Avertissement : Dorénavant, les légendes se trouveront sous les photos, contrairement à ce que je pratiquais auparavant. Je pense que le visiteur y gagnera en lisibilité.

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Après deux jours de pluie, j'ai décidé de refaire le même voyage que précédemment le long de la Seille, histoire de voir quelle est la situation. Dommage que je n'ai pas réaliser ce trajet ce 

matin car nul doute que les photos auraient été différentes.  J'ai essayé de me remettre dans les conditions des  prises de vues d'il y a trois jours. Pour la comparaison, il vous suffit de cliquer  sur  la  petite  vignette, pour faire un avant-après...

Ladoye sur Seille  : cela reste  un reste un torrent de montagne, même s'il y a  plus d'eau.

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Blois sur Seille : l'aspect change et les rus sont venus gonfler le cours d'eau.

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Nevy sur Seille : Le vieux pont résistera encore cette fois-ci au courant.

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Voiteur : le courant est important et l'on comprend l'utilité du mur de pierre....

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Domblans : l'eau a monté et je n'ai pas pu me replacer exactement à l'endroit de ma photo précédente. Quant au train, je l'attends encore.

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Tortelet  :  La Seille dévale allégrement. On notera que peu à peu, elle change de couleur.

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Arlay : Aie, les arbres ont les pieds dans l'eau...

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Ruffey sur Seille : Il y a du bouillon et on est loin du cadre touristique de la cité.

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Bletterans  : les eaux se font hautes. Mais il n'y a pas encore  péril en la demeure.

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Nance : là j'avoue, j'ai mis les bottes ... tant le terrain était détrempé.  Mais si j'étais venu ce matin, je n'aurais pas pu faire cette photo,  le terrain était envahi par la rivière.

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Voilà pour ce reportage comparatif. Comme on peut le constater, on a échappé au pire... pour une fois.

A bientôt.

Avertissement : A partir d'aujourd'hui, les légendes se trouveront sous les photos, contrairement à ce que je pratiquais auparavant. Je pense que le visiteur y gagnera en lisibilité.

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La Seille prend sa source au fond de la reculée de Ladoye sur Seille puis traverse le vignoble jurassien en arrosant Nevy sur Seille, Voiteur, Arlay,  avant d'atteindre la plaine agricole de Bletterans puis Louhans et la Bresse, en Saône et Loire, pour rejoindre enfin la Saône à La Truchère, à quelques kilomètres au sud de Tournus,  après un parcours de 100 km.

Il y a quelques temps déjà,  que l'idée de suivre son cours me trottait dans la tête. Profitant d'une accalmie météo, j'ai mis  mon projet à exécution, en me limitant aux villages jurassiens, soit  une distance de  30 km environ. 

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A l'entrée du village de Ladoye, la Seille est déjà un gros torrent.

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A Blois sur Seille,  le caractère du torrent reste affirmé.

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Puis c'est  le passage à Nevy sur Seille avec au fond Château-Chalon. Depuis juste avant le village,  a rivière s'est grossie des eaux du Dard,  issu des cascades de Baume les Messieurs..

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A Voiteur  le cours s'est élargi mais reste tumultueux, comme  ici en face du moulin Marguet.

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Domblans : la Seille est enjambée par le pont supportant la ligne de chemin de fer  reliant Besançon à Bourg en Bresse. Le cours a pris de l'importance.

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A  l'écart du village de St Germain les Arlay,  le Tortelet. Le courant est encore fort.

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Arlay. On a à faire ici vraiment à une rivière, même si un peu plus loin, le lit est parsemé de roches créant des remous.

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Ruffey sur Seille :  Encore un pont de pierre qui ne date pas d'aujourd'hui. Ici  la rivière confère au village une valeur ajoutée en matière touristique.

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Bletterans : nous abordons la plaine de Bresse. Le caractère de la Seille est moins impétueux. 

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Nance  : dernier village jurassien traversé par la Seille. Dans quelques kilomètres, elle passera en Saône et Loire...  Ici aussi, encore un pont historique puisque datant de la fin de dernière guerre...

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Voilà pour cette petite promenade. Mais si le temps continue ainsi qu'aujourd'hui sous la  pluie, je ne m'interdis pas demain de vous offrir une petite surprise.

Suite de mon périple,  à la cascade des Tufs près d'Arbois. Je suis enfin arrivé au sommet. D'habitude, on rejoint l'autre côté sans se mouiller et l'on remonte  le cours d'eau. Là, l'élément liquide a tout envahi... :

Il ne me reste qu'à contempler la masse d'eau qui déferle.

