1er septembre 2018 : Je vous avais proposé il y a un certain temps, un reportage à Ornans ici et là. Nous allons reprendre la route au fil de cette magnifique rivière qu'est la Loue.

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Passage  à Cléron. Voici son imposant château-fort datant du  XIVe siècle, remanié et agrandi aux XVe et XVIIIe siècles. Demeure privée aujourd'hui.

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Un  changement d'appareil pour mieux apprécier cette maison forte bâtie en 1320 par Humbert de Cléron, vassal du Comte de Bourgogne, pour protéger le passage à gué sur la Loue.-=-=-=-

Le pont qui permettait à la ligne à voie métrique dite du Tacot, de relier Besançon à Pontarlier. Ouverte en 1910, elle fut fermée au début des années 50. 

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Un regard sur cette eau limpide où se reflète le pont du Tacot.

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Du coup,  j'ai remonté la Loue. Après Cléron, nous voici à Vuillafans. La rivière est un paradis pour les pêcheurs à la mouche. Malheureusement, la Loue est trop souvent polluée.

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 Ce vieux pont a du en voir passer des crues. Pourtant, il résiste.

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 L'architecture des fenêtres témoignent du passé de cette maison et de son ancienneté.

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Avant de quitter le village, une vue des maisons sur la Loue qui comme à Ornans, ont des avancées caractéristiques sur la rivière.

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À bientôt

14 octobre 2017. Comme le temps passe. Ce jour là, le soleil est bien présent et m'invite à la promenade dans mon jardin qu'est le Jura !

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Depuis la route de Ménétru le Vignoble, les vignes  de Château-Chalon virent lentement à l'or.

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C'est peut-être le plus moment après les vendanges qui sont déjà loin.

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Le rosier lentement perd de sa superbe. Planté en bordure de vigne, il atteste de la santé des sols.

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Par la RN 5, on remonte les gorges de la Lemme

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La végétation offre un panel de teintes automnales infinies.

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 Plus loin, le viaduc du Morillon, sur la ligne des Hirondelles (Dole - St Claude) est comme dans un écrin. Malheureusement pour moi, pas de train dans l'instant de la photo.

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Arrivée au but de mon voyage, à proximité du lac des Rousses où là aussi, la nature s'avance vers l'automne, plus encore que dans la vallée.

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Voici enfin le lac aux eaux si claires.  Au fond la Suisse, avec le Noirmont  (1568 m).   

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 À bientôt pour une suite de ce voyage

Ornans : 1er septembre 2018. Suite de ma promenade le nez en l'air ou au fil de l'eau.  

Précédent reportage sur le même sujet : ici

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  La ville garde encore quelques traces d'activités anciennes.

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L'église possède un double clocher sur un toit aux formes franc-comtoises.

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La même vue sous un angle un peu plus touristique.

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La Loue en ces temps coulait paisiblement. Mais elle sait se gonfler de colère.

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Il ne manquait que le soleil pour avoir un beau souvenir... 

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Ornans doit une partie de sa réputation, sinon à Gustave Courbet, du moins à ses maisons avancées sur l'eau.

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Et d'un côté comme de l'autre de la rivière, le paisible spectacle de toutes ces  fenêtres donnant sur l'eau...

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 A bientôt.

29  juillet 2018 : Toujours sur la route des Sapins. 

 reportage précédent :  ici

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Petite halte au détour d'un chemin, devant une ferme un peu loin de tout. Les monbéliardes symbolisent l'élevage dans la région et surtout la production du lait nécessaire à la fabrication du Comté. 

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Curieuse, elle ne doit pas avoir souvent l'occasion de voir un appareil photo, sur c le chemin forestier de Nozeroy au-dessus de Chapois...

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Mais  il est temps de reprendre la route des Sapins

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Ils sont tout autour, lançant leurs troncs vers les cieux.

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Ne laissant que de rares et étroits passages tant aux humains qu'à la lumière.

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Sauvages, ils vivent et meurent sous les coups d'une hache ou d'une scie ou encore d'un éclair foudroyant. Mais ils sont beaux et fiers les sapins du Jura.

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 A bientôt

24 octobre 2018 : toujours dans les vignes à Bréry (39) 

Petit annotation en passant pour répondre au commentaire de l'ami Philippe qui s'étonnait de la présence d'un tonneau en fer dans la nature ... Ces fûts de 200 l, ouvert sur le côté et sur roues,  sont typiques du vignoble et pas seulement dans le Jura. Ils permettent de brûler les bois coupés au moment de la taille et ils sont déplacés au fur et à mesure de l'avancement de la dite taille. Cela évite de faire des feux au sol en divers endroits. Ces fûts font donc partie du patrimoine viticole.

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Un joyeux mélange de couleurs et s'il ne gèle  pas, ce n'est pas fini.

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 Difficile de se croire dans les coteaux du Jura avec ces charolaises  en arrière-plan.

