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Titre original de l'exposition qui se trouve actuellement sur le site des forges de Baudin. Effectivement, ces oeuvres sont à l'air libre. Il s'agit encore une fois d'art contemporain et je vous propose d'en faire le tour à travers mon objectif.
Sous les photos, afin de ne pas trahir les artistes, j'ai repris in extenso la description des oeuvres.
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Oeuvre de Loïc Blairon: La miroiterie mobile - Réalisée spécifiquement pour les Forges de Baudin, cette sculpture de forme concave obstrue l'espace de l'ancien atelier de chromage des forges. La fragilité et la grande légèreté du polystyrène contrastent avec la densité et la luminosité de la sculpture qui vient souligner la beauté architecturale des Forges.
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Elodie Lombarde : Arrondir les angles. Matériau modeste, la toile émeri a malgré tout des qualités plastiques et narratives. Par l'accumulation et la couture, le noir et la rugosité du papier, créent une surface aux couleurs variées et effets de matiètres riches et par la texture et les fils se dessinent une carte céleste. Le grand écart entre le papier de verre et une référence à la constellation crée la spécificité de cette pièce .
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Fabien Leaustic : Vestiges bis . Les ruines des Forges de Baudin côtoient les vestiges de volumes géométriques. Tous deux sont recouverts par la végétation. Certaines nous paraissent étrangement contemporaines : les dodécaèdres. Nous connaissons ces volumes, parfois de manière inconsciente. Elles sont logées dans notre intuition comme elles l'étaient chez Euclide, auteur de leur découverte 300 ans av J-C. Les solides de Platon font partie de ces formes qui habitent l'Histoire de l'Homme depuis plus de deux millènaires et que l'on retrouve partout dans la nature. La confrontation de ces deux vestiges est le fruit d'une réflexion sur la synchronicité dans l'apparition des formes.
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Jean Bernard Butin : Voile de culture. Surface blanche nue interrogeant "Baudin 2014" en une vitalité nouvelle, une ouverture aux expressions plastiques accompagnée de l'Annonciation de Fra Angelico ( ndlr : la photo)
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Romain Cattenoz : Hommage (triste) à G.Courbet. La sculpture est installée sur le site de l'ancienne cheminée. Disposée au sol, brisée en morceaux, elle évoque aussi bien la disparition de l'activité industrielle des Forges de Baudin, qu'elle rend hommage comme l'indique son titre au déboulonnement de la Colonne Vendôme par Gustave Courbet durant la Commune.
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Fanny Gagliardini : Croisée des chemins. Miroirs recto-verso. Ils sont passés par là.
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Voilà mes amis, vous en savez autant que moi... Je laisse l'entière responsabilité des explications à leurs auteurs. Nul doute qu'ils savaient tous ce qu'ils faisaient. Mais j'avoue que personnellement, j'ai quand même du mal à suivre...
Alors pour ceux qui le peuvent, je vous invite à passer sur le site des Forges de Baudin, entre Sellières et Toulouse le Château, dans le Jura. L'accès est libre et l'ensemble restera en place jusqu'au 19 octobre 2014.
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Je poursuis avec quelques autres vues d'églises ou chapelles. Je reconnais, comme certains, que ces dernières ont souvent beaucoup plus de charme, grâce aussi aux enclos paroissiaux. Ceux-ci sont des ensembles architecturaux religieux clos d'un mur. L’enclos doit rassembler au moins cinq des huit éléments suivants : l'église, l'ossuaire, la chapelle reliquaire, le calvaire, le mur d'enceinte, la porte triomphale, le cimetière et la fontaine.
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Lannion : St Jean du Baly. Commencée en 1519, l'église est achevée en 1548. En 1760, on démolit la flèche de bois qui menaçait de s'effondrer. D'où cet aspect curieux, carré. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les soldats allemands hissent à son sommet la croix gammée. Au départ des soldats, les Lannionnais se hâtent de la remplacer par le drapeau français.
