Poursuite de la promenade. Pour certains, le choix s'avère difficile...

Il faut dire qu'il y a du choix. Nous sommes quand même au pays du poulet de Bresse...

Tiens , je ne suis pas seul à immortaliser le lieu. Mais pour cette dame, la pose est plus conventionnelle que la mienne pour  prendre  une  photo..

Pour d'autres, il s'agit d'une autre pause...

Mais Louhans reste un marché, et  un  beau marché. Chapeau...

Et un marché avec des saveurs méditerranéennes.

Mais tout a une fin. Il  nous faut quitter, certainement à regret ce lieu

sur lequel veille depuis des siècles ,  l'église St Pïerre .

A très  bientôt .

 De Châtel, je ne vous livrerai pas de secrets

Ne voulant pas me montrer indiscret

Mais sachez qu'ici tout descend ou court vers les  hauteurs

Comme ce cheval jouant à l'explorateur

Ou encore le coq du clocher,  

Tentant peut être, de  l'avion s'approcher...

Pour une fois en altitude

S'enivrer du paysage en toute quiétude 

Plus bas, c'est dans  un ciel d'azur, la convergence 

Dans la  meilleure intelligence

Pour composer d'agréable manière

Un cliché rappelant les jours d'hier. 

Plus bas encore, descendant des sommets,

Et filant vers le bas désormais,

Sautant de roches en roches

Dans une folle débauche,

L'eau source de vie

Dans une fontaine servie...

Pour assouvir la soif du pèlerin

Allant de chemin en chemin.

Enfin  pour ce dernier,

De sa foi,  le timonier

Ultime Golgotha à atteindre,  

 S'élever par l'esprit sans se contraindre. 

 Voilà,  j'en ai fini de mon reportage sur Châtel.

Demain, retour à la réalité quotidienne avec des images d'un genre un peu particulier et surtout retour à mes délires....

Voici Châtel, enfin un petit bout, où j'avais un appartement dans l'un de ces chalets visibles ici.  Je crois avoir parcouru tous les chemins et sommets du coin.   

Seulement ça c'était avant... maintenant je me contente de regarder les autres .

Ce village de montagne est particulièrement attractif pour les jeunes qui peuvent s'y adonner été comme hiver,  à toutes sortes de disciplines, auxquelles je ne me risquerais  pas... 

 Comme par exemple, le parapente. C'est quand  même  impressionnant !

Quand en plus le moniteur d'un parapente biplace, se  met à tournoyer,  j'en connais un qui ne serait pas fier.

Mais je veux bien croire que l'on éprouve une sensation de liberté...

Alors bonne descente,

 Et moi je reste sur le plancher des vaches pour préparer ma prochaine série de photos. 

 Poursuite de la promenade autour du lac des Plagnes. Les endroits de prises de vues sont nombreux.

Entre les sapins,  l'eau du  lac est omniprésente, tout comme les plantes aquatiques tapissant le fond.

Quand  la  montagne se  mire...

Image, car ce n'est plus une photo puisque  trafiquée, image donc  surréaliste...

Voilà,  j'ai fait le tour,  le soleil va bientôt disparaître derrière les sommets, il faut vite fixer les rayons tombant dans l'eau.

Et enfin la dernière photo prise exprès dans le contre-jour , d'où ces flares (points lumineux) sur cette  vue.

A bientôt, mais toujours en  montagne.

Non, il ne s'agit pas ici de plagier un conte. Au contraire,  je vous offre une petite promenade autour d'un lac bien sympathique. Mais avec ma façon à moi de le  voir. Nous sommes au lac des Plagnes, au dessus d'Abondance, à 1200m d'altitude, en Haute Savoie :

Au dessus du lac, quelques fermes d'alpage au hameau des  Plagnes :

Du vert partout : l'eau, les herbages, les forêts ... mais un vert étrange compte tenu de l'ensoleillement :

Par endroits,  les algues pullulent en bordure du rivage rendant ces endroits inaccessibles aux pécheurs.

Magie de l'eau et de sa transparence, troublée par quelques vaguelettes en surface... tandis que le fond est ici tapissé d'herbes lacustres.

Jeu d'ombres, de reflets, de lumière, le spectacle est total.

Voilà, nous sommes à mi-chemin de notre promenade,  le reste ce sera  pour demain.   

Dernière partie de mon voyage à Barbizon. Cette fois-ci ce sera plus bucolique. En  hommage ans doute  à  Jean-François Millet artiste-peintre réaliste, pastelliste, graveur et dessinateur français du XIXe siècle, l’un des fondateurs de l’école de Barbizon. Il est particulièrement célèbre pour ses scènes champêtres et de la paysannerie réalistes.

De "charmantes" maisons composent une partie du bourg.

Derrière l'ange évoqué dand  le reportage n°2 , se trouve  un arbre. J'aurais pu le laisser dans son jus mais j'ai pensé qu'ainsi, il  serait plus raccord avec la sculpture.

Mais il y a aussi des couleurs dans ce village, surtout au printemps.

Est-ce d'ici que vient l'expression : "se mettre au vert" ?

Fermons la fenêtre et laissons les volets clos
A quoi bon se lever
Ce matin n'ouvrons pas les rideaux...

 Un village sans chat n'existe pas. Et celui ressemble comme deux gouttes d'eau au mien. J'ai  bien cru qu'il avait fait 500 km pour me retrouver...

Dans un village de peintres, jouons avec les couleurs...

Et pour finir je vous adresse, façon carte postale, une vue de la rue principale de Barbizon, célèbre pour son école....de  peinture.

Et merci de m'avoir accompagné durant mon voyage. A bientôt.