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La nature a quand même de bien drôles d'idées à vouloir faire pousser de jeunes feuilles alors que la vendange est passée ...

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Tel un périscope ...

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Ici, le raisin a été égrappé sur place.

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 Multiplicité des cultures dans le Jura où à côté de la vigne, on trouve une parcelle de choux, dans laquelle,  quelques graines de colza ont décidé de faire de la  résistance. Ah oui,  Philippe, je sais  il y a toujours le tonneau .

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A  bientôt pour une autre région.

24 octobre 2018 : Avant que les premières gelées ne grillent les feuilles, petit tour dans les vignes près de chez moi.

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Même si elles restent classiques, les photos de vigne durant l'automne sont toujours un objectif pour le photographe... et son  objectif !

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 Du vert pâle, en passant par le  jaune, l'orangé, le rouge ou le  marron,  on finit comme ici par le noir.

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Élément indissociable du vignoble, les tonneaux qui permettront de brûler plus tard les tiges et autres sarments indésirables pour une nouvelle récolte.

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L'échappée belle ...

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Un brin esseulé ou plutôt une grappe délaissée.

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 Toute la beauté de la vigne automnale, en une seule photo.

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 A suivre.

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1er septembre 2018 . Visite à Ornans (25), berceau de Courbet dont on fêtera l'an prochain, le bicentenaire de la naissance.

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On peut comprendre, en regardant ces falaises au-dessus de la ville, que Courbet ait pu être inspiré par la nature qui l'entourait.

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Les reflets des maisons dans la Loue restent une des valeurs fortes de la ville, même par un temps gris comme ce fut le cas ici. 

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 J'aurais préféré que la rivière ne soit pas ridée par un souffle d'air, mais finalement, je pense que l'on s'en accommode fort bien.

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Je n'y suis pas retourné depuis le mois de septembre, mais il y a fort à parier que le niveau d'eau a sérieusement baissé.

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Ce gris un peu délavé s'harmonise avec l'ensemble.

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La restauration des maisons a laissé la part belle aux vieilles pierres, mais a aussi autorisé certaines façades, bardées de bois, à s’exprimer en couleurs. N'est-on pas au  pays d'un peintre?

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A bientôt pour la suite de la visite.

29 juillet 2018 : Promenade sur la route des sapins, dans le Jura, surtout pour découvrir ces arbres justifiant ainsi le titre de ce reportage, mais à découvrir surtout dans la seconde partie, à suivre...

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 Avant de découvrir ces arbres gigantesques, un regard sur leur tronc et branches basses, couverts de mousses et lichens.

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 L'ensemble compose des formes certainement dignes d'Halloween à la tombée de la nuit, au clair de lune ...

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A travers les forêts, quelques prairies déjà jaunies par la chaleur, et ce n'était que le début, créent des taches de couleurs à l'opposé des sombres futaies.

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Un peu jeu de cache-cache avec le soleil à travers les arbres.

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La nature a parfois de drôles d'idées...

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Depuis un belvédère, une vue bien élargie sur la région avec ici le village de Chapois (39).

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Et puis un peu plus sur la gauche, cette forêt de sapins qui a donné son nom à la route du même nom, reliant en  42  km, Champagnole (39) à Levier (25).

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A bientôt.

23 juin 2018. Une sortie en direction de Château-Chalon,  haut lieu du tourisme dans ma région.

Espoir secret de faire des photos qui sortent de l'ordinaire.

Espoir déçu par manque d'inspiration.

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Le Froid Pignon qui offre une belle vue sur la plaine et Voiteur en contrebas.

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Entre la plaine et moi, le Froid Pignon ... et une rambarde

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Au moment de ma visite, de nombreux artistes exposaient en plein air. Comme ici Jenny Jacottet.

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Ou encore  Benoit Jaillet avec ses sculptures

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Les murs de Château-Chalon étaient aussi recouverts de photos grand format, comme ici celle réalisée par  Jean Paul Fermet.

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Finalement, pas  inspiré, je suis reparti mais je me suis consolé avec cette photo à la sortie du village. Comme quoi, le bonheur est dans le pré.

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À bientôt.

Il est bien connu dans la région, ce ballon de "l'Espace Mongolfières" du Vernois. Le voici dans l'espace aérien de Château-Châlon, en ce 19 juillet 2018.

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Il vient de survoler Ménétru le Vignoble, dont les vignes s'étalent à flanc de coteau.

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Par chance, le vent l'a poussé dans ma direction, au dessus de Château-Chalon.

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Ce qui n'a pas dérangé l'ami chat qui en a certainement déjà vu d'autres.

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Pour un peu, on pourrait croire qu'il va se poser au centre du village, mais non, il va poursuivre sa route et trouver un champ proche pour l'atterrissage.

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 A bientôt, sous d'autres cieux et contrées différentes.