Puis  j'entreprends  la descente,  plus  périlleuse que la  montée. Je fais des haltes et j'en profite  pour  immortaliser encore la cascade et la rivière en contrebas.

Je vous laisse admirer la force de l'eau se projetant sur ce tronc d'arbre...

Changement de décor. En voiture,  je suis remonté  jusqu'au cirque du Fer à Cheval. Et depuis le  belvédère je peux contempler le paysage. Tout en bas coule une rivière : la Cuisance. C'est elle qui tout  à  l'heure sautait de rochers en rochers...

Puis  la Cuisance va traverser Arbois. L'ancienne collégiale Notre Dame surplombe la rivière dans cette photo retravaillée à l'ancienne.

Le cours tumultueux de la rivière traverse moulins, barrages et autres chutes.

En  plein centre ville,  l'effet est saisissant. Et pour ne pas faire trop touriste,  j'ai repris un peu la photo...

Paysage charmant,  charmeur et parfois attirant, voire envoûtant, celui-ci reste  une  valeur sûre de la  région. A revoir au printemps, avec les  petites fleurs... et  le soleil.

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Demain,  on change de  registre car malheureusement pour vous,  j'ai rechuter dans  mes délires ...

Bonjour,

 Petit retour en arrière et plus précisément le 27 décembre 2013. On sort d'un  épisode pluvieux particulièrement intense.  D'où mon idée d'aller voir la cascade des Tufs.

Bien m'en a pris, au vu du spectacle :

La cascade est bien fournie et les embruns sont nombreux. On est vite trempé !

Je  prends un peu de hauteur pour découvrir la majesté du lieu. J'ai beau le connaître, c'est à chaque fois une découverte.

Puis j'entreprends d'aller vers le sommet de la chute. D'ordinaire, l'endroit est déjà ardu à parcourir mais là, ça glisse encore plus. Il faut faire attention où l'on met ses pieds.

Mais cela vaut  le coup d'oeil et en bas la rivière reprend ses droits.

Voici  le sommet. A partir de là, vers  l'amont, c'est une succession de mini cascades.

D'ordinaire,  on longe la rivière et l'on poursuit son chemin. Hélas, aujourd'hui ma progression est stoppée car cela déborde de  partout !

Pour vous faire une idée des changements d'aspect,  je vous invite à suivre le lien ci-après et vous découvrirez la cascade en temps "normal"

les tufs et la cascade 3 fin

 A demain pour la suite.

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Hors sujet  :

A propos de l'article précédent sur les étangs, il ne s'agit pas d'un nettoyage mais  bien d'une  pêche. Les étangs sont des  milieux artificiels créés  par l'homme, et plus précisément les moines, pour élever le poisson et nourrir les gens  au Moyen-Age. Aujourd'hui, quelques  pisciculteurs continuent ce labeur. Le  produit de la pêche est donc soit vendu sur place pour les besoins de la population, soit transformé ultérieurement en produits alimentaires,  tels que rillettes ou pâtés. Ou encore vendu  à des sociétés de pêche pour repeupler cours d'eau ou autres étangs.

Pour Pascale  :  les carpes ne restent pas longtemps à l'air libre. Elles sont triées très vite et réparties dans de nouveaux bacs en eau, avant de partir vers de nouveaux étangs ou le laboratoire  pour y transformées en filets  ou autres.être transformées. Idem  pour le petit blanc à la seule différence que lui repeuplera d'autres lieux.

Ces étangs  ne sont donc que de grands aquariums dans lesquels les poissons vont se développer. Une fois la pêche terminée,  l'étang sera remis en eau et repeuplé, dans l'attente d'une prochaine  pêche, d'ici  un an  ou deux.

Petite pause dans mon reportage breton. La cause, pas mal de travail et un rhume qui me prend bien la tête.

Pour patienter, tout juste trois photos de l'étang de Commenailles (39), le 30 janvier 2014.

Le soleil est absent. Les teintes fades de l'endroit militent pour un traitement N&B, plus en adéquation avec le temps. Et  puis c'est l'occasion de mieux voir les branchages avant que les feuilles ne reprennent la conquête de leur domaine.

Et pour finir, un traitement croisé pour s'apercevoir qu'il n'y a pas grandes différences entres les teintes...

A bientôt.

Pas facile de s'y retrouver en ce moment, neige, froid et pourtant feuilles mortes et colorées,  brouillard, etc. Alors ce matin à Lons, une petite quête pour essayer de  m'y retrouver...  Comme  ici au  parc des Thermes  où  les étangs sont gelés :

Les feuilles  mortes sont figées dans la  glace...