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Ploudaniel : Eglise paroissiale Saint Yves. Contstruite entre 1860 et 1862, en forme de croix latine.
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Landerneau : Eglise Saint Houardon, avec un curieux clocher à bulbe. Reconstruite au 16e siècle sur les bords de l'Elorn, agrandie d'un porche sud en 1604, l'église fut transférée au centre ville en 1858, grâce au financement de Napoléon III.
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Le Faou : L'église Saint Sauveur fut fondée par les Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem et reconstruite en 1544 puis en 1680. Elle fait face au port.
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Landévennec : L'église Notre Dame date du XVIIe siècle et est située au nord du bourg, en bordure de mer. L'enclos percé d'un portail surmonté d'une niche permet d'accéder au cimetière marin qui entoure l'église. Les tombes disposées en espalier sont tournées vers l'océan.
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Brélès : Cette église (égliose Notre Dame) dont il subsiste des éléments du XIVe siècle, a été remaniée au XVIIesiècle avant d'être en grande partie reconstruite et agrandie en 1855.
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Roscof : Eglise Notre Dame de Croaz-Batz. Elle a été construite de 1515 à 1549 à l'initiative de riches marchands et armateurs. Le porche sud a été remplacé en 1634 par une chapelle dédiée à saint Joseph.
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Plouvien : la chapelle Saint-Jaoua. La chapelle actuelle date du XVIie siècle, mais réutilise des restes de l'église romane datant du XIe siècle. Le tombeau de saint Jaoua s'y trouve.
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Voici pour cette approche modeste de quelques églises et chapelles de la Bretagne du nord. Il y aurait tant à dire et à voir, donc à vous montrer....L'an prochain, puisque je retourne en vacances là-bas, je m’attacherai plus aux calvaires, aux détails et aux vitraux.
Je vous rappelle ce site sur ces monuments et d'autres : Quand l’inventaire se fait diagnostic : les édifices religieux dans le Finistère de 1801 à 1905
A demain .
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On connait tous la tradition religieuse de la Bretagne. Qui l'ignorerait, l'apprendrait vite en se rendant en déplacement là-bas. Pour une fois, je vais jouer au touriste et vous montrer des photos faites par un touriste...
On pourrait croire toutes les églises ou chapelles faites sur le même modèle. En fait il n'en n'est rien, même si le néo-gothique l'emporte. Je me suis borné pour cette année à faire une photo d'ensemble. Donc pas de détails statuaires ou architecturaux.
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Tréflez : L'église Sainte-Ediltrude date de 1725 et le clocher de 1776
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Lesneven : 1756 - 1762. Sa particularité est d'avoir perdu son clocher lors d'un bombardement allemand le 8 aoû 1944. Celui a été remis en place en novembre 2013.
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Guissény : Église Saint Sezni. Elle date de 1700. Le 4 août 1720, la nef est achevée. Le bâtiment à gauche est la chapelle de l'Immaculée Conception (1743) ouvrage aujourd’hui transformé en lieu d'exposition.
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Plougerneau : Eglise paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, reconstruite en 1847, de style néo-classique conservant le clocher qui servit d’amer jusqu’en 1869 (point de repère fixe et identifiable sans ambiguïté utilisé pour la navigation maritime.
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Plougerneau : La chapelle Notre Dame de du Traon, ou chapelle du Val, e 1572, restaurée en 1758 et 1768.
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Landéda : Chapelle St Laurent de Troménec. Edifice gothique, seul vestige avec le colombier du château de Tromenec, fondé au XVème siècle.
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Lannilis : L'église, de 1876, est dédiée à saint Pierre et saint Paul.Elle est située à l'emplacement d'au moins deux autres églises plus anciennes, la première connue datant de 1516, la seconde de 1774. De cette dernière a été conservé le clocher.
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Voici pour cette première partie. La seconde demain.
