18 septembre 2018 : St Nazaire en Royans. L'an passé, à cause du  niveau des eaux, je n'avais pu faire la promenade en bateau. Cette fois-ci, pas de problème.

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Voici notre vaisseau à l'allure "Louisiane".

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Au-dessus du port, l’aqueduc de Saint-Nazaire-en-Royans - longueur : 235 mètres, hauteur : 35 mètres - a été construit entre 1876 et 1878 pour amener de l’eau d’irrigation dans la plaine de Valence grâce à un système de canaux de 118 kilomètres. Toujours en fonction, le Canal de la Bourne débite en moyenne 7 mètres cubes / seconde. 

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Dès le départ, on est étonné par cette masse ocre au niveau de la rivière, la Bourne.

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N'y aurait-il pas là, le signe du passage d'un géant?

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Le confluent de l'Isère et de la Bourne sur fond de Vercors.

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A présent, on navigue sur l'Isère que l'on va remonter sur plusieurs kilomètres.

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Les rives sont luxuriantes et les arbres un peu immergés servent de reposoir aux cormorans. Vous les voyez  les deux?

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Ici, c'est un héron, les pattes dans l'eau, sur fond de noyers, 'arbre "national" dans la région.

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 Du coté de la Sône, terme du voyage aller, l'ancien château-fort entouré de douves, domine depuis son socle rocheux le vallée de l'Isère. Les parties les plus anciennes sont du XII° siècle et le donjon du XV°siècle. 

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Sur le chemin du retour, les  cormorans, habitués aux passages du bateau, sont toujours à leur poste.

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 Et puis le final, le ballet des hirondelles. Pas facile à saisir.

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 À bientôt

28 février  2019 : L'hiver n'est pas fini mais le temps est beau. De quoi donner des idées de promenade et aller jeter un œil à la cascade des Tufs près Arbois.

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Moins médiatisée que sa cousine de Baume les Messieurs

Elle n'en attire pas moins quelques soient les cieux... 

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Ceux qui recherchent sa beauté  jaillissante,

Qui de blanchissante peut devenir bleuissante.

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Elle sait par son bruit régulier, charmer le promeneur

Qui dès qu'il l'entend, est tout à son bonheur

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De vasques en replats, par rebonds successifs, 

Elle laisse s'échapper du massif

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Une onde limpide au caractère enjoué

Mais qui parfois, en colère, peut surjouer

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C'est tout cela qui fait qu'aux Tufs, de cette cascade

 Je viens y guetter , comme en embuscade

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Les signes de sa bonne et belle vie

Qui toujours me ravit.

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À suivre et  à  bientôt.

4 octobre 2018 : Fin de mon séjour à Paris.

Gare de Lyon,  je tue le temps en recherchant l'insolite.

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On prend son mal en patience en attendant le train. Le pianiste à sa façon crée l'ambiance pour quelques amoureux de la musique. 

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Image de quais déserts qui contraste avec celle du hall. 

Un effet des mesures de sécurité dans les gares où l'accès aux quais n'est autorisé que quelques minutes avant le départ du train, après avoir montré patte blanche ( présenté son billet au portillon). J'ajouterai que cette mesure pénalise les photographes de train comme moi...

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La verrière du hall d'attente s'est parée de vitres colorées. On est loin des plafonds ou autres verrières noircies de fumée... mais cela c'était avant, du temps où j'étais gamin.

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Mais quand même pas à une époque antédiluvienne. Non, je n'ai pas connu ce gentil volatile.

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Et ce panneau d'affichage qui ne veut pas m'indiquer le numéro du quai !

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 Force est d'attendre.

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 Pour les asiatiques, je me garderai bien d'évoquer une quelconque nationalité, c'est l'heure du regroupement. On fait corps autour des valises. Valises sans doute pleines d'achats de  produits made in Korea, Japan ou China ...

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Et pendant mon tour du propriétaire, je découvre un photographe en plein travail. Je ne suis donc pas seul à  faire des images.  J'ai quand même été plusieurs minutes avant de voir   sur quoi il travaillait. Et vous, vous avez une idée?

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Et maintenant la chose vous paraît plus évidente?

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Voilà la clé du mystère. Une séance de pose pour je ne sais quelle promotion ou publicité.

 À noter que tout cela se déroule dans l'indifférence générale d'une  foule entièrement tournée vers son voyage.

 Et je n'en saurai pas plus. Car le photographe m'a vu en train de prendre des photos (Un 70x300 dans une gare, cela se remarque). J'ai bien compris que cela le dérangeait. A-t-il cru que je travaillais pour la concurrence? Au regard noir qu'il m'a adressé et après avoir signalé au modèle que j'étais là, j'ai préféré le laisser travailler. De toutes façons, moi j'avais mes photos qui elles ne me rapporteront rien, que le plaisir de les avoir faites.

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À bientôt.

26 mai 2018 : Ma promenade à Scamandre (30) ne m'aura pas permis de faire des photos animalières au sens strict du terme. Néanmoins, j'ai fait quelques essais en fonction de ce qui passait dans mon champ de vision.

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Une agitation au loin. Il s'agit d'un ragondin. J'avoue aimer cet animal pour son port de tête hors de l'eau...

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Tiens, un ptérodactyle? ou le Baron Noir attaquant un avion de l'escadrille des Cigognes? Que nenni. Juste un ibis falcinelle croisant le vol d'une mouette.

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Le cygne  : " Quel est cet intrus?"

