensable du vigneron : le sécateur. Ceux-ci sont d'un âge vénérable mais toujours d'actualité.

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Peu à peu, le ciel se couvre ajoutant au charme de la récolte. Mais il ne pleuvra  pas.

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 Vestige végétal du passé ...

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 Du  moment que ça tient... 

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A suivre,  très  bientôt.

On poursuit la promenade dans le Haut Jura avec un site que tous les anciens ont découvert dans leur livre de géographie...

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Je veux  parler  du célèbre chapeau de  gendarme sous Septmoncel.

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Alternance de strates (couches) calcaires (rigides) et de marnes argileuses (plus souples). L'ensemble a subi de fortes poussées latérales, provoquant un chevauchement du socle gréseux, d'où ce plissement  anticlinal.  

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Et là comme par magie, coule une source qui tombe en cascade, mais bien peu fournie pour l'époque.

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En se rapprochant, on voit mieux l'eau tomber plus bas.

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Sur le domaine du parc naturel  du Haut- Jura à Lajoux.

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 Quel paysage... Toute la magie estivale du Haut-Jura à  1169 m d'altitude..

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A bientôt pour une suite un peu plus humide...

Le Jura est multiple. Son identité est parfois difficile à déterminer tant elle  offre de variétés.

 Comme ici entre le premier plateau et le Haut Jura.

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Du côté des Piards, des vastes prairies semblent alanguies. Mais elles offrent de larges réserves de foin...

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La  gentiane a paraît-il, la vertu d'annoncer la rigueur de  l'hiver. Sa hauteur déterminerait la future hauteur du manteau neigeux...

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Du côté des Près de Valfin, de larges espaces où il fait bon respirer l'air pur.

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Et s'il n'y avait pas de montbéliardes, le Jura serait-il le même?

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Vallonnements  fleuris, un réel sentiment de liberté.

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Nous sommes début juin. La chaleur n'a pas encore commencé ses ravages et les prairies fleurissent à tous crins..

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Le Haut Jura, c'est là-bas... Mais  ici, c'est Valfin les Saint Claude.

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 A bientôt pour la suite du voyage.

Depuis le belvédère, on s'amuse comme on peut avec les lignes, les courbes, les droites, les petites maisons dans la prairie ( ... )

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Une flaque d'eau, un rayon de soleil  =  un éclat dans l'oeil...

Le carré  jaune

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 Tout n'est pas que carré à Château-Chalon.

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La petite maison dans la ... oups,  les vignes !

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Comme une cabane au fond du jardin.

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A bientôt.

Il y a peu je suis retourné à Château-Chalon, me disant, j'ai déjà tellement de photos ...

Mais j'avais mon appareil avec moi et j'ai replongé...

Seulement, je n'ai pas voulu faire la photo de tout le monde, celle que je vois toujours ou presque.

Du coup,  j'ai mis un coup de patte pour les modifier un peu ....

Désolé  pour  les  purs et durs de la photo souvenir !

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 Je  n'ai pas commenté ces photos, pour laisser votre imagination colorier ces images comme vous le souhaitez.

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 A bientôt.

Quelques  photos encore du Petit Maclu, au terme  d'un après-midi superbe.

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Tout  le charme du Jura dans une photo. Mais non, car toutes les photos du Jura chantent la même chanson..

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Une risée sur une eau presque plate !

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Et un éclat de soleil sur une onde un peu plus mouvementée.

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Transparence de l'eau à peine troublée par des vaguelettes.

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Quand le bouquet apparaît dans sa splendeur !

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Juste avant de partir, un habitant des lieux a daigné apparaître.

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Pour disparaître et réapparaître bien loin de son lieu de  plongeon.

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Oui une belle après-midi, loin du brouhaha des villes et de l'agitation

A bientôt.

Quel jurassien ne connaît pas les 4 lacs? Ilay, Narlay, Petit et Grand Maclu composent des paysages exceptionnels.

Je ne pourrai hélas les illustrer tous. Mais en voici néanmoins un petit  échantillon, à l'exclusion du grand Maclu que je n'ai pas eu le temps d'immortaliser.

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Une barque abandonnée, vu l'eau dont elle est remplie, s'accorde par ses couleurs avec la nature environnante. - Lac d'Ilay

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Autre vue plus dégagée sur le lac d'Ilay.

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Depuis la route qui serpente entre les lacs,  un regard sur celui de Narlay.

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Et puis le petit Maclu dont les eaux jouent avec le ciel

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Une trouée salutaire pour permettre au regard de se projeter au bout du lac.

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Jeu d'eau et de ciel ...

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Une petite dernière pour aujourd'hui avec ce reflet du ciel sans les eaux du Petit Maclu.

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A bientôt

Dans quelques semaines, le site historique des Forges de Baudin va effectuer sa mutation.

Il va s'enrichir, tout en conservant son âme historique et patrimoniale, du Musée d'Art Urbain - Street Art  (MAUSA) 

 Situé en  pleine  nature, celle-ci restera bien présente, à l'image de ce qu'elle est aujourd'hui

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Nature à l'état pur au pied de Toulouse le Château, avec la pâture qui accueille des chevaux.

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 C'est toujours un spectacle à voir, surtout quand  il s'agit de jeunes chevaux.

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Cet article est intitulé : les lilas de Baudin, la preuve en images.

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 Contraste étonnant entre l'arbre mort et le lilas toujours  vivace.

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Pas évident avec le 70 x 300, sans trépied, depuis  l'autre côté de la rivière d’immortaliser les petites  fleurs.

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Un bouquet provisoire qui ne va pas tarder à mourir. Mais l'an prochain, il reviendra...

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 A bientôt

Retrouvons la Cuisance qui traverse Arbois. Elle donne à cette ville un caractère paysager très intéressant. Et finalement, Arbois n'est pas que vin ...

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Tout près de la rivière, se dresse la tour Gloriette, édifiée dans un rôle défensif.

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 Et ici coule la Cuisance. Un excellent endroit pour les shootings. N'est ce pas Camille?

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Végétal et animal, deux règnes qui se côtoient sans  problème.

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 De nouveau l'église Saint Just.

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Depuis un autre pont, on distingue au fond, le pont des Capucins où j'étais précédemment.

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Enfin, avant de quitter Arbois, un hommage à Pasteur où le savant possédait et maison et laboratoire. C'est à Arbois qu'i l a mené ses travaux sur les fermentations et c'est là qu'il a mis au  point la fameuse pasteurisation.

Bon, promis. J' y reviendrai