12 août 2018 : On reste un petit moment du côté de Lanildut, direction la mer.

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Tout-à-fait au loin, à gauche, c'est Molène et devant le phare du Faix, jaune et noir.  À  droite,  on devine Ouessant. Le temps reste bouché et ne facilite pas la photo.

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Tiens, un canon ! C'est en fait une reproduction d'un affût de canon construit par les élèves du collège de  Kerhallet (Brest) et d'une réplique de canon.

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En 1742, une batterie de canons était installée pour défendre l'accès au port de Lanildut,  plus important à l'époque que celui de Brest !

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 Une guérite de veille était installée à proximité. Elle aussi a fait l'objet d'une restauration. (Photo retravaillée pour donner un peu plus d'ambiance  ...)

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 On a quitté Lanildut et pris la direction du Nord, vers l'île Melon. En route, quelques photos du rivage, parsemé de rochers, bien visibles à marée basse.

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Un gros-plan permet de juger de la complexité des amoncellements de rochers.

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Et une dernière photo en plan large du même endroit, alors que décidément, le ciel reste bien bas.

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À bientôt,  Kenavo.

18 septembre 2018 : Souvenez-vous. Il y a plusieurs semaines, je vous ai laissés au pied de Pont en Royans, avec ses maisons si typiques. 

À présent on va en découvrir un peu plus.

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Au pied de ces maisons en falaise, coule la Bourne. À cet endroit, la rivière est calmée et offre de beaux reflets.

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Après une petite montée de plusieurs marches (...), on accède au pont surplombant le lieu et l'on découvre enfin le village.

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 Puis on passe le pont et on découvre l'autre côté de la rivière beaucoup plus sauvage. L'endroit, en bas à gauche, était occupé par un petit moulin : un  battoir à chanvre. C'était un élément annexe datant de 1853 d'un système de prise d'eau qui alimentait le moulin au centre du bourg par une conduite sous la roche.

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 Ici on découvre le cheminement qui menait aux installations annexes du moulin.

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Voici le pont au-dessus su défilé qui permet d'accéder au centre du village.

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Et  pour finir sur une note colorée, ce décor en trompe-l'œil, particulièrement plaisant.

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À  bientôt.

6 février 2019 : Petit retour en arrière avec ces quelques photos enneigées.

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Dans  les gorges de la Lemme, un petit arrêt pour profiter de  l'enchevêtrement des arbres.

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La Lemme coule en contrebas, sous des branches couvertes des neiges tombées précédemment.

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En hiver, le soleil est bas sur l'horizon et à 14 h 00, il atteint à peine le fond des gorges.

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Un peu plus loin sur la route. Le viaduc du Morillon sur la ligne Andelot - Saint-Claude.

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Quelques nuages sous un ciel bleu transpercé par un avion en provenance de Genève probablement.

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Nous abordons le haut plateau jurassien et ses vastes étendues à cette époque désertées par les Montbéliardes.

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La même vue mais en plan plus large pour apprécier le moutonnement de l'espace.

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À suivre.

28 mai 2018 : Après un petit tour au centre de Maguelone, retour par le chemin côtier.  

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 En repartant, on jette un coup d'œil aux vignes du Domaine de Maguelone pour se souvenir que le vignoble s’étend au pied même de l’ancienne cathédrale de Maguelone .
Retrouvant la vocation millénaire de cette terre d’accueil et d’hospitalité, l’Association Les Compagnons de Maguelone permet aux personnes accueillies dans son établissement d’aide par le travail, de mener une vie active partagée entre l’exploitation du domaine viticole, l’aquaculture, la pêche et un riche éventail de prestations de services.

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Et puis au détour du chemin, c'est la rencontre avec une aigrette garzette. Elle a beau avoir l'habitude du monde, il faut néanmoins s'avancer précautionneusement pour prendre quelques photos.

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Heureusement ce jour-là, j'avais le 70 x 300 sur mon deuxième appareil et à l'épaule. Donc pas de mouvements brusques pour récupérer appareil et objectif.

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 Je me sais observé, j'en deviens immobile de peur de voir l'oiseau s'enfuir. Ce n'est pas si souvent que je preux faire de telles photos.

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Mais je n'ai pas la patience de Pascale MD ou Ghislaine. Un regard de côté de ma part, quelques secondes d'inattention et le bougre en profite pour attraper un poisson. Du coup,  je suis tellement surpris que j'en oublie mes réglages d'où le flou.

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 Et le voilà qui se déplace.  Ah pourquoi n'avais-je pas enclenché le mode rafale?

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Quelques rochers viennent à me boucher la vue mais je n'ose pas avancer plus. À noter que la vie du poisson ne tient qu'à un fil ou plutôt à un bout de queue...

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Qu'est ce que je disais ! 

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Dans quelques secondes, le poisson aura disparu et mon aigrette aussi malheureusement, troublée par des touristes un peu trop bruyants...

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À bientôt.

11 août 2018 : Avant de rejoindre Lanildut, la veille, la route m'a mené du côté de Saint Michel en Grève.

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Peu de monde sur la plage. L'endroit est propice à la promenade

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Les chevaux  se seront guère effrayés par les vacanciers.

