Toujours à Châtel, le nez en  l'air... l'imagination travaille.

Mais je ne vous livrerai pas le fond de mes pensées sur fond de nuages.

Je laisse à chacun le soin d'imaginer ... 

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Imperceptiblement, le temps change. Le soleil est juste derrière l'arbre, à peine tempéré par le nuage.

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 Le temps d'un regard à terre et on retrouve la société de consommation. Avec ses excès et ses bouteilles vides... C'est un peu la pagaille par ici.

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Allons, passons par dessus tout cela et reprenons notre contemplation...

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A bientôt, pour une petite suite et fin...

Petite  promenade jusqu'à Châtel, cette station de ski où pendant 12 ans j'ai eu un appartement...

A présent  j'y retourne presque tous les ans, un peu comme en pèlerinage. 

 Cette année,  peu de neige en station,  elle est juste au dessus. Alors à défaut,  je me suis bercé au passage des nuages. Moins dangereux et surtout reposant...

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Depuis  la  place devant l'église, le  massif du Linga

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C'est sur ce  flan de montagne en dessous du Morclan  (à droite hors photo) que se situait mon appartement, dans un des  grands  immeubles que l'on aperçoit. Au fond, le Haut Saix.

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Les Cornettes de Bise, des dentelles dans l'horizon de Châtel.

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Et à  présent,  je vous laisse rêver, la tête dans les nuages.

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Demain,  une autre série...

Suite de ma petite sortie du côté de Bonlieu.

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Un jeu agréable, prendre le soleil en photo, sans  voir  le soleil ...  si ce n'est son reflet !

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 Quand  les arbres  peuvent  à nouveau se  mirer dans  l'eau du lac.

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Ici, on pourrait se croire en automne, mais nous sommes bien un 19 février. Et les reflets blancs du lac, sont de la glace. 

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Pas évident à réaliser cette photo. Quelques flares (taches verte  luminescentes) sont présentes sur le cliché.

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Une  photo  pour rappeler qu'à la belle saison, l'endroit est couru par les pêcheurs.

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Encore  une fois,  le contraste entre l'eau libre, la glace et les reflets est intéressant.  

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 Même endroit mais en plan large pour mieux apprécier  les reflets, toujours eux...

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Et pour clore ce chapitre, un dernier coup d'oeil sur la roselière

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 A très  bientôt.

19 février. Promenade au lac de Bonlieu, près de  Clairvaux les lacs. La température est printanière avec  14°.

Pourtant surprise, le lac est encore en partie gelé, dans ce petit coin qu'on pourrait croire au Canada..

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Pourtant en arrivant aux abords du lac, on a du mal à voir que sa surface est encore gelée.

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Mais il faut bien vite se rendre à l'évidence, à part le pourtour en eau, il y a bien de la glace. Une aubaine pour moi, qui n'ait pratiquement pas vu la neige cet hiver !

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Le lac joue avec les différences de teintes et les morceaux de glace morcellent les reflets.

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Un charmant petit coin ensoleillé, pour observer la " ligne de démarcation ". 

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De jolis reflets du ciel dans la partie libre des eaux du lac.

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La  partie gelée de la surface n'autorise pas aux reflets de se projeter sur le miroir du lac .

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Une eau particulièrement claire mais froide qui n'incite pas à la baignade, d’ailleurs interdite toute l'année.

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Les arbres semblent vouloir gagner sur l'eau, à moins que ce ne soit l'inverse.

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Demain, une seconde partie, un tout petit peu différente.

Ce soir, exceptionnellement,  juste une photo parce que dans la journée,  je n'ai pas eu le temps et que surtout, de jour, il n'y a pas de clair de lune, ni d'éclairage  nocturne...

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Arlay au soir du 10 février 2017. J'aurais bien vu cela au soir de la St Valentin...

Je n'ai pas pu profiter cette année, de la cascade de Baume les Messieurs, complètement gelée. Je  m'y suis rendu le 2 février 2017 alors que la glace avait disparu. Heureusement, le spectacle était toujours présent.

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La difficulté, quand on habite à proximité et qu'on y va souvent prendre des photos,  c'est de trouver des angles de prise de vue qui ne soient pas toujours les mêmes...

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Et  il faut aussi avoir la chance de ne pas tomber sur la foule parfois envahissante de touristes. Ce jour là, personne, ouf.

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Heureusement que la beauté des lieux reste immuable, et ce, quelle que soit la saison. Le photographe n'est jamais déçu. 

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L'endroit a quand même quelque chose de fascinant, tant par les couleurs que par la force qui s'en dégage.

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L'intérêt du lieu est aussi que l'on peut remonter au-dessus de la cascade et voir ainsi l'eau arriver avant de se jeter dans le vide.

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Le Dard, c'est le nom de la rivière, sort de la  falaise un peu plus haut et par terrasses successives, s'achemine vers le saut de la cascade.

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A mon grand étonnement, voici un angle que je n'avais encore pas utilisé, avec au premier plan, le muret constitué de pierre plates, dressées verticalement.

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C'est fini de la promenade. Alors  à  bientôt.

Le  jardin s'est figé dans le pâle soleil de l'hiver.

Une frileuse torpeur a envahi l'espace.

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Le  pied du parasol est resté dehors, prêt pour reprendre sa fonction aux premiers beaux jours.

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A défaut d'hirondelles ... 

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L'hibiscus avait fleuri, me laissant ses graines. Encore quelques jours, et il sera taillé.

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Entrainement du banc à recueillir une vieille branche.

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Les  minuscules asters mauves ont bien souffert. Et s'il n'y avait qu'eux... Le  travail me tend les bras  !

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Hiver. La nature est au repos, du moins elle paraît...

Dans mon jardin en ce premier février,  je fais un état des lieux...

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Les feuilles se sont amassées. Ici, ce n'est rien. Ailleurs, c'est un matelas... 

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Mes lys ont perdu de leur superbe, semblables à des algues sèches... 

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Les tuteurs  pour les tomates ne verront sans doute plus les tiges partir à leur assaut. J'ai abandonné le maraîchage !

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Un tronc rabougri de lilas a vu son écorce disparaître, et remplacée par la mousse.  

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Un peu plus au-dessus, le lichen a trouvé sa place, toujours en compagnie de la mousse.

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Pour une fois,  j'ai utilisé le N&B, pensant que cela s'accordait mieux avec l'état général de mon jardin en cette saison...

 Et c'est à suivre.