Et pour ceux qui sont intéressés, voici le lien officiel passionnant : Quand l’inventaire se fait diagnostic : les édifices religieux dans le Finistère de 1801 à 1905
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Après une escapade dans l'art monumental et somme toute, inventif, retour à Annecy, où plus prosaïquement je vous propose dans un premier temps de remonter le Thiou, sur une centaine de mètres, par le quai Napoléon III, en jouant avec les couleurs.
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Sous l'ombre des arbres, pas beaucoup de lumière, alors on fait avec, quitte à accentuer le phénomène...
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L'eau comme partout à Annecy est d'une grande limpidité. Le vert des algues et autres plantes aquatiques donnent une touche de couleur à l'eau. Mais l'eau est réellement claire.
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En voici une preuve. L'eau est transparente. Et par la magie de la luminosité (et de mon logiciel ), mes photos s’éclaircissent .
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Et pour terminer cette petite série, j'ai un peu fait éclater les couleurs sous la lumière retrouvée.
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Encore de l'eau, mais cette fois, pas de fleurs
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Petit traitement à l'ancienne pour cette vue typique d'Annecy et de l'ancienne prison.
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Deux cygnes face à un problème. Comment aller au-dessus pour rejoindre les copains? Au bout d'une heure, ils n'avaient pas encore résolu ce cas d'école...
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Quand on vous dit qu'il y a des fleurs partout à Annecy. Certes, c'est un fleuriste, mais quand même...
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Enfin pour finir cette série cette jeune fille asiatique qui pratique le "selfie" ou autoportrait en français. Mais avec le gadget du moment, la canne télescopique sur laquelle est fixée le portable... avec retardateur!
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A plus tard et si vous avez le temps, passez aussi par : là . Merci.
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Dernière partie du voyage initiatique au milieu de l'art "expérimental". C'est du moins ainsi que moi, je le qualifie, car il y a tant de recherche à travers ces œuvres, que j'ai l'impression que leurs auteurs expérimentent toujours quelque chose de nouveau dans la conception de leurs sculpture.
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Michel Laurent : "La dent creuse". Un travail titanesque sur les pièces industrielles. Mieux vaut qu'il n'ait pas une dent contre vous...
"L'arbre à palabre". A moins que ce ne soit un appareil pour retenir les nuages...
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Mourad Habli : "Vegethumans" - Les courbes, les arrondis évoquent pour l'artiste, la feuille de l'arbre qui se déforme en séchant. On peut y voir deux corps. Avant de lire l'explication, j'avais cru voir Adam et Eve au jardin d'Eden, choisissant les feuilles pour s'en vêtir...
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Mylène Peyreton : "L'envol" ou l'exploration des carrés... qui se plient, se démultiplient, offrant des faces au soleil et d'autres à l'ombre. Un jeu toujours renouvelé.
Pourquoi "l'envol" comme titre de cette oeuvre? On comprend mieux pourquoi avec du recul...
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Anita Rumpf : "Cortège de sages" - Elle travaille avec la nature, la terre, le bois. C'est elle qui l'inspire. Ici les déchets de la scierie reprennent vie... d'où un cycle conçu par l'artiste : nature - arbre - scierie - rebut - renaissance - nature. Le verso de ces "sages"...
Et ici le recto...
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Gilles Wawrzyniak : "Corynthe" et "Psychée"... D'une photo à l'autre, l'art prend une autre dimension... surtout quand il sert d'asile aux escargots et aux toiles d'araignée.
"Ariane et Thésée" inspiré de l'art cycladique, semblent se faire la tête... Mais finalement, sous un autre angle, peut-on encore en dire autant?
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De toute cette exposition, je n'ai raté que Vénus de l'artiste précédent... j'ai du passer à côté sans la voir, dommage.
Alors pour me faire pardonner, je vous offre cette petite composition photographique, sans doute inspirée par tout ce que j'avais vu... J'ai envie de l'appeler " duoS"!
A bientôt.
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Suite de la découverte de l'art contemporain en plein air.