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12 août 2018 : Mes pas ou plutôt ma voiture me conduit jusqu'à Lanildut, premier port goémonier d’Europe avec 35 000 tonnes d’algues déchargées.

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Ce jour-là, peu d'activité dans le port. De plus, le temps est franchement bouché ce qui ne facilite pas la photo, surtout avec les embruns qui volent et se collent sur l'objectif.

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Tiens, un restant de goémon tombé du camion ... Ce goémon qui va servir à l'industrie des produits de beauté !

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C'est marée basse et donc repos pour tous sauf pour les mouettes et autres goélands qui cherchent leur nourriture dans les algues découvertes. 

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Le travail de sape du ressac est impressionnant.

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À marée basse,  les filets d'eau ont cherché leur voie vers la mer, plus en bas.

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Toujours à marée basse, les algues, à ne pas confondre avec le goémon, couvrent les rochers.

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 De l'autre côté de l'aber Ildut, une autre partie du port plus réservée aux bateaux de pêche classiques.

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Ouverture sur la mer avec l'espérance d'un temps meilleur...

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 À bientôt - Kenavo

13 février 2019 : La  nature s'est réveillée avec un manteau blanc que lui a imposé le givre.

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Malgré le blanc de la glace, des couleurs subsistent.

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Petit gros plan pour découvrir le givre.

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Les herbes folles ne sont pas en reste. Elles aussi ont revêtu leur habit de froidure.

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Chardons cristallisés...

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Ils doivent se sentir bien seuls dans le froid.

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Et une dernière image en couleur noir et blanc ... pour se souvenir que c'était  l'hiver.

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 À bientôt.

31 janvier 2019 : J'habite à peu de distance d'un verger couvert de pommiers (les Vergers de Sellières) [voir ici ] . En ce froid matin,  j'y suis allé faire un tour, alors que la neige de la nuit précédente s'est arrêtée à peine plus haut.

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Les nuages sont encore bas mais ils me cachent la lueur trop vive du soleil, surtout de face.

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En arrière-plan, on distingue la tour du Prévôt, à Toulouse le Château.

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Les pommiers ont subi les assauts de l'hiver et méritent quelques soins.

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Sans leurs feuilles, ils paraissent un peu malingres...

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La taille a débuté, comme en attestent les branches au sol.

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À présent, ils sont prêts pour une nouvelle croissance.  Si ...

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 Si  le gel ne vient pas les griller. Ils ont courant avril, subi une grosse alerte et ce week-end de lune rousse, les risques sont encore grands. Les balles de foin sont prêtes à être enflammées pour créer un écran de fumée, si d'aventure, le froid était par trop vif. Alors souhaitons que !

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À bientôt

11 janvier 2019 : Bresse jurassienne. L'étang Vaillant, à Chapelle Voland, est sous le froid, pas vraiment gelé, mais enfin ...

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 Le soleil d'hiver est bas sur l'horizon. Les ombres s'allongent même à 10 h 35 du matin.

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L'étang a été vidé il y a quelques mois. Il lui faudra du temps pour retrouver son aspect habituel. La brume ajoute au caractère "lunaire" inhabituel de l'endroit, pour autant qu'il ait de  l'eau sur la lune!

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Le milieu de l'étang n'est pas gelé. Un envol de canards trouble le silence.

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 En bordure par contre, la surface de l'eau est prise par la glace.

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 Pour qui connaît l'étang, le spectacle a de quoi surprendre. Là où d'ordinaire l'eau est partout, maintenant les herbes ont poussé pendant la période d'assec.

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 À bientôt  pour découvrir un autre  étang.

11 août  2018 : Après le petit déjeuner du matin à Saint Quay Portrieux, j'ai repris la route direction Paimpol.

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Et ce jour là, c'était la fête des vieux gréements.

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Il est bientôt midi et le casse-croûte va bon train sur le pont des navires.

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Le temps est un peu gris et ces couleurs mettent une ambiance colorée à la scène

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Le clou du spectacle est là :  Le Galéon Andalucia, réplique d'un galion espagnol du XVIIe siècle.

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Construit en 2010, il évoque ce que fut la marine au temps des pirates, corsaires et aux autres marins des rois. 

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Le bateau mesure 51 mètres de longueur hors-tout et 3,40 mètres de tirant d'eau. Son pont principal porte un beaupré et trois mâts avec sept voiles.

La plus grande difficulté pour moi fut de pouvoir faire ces photos sans personne à côté ou devant ...

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Comme dans chaque fête bretonne, sur terre ou sur mer, la musique et les chants sont présents. Ici, les godilleurs d'la Flume que l'on peut retrouver sur une vidéo (pas de  moi) à 15' 50'',  ici

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 Mats,  haubans, drisses, écoutes que des termes qui parlent aux  marins...

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À côté des vieux gréements, la flotte  moderne a envahi le port.

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Mais pour autant, tout cela reste source d'inspiration pour les peintres.

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Bon désolé, je vous laisse sur une marine photographique, car il est temps d'aller manger et avec tout ce monde, il va falloir trouver une table. (Mais  j'ai réussi ! )

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À bientôt  -  Kenavo.