Je  me suis amusé en  lisant les commentaires  sur  le sujet Barbizon, du bon et du moins bon... (1) .  Surprenant ces réflexions tenant soit à l'art "moderne",  soit  à la peinture dite "école de Barbizon"... La querelle des Anciens et des Modernes, toutes proportions gardées. Je vous invite néanmoins à me suivre dans les rues de ce  petit bourg, quand même pittoresque.

 Alors, on pousse la porte?

Derrière de hauts  murs et souvent  de  hautes  portes, se cachent des  petits trésors,  véritables havres de  paix.

Personnellement,  je peux comprendre que ce village ait attiré les peintres.

Une rose qui semble éclipser le reste de la photo (traitement LR5) 

Et en plein centre du village,  cette composition (?). Peu  à  peu  la peinture semble  perdre du terrain. Et dans les galeries  les "oeuvres" exposées sont  un contre-pied totale de ce que fut l'art à Barbizon au début du siècle dernier... Millet est bien  mort...

Une  vue de  profil  pour tenter d'expliciter cette sculpture. Un ange en cage... quelle idée !

Heureusement, certaines bâtisses rappellent par leur aspect sciemment entretenu,  le côté ancien du village, du temps où...

Mais le commerce de l'art  ses limites...

Presque une image du passé. Enfin, un jour elle le sera...

A bientôt pour une suite plus verdoyante.

Je reviendrai sur Barbizon ultérieurement. Ici, je clos mon voyage en Belgique avec quelques photos de Thorn la ville blanche, aux  Pays Bas. Thorn est située entre Eindhoven et Maastricht. La ville date de la fin du 10e siècle. Avec le temps, une mini principauté, dotée de ses propres jurisprudence et monnaie, s’est développée. En 1794, les aristocrates s’enfuirent à l’arrivée des Français. Ceux-ci instaurèrent une taxe, basée sur la taille des fenêtres que les habitants modestes, qui occupaient souvent de grandes demeures ayant appartenu à de riches familles, ne pouvaient payer. Ils se mirent donc à murer de nombreuses fenêtres et à dissimuler leur pauvreté en blanchissant leurs maisons à la chaux. Le résultat est remarquable !

 Des murs blancs, des petits jardinets... Pour un peu, on pourrait se croire sur l'île de Ré...

Au hasard d'une rue, un immeuble qui ne manque pas de surprendre à côté de la  blancheur des autres maisons.

Les rues sont pavées comme ici, de  petits galets, ce qui n’empêche pas la rose trémière de se développer... alors que chez moi, cela ne pousse pas !

Beaucoup de soin et surtout de propreté...

 Si l'on s'écarte un peu de la vieille ville, on retrouve des maisons plus conventionnelles des Pays-Bas mais qui possèdent néanmoins un certain cachet.

 Pour le cas où vous l'auriez oublié, nous sommes bien en Hollande...

 Une bourgade qui ne manque pas de  cloches... ni de charme!

Les  armoiries de la principauté de Thorn occupent le entre du village et mon ami Paul les surveille de près...

La  place est vide... mais elle ne le fut qu'un court instant car il m'a fallu près de 10 minutes pour faire cette  photo...

Blancheur mais aussi couleurs apportées par les plantes garnissant fenêtres, balcons et jardins.

Et puis il y a de l'eau, rajoutant au caractère pittoresque de l'ensemble.

Dernier regard bucolique sur ce charmant endroit.

Un grand merci à mes amis Nicole et Paul pour leur hospitalité, leur plaisir à nous faire partager une si belle région et surtout pour certaines tranches de rire, sans compter la découverte de spécialités culinaires bien particulières.  

Dans cet endroit magnifique à Eisjden, aux Pays-Bas, la nature est reine,  offrant ces largesses aux insectes et animaux de tous poils et plumes.... 

Rien  ici ne vient contrarier la croissance luxuriante des plantes.

Puis on retrouve l'eau et sa faune aquatique avec cette troupe de bernaches

Ces  oies  - les  bernaches - sont très présentes sur ce bras de Meuse.

Elles forment des gropupes d'une certaine importance dans un environnement comme  ici, assez  particulier.

Et où on retrouve un cormoran, mais pas que...

Il  y a du monde dans le coin. Un héron, normal, des canards oui. Mais surtout des tortues, si, si  sur  le tronc au soleil !

Dernier coup d'oeil sur cet endroit  particulier.

Et  l'on retrouve le plancher des vaches, pardon, des chevaux. Ceux-ci sont en totale liberté.

Enfin à la sortie du domaine naturel, ces quelques coquelicots.

et sous un autre angle...

A demain,  je pense,  pour  un autre reportage .

Lors de mon escapade chez mes amis belges, en juillet dernier, je  me suis rendu en  leur compagnie, de l'autre côté de la frontière, aux Pays-Bas, près d'un bras de la Meuse, devenu réserve naturelle,  à Eisjden au sud de Maastrich. L'endroit y est particulièrement plaisant et donne au photographe l'occasion de faire une multitude de clichés dont je vous livre  ici quelques exemplaires.

   Un foulque avec sa famille prend le soleil. Je n'ai pas voulu les déranger donc je n'ai fait que cette  photo...

Ces bras de Meuse sont navigables et des aménagements sont prévus pour les escales des bateaux. 

L'endroit est un refuge pour les animaux. Ici côte à côte,  un cormoran,  des canards et un cygne : l'entente cordiale...

L'endroit offre à qui veut bien le  voir, de  belles perspectives.

Un couple de grèbes m'offre le spectacle de plongeons répétés à travers les reflets sur l'eau.

Les chardons se découpent sur le ciel limpide

ou pas...

Quand les cygnes  se transforment en  autruches...

Pendant que d'autres prennent la poudre d'escampette, comme ce héron ...

A demain, je l'espère pour la suite.