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BZH 2015 - Guerlédan, le lac disparu - 3 et fin
Ça y est j'ai atteint le fond ... le fond du lac, bien entendu. Le spectacle, si l'on peut parler ainsi est surprenant. Maisons en partie effondrées, arbres sans vie, vestiges du canal, tout concourt à apporter un sentiment désagréable, nauséabond, rappelant pour les plus anciens de biens tristes images liées à un passé douloureux. J'ai retravaillé différentes photos, ce qui va sans doute accentué ce sentiment. Qui plus est, je me suis efforcé d'éviter de mettre des personnes sur mes photos, pour rendre encore plus l'impression de désolation .
Aujourd'hui, le barrage a été remis en eau. L'élément liquide va peu à peu envahir les lieux, effaçant à nouveau de notre mémoire et ce pour de nombreuses années, tout un pan de l'histoire locale.
je n'ai pas commenté ces photos. Je vous laisse simplement vous faire une idée.
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A bientôt pour d'autres photos plus "bretonnantes"...
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Commentaires
Bon jour Albert,
C'est tout a fait ainsi que j'imagine notre planète après un explosion atomique.
La désolation totale, c'est impressionnant.
Cela fait vraiment mal au coeur un tel paysage, mais tu as fait de très beaux clichés.
Bises et bonne fin de journée à toiBonsoir Albert, ces photos sont incroyables... mes sentiments sont mélangés de tristesse, désolation en voyant ces ruines fantomatiques d'un autre temps, et puis c'est aussi prodigieux de les voir réapparaître le temps d'un nettoyage de ce lac. Merci pour le partage, à bientôt.
je pense aux gens qui ont du abandonner leur maison pour ce lac et qui les revoient en ruines mais toujours debout , ce doit être encore plus dur pour eux . tu as bien rendu l'ambiance d'un paysage détruit par un bombardement .
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Bonjour Albert. Même si cela me fend le coeur de voir le lac de mon enfance ainsi, j'ai beaucoup de plaisir à suivre cette série. C'est fou tout ce qu'il cachait sous ses eaux. Bises amicales.
Bonjour Marie.
J'en ai fini avec cette série qui effectivement est très poignante et étonnamment, plus encore en regardant les photos que lorsque j'étais sur le terrain.
Bises.