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Yves Delessart : Quoi de plus naturel que le bambou? A sa façon d'être taillé et assemblé, on y retrouve un mouvement, le mouvement cher à l'artiste : "J'aime le mot "démarche" comme évocation du mouvement, de la mobilité...". Titre de la réalisation : Solus.
Évocation du mouvement, par en-dessous...
Par au-dessus !
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Joseph Ginet : "Bois taillés". De loin, j'avais pris cela pour des traverses de chemin de fer. Mal m'en a pris, puisqu'il s'agit de morceaux de chêne taillés à la tronçonneuse. J'avoue être resté "de bois" devant ces réalisations... même si on peut y voir des couples, ou la solitude... quand ce n'est pas la solitude d'un couple...
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Hbiba Harrabi : "Les balançoires". Ou l'évocation des hésitations d 'un monde qui se cherche sans cesse : un coup en avant, un coup en arrière.
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Le chien gardien du domaine...
Une meute aux abois...
A moins qu'ils ne soient là que pour veiller sur Fidélio...
Quant à la mante religieuse, elle sait se faire remarquer...
Jenny Jacottet : Force, stabilité, transparence marquent les réalisations de l'artiste pour, au final nous révéler la puissance du mouvement.
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Des silhouettes sur le champ...
Des mobiles sous les arbres?
Bas Koch : L'artiste nous propose ici des corneilles, enfin des silhouettes. C'est paraît-il, le symbole d'un pouvoir magique garantissant la sécurité et de bonnes récoltes. J'avoue que la magie a été d'avoir une feuille explicative ...
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Fin de partie 2. Demain, 3ème et dernière partie de cette balade par moment ésotérique.
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Et sur mon autre blog, ma photo du jour : ici
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Si je vous présente ce reportage, c'est grâce à Gilles, un bloggeur ami qui m'a fait découvrir ce lieu à travers ces photos.
Quant aux miennes, je vous les livre ci-après. Il y aura plusieurs parties pour bien montrer le travail des artistes qui étaient au nombre de douze.
Pour vous les présenter, les artistes sont classés par ordre alphabétique et le nombre de photos dépend du nombre d’œuvres sur le terrain.
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Salle d'exposition, le vaste parc du château d'Artois, situé à la Chatelaine, dans le Jura.
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Cette exposition, baptisée Chemin d'Art et de Patrimoine UTOPI'ART est une manifestation d'art contemporain initiée par le Foyer Rural de La Châtelaine et la municipalité, soutenue par la Communauté de Communes, le Département et la Région. L'entrée est gratuite. L'exposition s'achéve le 21 septembre 2014.
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Le parc de l'hôtel SEQUOIA jouxte le château et les œuvres sont disséminées dans le parc.
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Jo Bardoux : elle nous présente son couple métallique en pleines «confidences » (titre de l'oeuvre) . Les liens entre ces deux êtres semblent ténus. Ils ont l'air si loin l'un de l'autre, mais en même temps si près si l'on en juge par l'ombre portée....
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Katy Bourgeois : Spécialiste du "Land art" . La preuve ici avec sa "fourmi-hermite".
Si vous n'aviez as remarqué la fourmi-hermite, la voici !
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Katy Bourgeois est également sculpteur-plasticienne. La finesse de son travail est à découvrir sur ce tronc retravaillé et nommé "le collectionneur", eu égard aux incrustations de pierres diverses sur le "corps" ....
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A plus tard pour une suite à cette visite parfois déroutante mais toujours curieuse.
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Et toujours ma photo du jour : ici
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Suite de ma promenade à Annecy. Pour cette fois-ci, encore des fleurs mais moins d'eau...
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Les fleurs s'accordent bien avec les vieilles pierres et à Annecy, elles sont gâtées. A noter la statue de la vierge, située à l'angle du mur.
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L'eau en dehors du lac, occupe une place importante dans la ville, à l'image d'ici, passant sous certains bâtiments...
