Il est temps maintenant de clore ce chapitre de glace, d'eau et de neige. D'autant que c'est  à présent la fonte des neiges. Mais avant, un dernier regard sur ce site qui sait se faire admirer. Alors on redescend, ce qui ne sera pas chose facile ...

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Avant de redescendre, mon regard est attiré par un oiseau dans un arbre ... Méprise, il ne s'agit que d'un amas  de  neige. Mais l'illusion était là.

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Vu de loin sur la gauche, mon oiseau est encore  là ... et juste en dessous,  la grotte Lacuson du nom du capitaine éponyme qui tenta de s'opposer aux français de Louis XIV dans les années 1668 à 1674... Mais cette grotte n'en n'est qu'une parmi d'autres où la légende installa Lacuson! 

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Rapprochement des genres. Solide ou liquide, ce n'est toujours que de l'eau

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 Sur  le chemin de  la descente,  bien  glissant,  il faut prendre son temps et  on en profite pour faire  quelques clichés "géométriques".

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Çà y est, je suis en bas. Et par rapport à mes  photos du début, l'angle de vue  a changé. Et pour cause,  je me suis approché au maximum du pied de la  cascade, dans la glace.

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Entre la chute et moi il n'y a que quelques mètres couverts d'une glace trop fragile pour que je m'aventure plus loin sans risquer de tomber à l'eau.

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 Le  spectacle reste  impressionnant et toujours assourdissant, sans compter  les embruns qui  viennent mouiller mon objectif... et ma personne..

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Reste que je  ne regrette pas de  m'être aventuré si près pour mieux découvrir le travail de la nature.

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Avec ce N&B, une dernière vue du haut de la cascade dont on ne sait plus trop où elle est gelée.

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Et vraiment pour finir, le pied de la cascade du Hérisson entre neige et glace.

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Merci de m'avoir suivi... dans votre fauteuil. Sur cette carte, vous retrouvez la  localisation des sites visités. A cette époque c'est dans doute la partie la plus  impressionnante à voir.

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En espérant que le printemps sera clément et que j'aurai encore le temps de vous faire quelques photos. Sinon, je me replongerai dans mon stock.

Il est temps à présent de quitter le sommet de la cascade de l’Éventail  pour reprendre  la progression.

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Le Hérisson est bien  là. C'est ce petit torrent qui coule à mes pieds. Enfin en passant sous un petit pont...

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De l'autre côté du  pont, ce même Hérisson va atteindre le sommet de la cascade de l’Éventail et se jeter dans le vide.

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Le chemin se poursuit par là, oui, juste sous l'arbre courbe... Je vous l'accorde, il faut une âme de trappeur... ou de photographe un peu fou.

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Un regard en passant sur un ressaut du Hérissson qui malgré le froid continue de couler.

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Au pied des grands sapins, d'autres plus petits se sont transformés en champignon.

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Me voici enfin arrivé au bout de ma seconde étape : le grand Saut: 60 m de hauteur

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 Je dois me contenter de prendre des photos au zoom. L'accès est interdit. En temps ordinaire, un sentier permet d'accéder au pied de la cascade et même de passer derrière. Je l'ai  fait une fois, en été, impressionnant. 

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Je reste donc sur une plateforme d'observation et use du 70 x 300 pour découvrir l'amoncellement de glace au pied de la cascade.

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J'avoue ici manquer de mots pour décrire ce que je vois : eau bondissante, stalactites de  glace se partagent le terrain alors que  le soleil  leur fait de l'oeil...

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De véritables voiles de glace comme ici à droite, se sont constitués. Et  je regrette de ne pouvoir aller plus loin sans prendre de risques. Dommage.

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Ici le froid est plus intense car le soleil n'atteint que rarement le pied de la cascade, d'où ces eaux pétrifiées.

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Neige et  glace : les deux sont intimement mêlés mais si on regarde bien, on s'apercevra que la chute de l'eau se poursuit sur la gauche de la photo.

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 Je  vais devoir quitter les lieux, à regret,  je l'avoue, mais je me réserve un petit plaisir queje vais vous faire  partager dans le prochain épisode .

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Avec un ordi tout neuf, je peux reprendre l'envoi de mes photos... Alors on retourne à la cascade du Hérisson pour la suite de la promenade hivernale.

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Mais avant de reprendre le chemin, attardons nous sur cette glace. Car c'est quand même un peu pour elle que je suis venu... Étrange mélange des genres avec cette eau à la fois  figée et bondissante.

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Des stalactites se sont formés. Il ne fait pas bon se trouver en dessous, car certains, vu la température, se détachent par moment.

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Vu au zoom 70x300,  le haut de la cascade.

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C'est  là-haut qu'il faut aller. Déjà en été, la montée n'est pas des plus simples, on a vite le souffle coupé alors en hiver, si ajoute la neige et la glace...

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 Le spectacle est quand même impressionnant. Le chemin qui mène au-dessus passe par les bois à gauche.

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Et au début, il nous  permet d'admirer la chute, ici gelée

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 Puis par quelques détours du chemin, on obtient d'autres vues de l'ensemble. Alors autant en profiter pour faire une photo  ... et pour souffler!

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Voilà,  65 m plus haut... Pour cette  photo, l'appareil est tendu à bout de  bras. Il y a une barrière pour dissuader les téméraires de s'approcher.

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 Ça valait le coup de  grimper,  non?

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 65 m de chute, ça impressionne, non? On distingue sur la droite, un premier ressaut de la cascade, chose que l'on ne distingue  pas  vraiment depuis le pied de la chute.

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 Bon, c'est pas tout ça,  il y a encore une petite chose à voir, mais c'est plus loin et plus  haut,  il faut encore grimper. Alors vous me suivez?  Ok , à plus tard.

Bonjour,

Mon ordinateur étant tout neuf, mes différents  programmes réinstallés ainsi que mes fichiers photos (sans  perte) ,  je peux reprendre la diffusion de celles-ci. Mais avant de repartir à la  neige , la glace ou encore en Bretagne,  petite escapade au salon du goût à Lons le Saunier.

 Alors,  je vous propose quelques images juste pour vous faire saliver...  Je suis cruel, non?

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Pour vous mettre dans l'ambiance, un  chocolat?

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Quelques têtes de nègre vous font la haie d'honneur. 

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Pas de salon sans quelques bouteilles. Ici un apéritif que je n'ai d'ailleurs pas goûté.

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Un peu des saveurs du Midi  avec ces tomates séchées.

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Et l'on  poursuit avec le fameux nougat de Montélimar. Ah que c'est bon quand ça colle aux dents...

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On remonte dans l'est avec la bretzel, il ne manque que la  bière.. mais elle n'était pas loin!

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Petit coup d’œil aux réalisations des apprentis du CFA de Gevingey. Ou une autre façon de passer le temps...

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Une autre réalisation. Difficulté pour le photographe, éviter les reflets car bien entendu, tout ce travail était sous vitrine.

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Un  petit jeu avec des flûtes à champagne qui jouent les tentatrices.

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Du saucisson corse. A priori du cochon sauvage...

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Des démonstrations culinaires étaient proposées au public. Ici, la fabrication des truffes jurassiennes.

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 Et puis si vous avez encore une petite faim, voici des corniottes...

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Quelques photos donc, présentées sans recherche et dans l'ordre dans lequel elles se sont proposées lors de ma visite au salon.

Toutes ont été faites au 70 X 300, sans trépied. Autant dire,  les spécialistes comprendront, que j'ai retenu ma respiration plus d'une fois...

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