Le ragondin : " Vous dérangez pas pour moi, je ne fais que passer"

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Heureusement qu'il a tourné sa tête vers moi. Grâce à ses dents orange, j'ai été sûr qu'il s'agissait d'un ragondin et non d'un castor.

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 Allez, une petite dernière pour la route.

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Quant aux oiseaux, il y en avait. Mais hélas, perchés au loin dans les arbres et hors de portée de mon zoom. Dommage.

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Un des petits jeux de l'après-midi : tenter de prendre des oiseaux en vol comme ici cette mouette...

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ou bien encore une sterne pierregarin. Pas évident et j'avoue qu'à ce jeu, j'ai perdu ... pratiquement les seules photos potables. Tout le reste, direct poubelle...

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 À suivre et  à  bientôt.

13 août 2018  : Matin calme, basse mer. Occasion rêvée de se promener tranquillement le long de la grève, à Guissény.(29).

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Un amas de rocher qui depuis la nuit des temps est planté là dans le sable et surmonté d'une croix...

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Alors on fait le tour pour découvrir ce dont il s'agit.

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Pas vraiment un calvaire typique breton, mais plutôt une croix de mission. Nous sommes d'ailleurs sur la plage de la Croix, qui n'a de plage que le nom.  (Voir plus loin)

Il y a 45 croix et calvaires sur le territoire de la commune de Guissény. Ce qui place la commune ex-æquo avec Plabennec au troisième rang parmi les communes du Finistère, tandis que Plougerneau (qui en compte 131) est première et Plouarzel (qui en compte 62) est deuxième. (Source Wikipédia)

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Encore des roches levées et celles du haut sont particulièrement curieuses dans leur forme.

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La baie de Tresseny avec la  plage de la Croix.  Mais celle-ci ne répond pas aux futures normes européennes et fera partie des 131 plages françaises "interdites à la baignade".  (Source Wikipédia).

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Seules mouettes et goélands s'aventurent sur le sable pour y trouver pitance.

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La mer s'est retirée, abandonnant de vastes flasques. Une aubaine pour le photographe.

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Retour vers la terre. À la limite du sable, la végétation terrestre reprend ses droits.

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À bientôt.

6 février 2019 : Ce  jour-là, je me suis rendu à Lamoura. Je n'imaginais pas alors, qu'au mois de juillet, à  l'instant où je le les mets en ligne, ces photos me rafraîchiraient alors que  nous subissons la canicule. Aussi,  je vous invite à venir prendre le frais avec moi.

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À noter que j'ai privilégié les photos sans personne dessus. Mais à la station, il y avait du monde.

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Je me demande bien ce qui a poussé quelqu'un, à cheminer ainsi. Peut-être un autre photographe !

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Jeu de lignes...

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Et voici le plan large du même endroit.

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Quand j'ai écrit photo sans personne, pas vraiment. Pour les puristes, oui il y a les flares dus au soleil de face. Mais cela donne un genre !

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Petite vision enneigée à quelques kilomètres de la station. 

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Ici et avec la photo suivante, c'est exceptionnellement du N&B pour jouer avec les traces laissées par la dameuse.

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Effet géométrique certain.

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Image caractéristique du Haut Jura...

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Mais plus encore ici, toute une ambiance.

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À bientôt et en espérant que vous n'avez pas pris froid...

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Bonjour,

Après une petite semaine de congés passée dans la région de Montpellier, me voici de retour (avant un autre départ dans 15 jours). Je vais tenter de récupérer mon retard sur vos blogs. Mais avant, voici une petite série réalisée le 7 juillet 2019, à Margon  (34).

 Précisions : 

Je ne suis pas photographe animalier, mais pour l'occasion, je le suis devenu. Ce matin là,  j'ai été intrigué par un vol d'hirondelles qui, lesquelles sont venues se poser sur un cable électrique. La  fenêtre étant pourvue de moustiquaire grillagée, je ne pouvais pas faire de  photos. Je suis donc sorti en espérant que les oiseaux ne disparaissent pas entre temps ou ne s'enfuient à mon approche. C'est donc "armé" de mon 70 x 300 que  j'ai réalisé des photos du nourrissage de jeunes hirondelles par les parents. Dernière mise au point, c'est le cas de le dire, toutes les photos ont été réalisées en mode manuel, y compris la mise au point, car l'autofocus de l'objectif est mort.

La qualité des photos s'en ressent bien entendu, d'autant que je les ai croppées. Avec donc toutes mes excuses.

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Les jeunes sont sortis du nid mais pour manger on compte encore sur papa et maman.

Nota, il y avait 7 à 8 petits sur le fil. Je ne sais pas s'il s'agissait de plusieurs nichées.

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On guette le prochain passage de l'adulte...

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Le problème, c'est qu'il n'y en a que pour un à chaque fois.

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Pour l'adulte, c'est vraiment un exercice de style que de nourrir les petits.

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Attention, descente en piqué vers les becs ouverts.

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Et voilà pour un... au grand dam des autres !

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 Qu'il est bon le soleil du matin. Cela fait du bien de tendre les ailes.

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Nouveau passage pour un nouveau ravitaillement.

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Mise en route des aérofreins. Et pas question pour le parent d'ouvrir le bec.

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Une dernière photo pour finaliser ce petit reportage inopiné. Dans quelques temps, ces jeunes sauront se nourrir seuls pour prendre des forces afin d'affronter la grande traversée.

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À bientôt.

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