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Notre Dame de Liesse : pour la magnifier, autant profiter des fleurs qui sont à proximité...
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Et puisque je suis sur la place Notre Dame, autant faire une photo de ces vieilles maisons réhabilitées, avec toujours quelques fleurs.
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Climatisées? Pour des fleurs, c'est une idée... Quant au cadran solaire, il est un peu particulier car il ne marque pas les heures, il me semble, mais les cycles astrologiques, du moins une partie sans doute parce que le soleil ne doit pas l'atteindre certains mois de l'année....
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Petit rappel, d'une autre de mes passions, la photographie ferroviaire... et ici, bien sûr, en gare d'Annecy, avec quelques fleurs sauvages...
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Pourquoi pas, (why not...) oui pourquoi pas partout des fleurs aux fenêtres, comme ici ?
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Une boutique de mode qui elle aussi a su jouer avec l'aspect floral si présent dans la ville ...
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Une petite suite prochainement . A bientôt donc.
et toujours ma photo du jour : ici
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La côte nord Finistère propose une infinie variété de plages mais surtout d'amoncellement de rochers. Je vous ai montré une première partie : ici. Poursuivons notre promenade au gré des amas rocheux trouvés ici ou là.
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Menez Ham : grandes marées, la mer s'est bien retirée. La côte est hérissée de barres rocheuses.
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Menez Ham : Si l'on fouille au téléobjectif, on découvre des formes particulières qui interpellent l'esprit par la taille ou la disposition.
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Menez Ham : L'esprit peut vagabonder et imaginer voir ici ou là tout iun tas d'animaux
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Menez Ham : on en vient à se demander quelle force a pu ainsi entasser, tailler, sculpter et agencer ces masses.
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Menez Ham : Pourquoi des formes arrondies ailleurs et ici des blocs jaillissant de la mer?
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Menez Ham : Ici, les blocs rocheux ont élu domicile sur la plage profitant de temps en temps d'un bain parfois généreux....
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Perros Guirec : Plage réputée pour ses "cailloux" dont voici un avant-goût avant un futur reportage.
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Ploudalmézeau : Et puis il y a ceux qui sans cesse tiennent tête à la mer... mais j'aurai là aussi l'occasion d'y revenir.
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Prochain rendez-vous avec , bah en vrai je ne sais pas encore... alors repassez si vous le voulez bien, plus tard.
Sinon, en attendant, il y a mon autre : blog
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Pour les accrocs de la Bretagne et d'Annecy, rassurez-vous j'y reviens bientôt. Mais là j'avais un petit reportage bien sympa à faire partager.
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Sans être passéiste, on peut regretter certaines pages de notre histoire patrimoniale et plus précisément du terroir. Clichés réalisées dans le cadre d'une fête du cheval et du travail à l'ancienne. D'où le parti pris de traiter certaines photos...
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Le comtois est un cheval costaud, robuste, doux. Tirer une faucheuse est un jeu d'enfant (ou de poulain) pour lui.
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Une fois que l'on a retourné le champ de patates, il faut encore les ramasser à la main.
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Ici, cette jument, une franche-montagne, se prête bien aux travaux dans les maïs, grâce à son petit gabarit
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Une charrue-soc menée par un attelage à deux comtois. C'est tout un art à conduire ...
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Du temps où les récoltes se faisaient à la main.
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Mais un cheval, on l'entretient. D'où la présence d'un maréchal-ferrant.
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Certes un vieux métier mais qui conserve toute son importance. Si auparavant, le maréchal-ferrant tenait échoppe sur rue dans chaque village, aujourd'hui le corps de métier est restreint et les maréchaux-ferrants se déplacent avec leur camionnette.
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Prise d'empreint sous le sabot du cheval. Qu'on se rassure, c'est indolore pour l'animal
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Et peu à peu, la mécanisation a envahi les champs. Alors quand on peut se souvenir ou pour les plus jeunes, imaginer ...
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A demain (et toujours mon autre blog : instant photo dujour
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