L'arbre  a perdu de sa superbe, suite aux atteintes du gel et de la neige. Il pleure...

Petite pause le temps d'une pose :  le photographe et la rose.

Mélange de couleurs par un temps qu'on pourrait croire d'été, il fait -2°

Rouget de Lisle semble haranguer le ciel  pour obtenir sa clémence...

Alors qu'au monument aux morts,  les fleurs ont péri...

Dans le parc, le sol est jonché de feuilles grillées par le gel et les bancs restent désespérément vides..

Les  branches décharnées attestent de la fuite de l'automne et de la proximité de  l'hiver.

Image trompeuse d'une saison qui ne veut pas finir alors qu'une autre veut prendre sa place.

Et retour au départ. Gel, verdure, feuilles mortes... De quoi y perdre son latin... mais pas le plaisir de la  photographie.

A demain, les ami(e)s.

Bien qu'en automne, j'ai retrouvé l'hiver, donc la neige. Une  occasion de faire une photo N&B,  directement depuis l'APN (retravaillée avec LR5)

Sinon en couleurs,  cela donne ça...  Personnellement,  je  préfère la première.

Petit effet graphique avec les maïs coupés.

De la neige, de l'eau, de la verdure... Drôle de composition.

Petite  photo recadrée façon panorama.

Un peu plus loin, l'étang de Récanoz, en partie vidé, ce qui m'a permis de m'aventurer un peu plus avant que d'ordinaire. Mais attention les après-ski... Ils n'ont pas apprécié!

Mais j'ai pu faire de photos impossible à réaliser d'habitude.

Ciel d'hiver pour une nature encore automnale.

Retour sur la terre ferme ... ou le mélange des genres...

A demain pour autre chose. Enfin je pense...

Reprenons  notre  balade  à  la recherche des dernières couleurs automnales...

 Même  les volets se sont mis au diapason de la saison !

Par contre ici,  les feuilles ont joué les filles de l'air...

Contrairement à cet endroit où je trouve que le bleu des volets entre bien en concordance avec le reste.

Le vieux  pressoir à lui tout seul apporte sa touche  automnale.

Les vignes tout en bas, composent un patchwork.

La  nature est encore verte. Non décidément, l'automne ne sera pas ce qu'il est d'habitude...

Et  le jardin potager n'a plus que quelques jours à vivre. La neige arrive....

La  neige est venue  oui,  et je dois bien avoir quelques  photos. A voir demain...

De retour après ma panne de PC.

Quelques photos de Château-Chalon avant l'épisode neigeux de la semaine  passée...

Les vignes ont perdu de leur attrait. Alors on cherche les couleurs de l’automne ailleurs :

Entre les toits, quelques arbres arborent une belle livrée.

Sur le mur, la vigne vierge cherche à gagner de la hauteur.

Tandis que le village s'appuie sur un matelas d'ouate..

Ailleurs les hortensias tentent une dernière parade.

Tout comme cette rose trémière, plus éclatante que cette vieille porte.

Ici, encore une vigne vierge mais qui a composé elle même sa grappe de raisin ...

Un  peu plus loin,  la forêt ne semble pas prête encore  à jouer l'une des partitions des quatre saisons...

Demain, je poursuivrai ma quête de ces couleurs automnales.

Je poursuis ma promenade dans le vignoble de Château-Chalon. Et je profite du paysage sous un beau soleil.

Tout au fond,  c'est la reculée de Baume le Messieurs avec  sa célèbre cascade, mais pas que... Ici,  je vais emprunter un sentier qui longe le  pied des rochers. 

Le soleil joue avec quelques brumes et m'offre un flare ou réverbération (tache claire) dont je me serais bien passé.

Quelques taches de couleur rose pour enjoliver le tableau...

Voici la fameuse aiguille de Château-Chalon. Mais ici,  pas d'Arsène Lupin comme à Etretat...

En redescendant, rencontre avec une jeune fille qui regrettait d'avoir oublié son appareil photo... mais elle avait son téléphone !

Les feuilles mortes commencent à joncher le terrain

Et là,  sorti de nulle part, un pied de vigne bien rouge...

Jeu d'ombres ... et d'ambre !

Par dessus les vignes, le paisible paysage du Revermont...

Dans quelques minutes l'ombre gagnera la  montagne.  Je quitte l'endroit nourri de belles vues d'un lieu mythique.  

Depuis  le  31  octobre,  je  ne suis  pas rtourné  dans  ce  lieu. La  pluie, abondante,  puis  les gelées et  la  bise  ont déjà du  transformé  l'endroit. Et on  annonce  la  neige. Mais ça, on peut attendre encore  un  peu...