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Par Albert Lupus le 5 Janvier 2020 à 12:15
16 août 2018 : Au port du Rosmeur à Douarnenez
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C'est le port de pêche de Douarnenez avec ses chalutiers, ses magasins frigorifiques, ses ateliers de réparation. Tout un monde qu'il me faudrait avoir le temps d'explorer.
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Je me contente de faire des photos qui évoquent tout ce monde, comme ici et précédemment, des filets et bouées aux couleurs chatoyantes.
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La côte, la mer, un monde indissociable en Bretagne.
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Après le Sparkling Dtar, je remarque l'Eilean Croine, autre bateau irlandais à quai. Je sais à présent que ces chalutiers irlandais font de Douarnenez leur base avancée, pendant la campagne de pêche au thon dans le golfe de Gascogne, débarquant leur pêche et repartant souvent presque aussitôt.
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Et pendant que les professionnels de la pêche œuvrent à leur activité, d'autres pratiquent une autre forme de pêche, plus tranquille.
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L'Evann Emma appareille. Comme on le voit en poupe, il s'agit d'un caseyeur pour la pêche aux tourteaux. Pour la petite histoire, ce bateau a failli couler dans le port de Brest en 2012 suite à un problème de vanne de coque. À couple , c'est-à-dire amarré à un autre bateau, c'est ce second navire qui l'aurait empêché de sombrer rapidement.
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C'est sur cette note heureuse, que se termine ma visite rapide du port de Douarnenez
À bientôt - Kenavo
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 4 Janvier 2020 à 23:09
Douarnenez : le 16 août 2018. Après la visite des ports de plaisance et du port musée, passage au port de pêche.
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De nombreux bateaux sont présents, mais il n'y a guère d'animation. J'avoue être un peu déçu sur le coup.
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En fait, les moteurs ronronnent. Ici et là on finit de charger les derniers casiers, cordages ou filets.
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Et là, à quai, le Sparkling Star, un bateau irlandais. Pourquoi était-il là? Mystère pour le néophyte de la pêche en mer que je suis..
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Les yeux et les oreilles des pêcheurs, indispensables pour leur sécurité.
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Un lien avec la terre.
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Et sur terre, un chalutier se refait une santé.
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Les cordages s'entassent sur les quais, avant de rejoindre les bateaux.
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Tandis que sur ceux-ci, les chaluts sont roulés dans l'attente de leur déploiement en pleine mer.
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À suivre et à bientôt - Kenavo.
5 commentaires -
Par Albert Lupus le 31 Décembre 2019 à 17:20
Avant de continuer, je veux remercier les plus de 535 personnes qui ont visionné le reportage précédent en l'espace de 24 h . C'est pour moi, un beau cadeau de fin d'année. Encore merci.
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30 décembre 2019 : Cascade de la Frasnée. Sauvage, bondissante, illustration parfaite de la chanson de Guy Béart : l'eau vive...
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Oui une eau vive, fraîche aux multiples reflets verts ou bleus.
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Une cascade longue, qui prend comme son temps pour descendre et glisser à travers les rochers moussus, exhalant sa respiration, vite transformée en brume.
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Des blocs de pierre venus d'on ne sait où, au travers desquels poussent des arbres à l’existence sans doute éphémère...
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Mélange purement jurassien des couleurs entre vert et blanc .
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Tombé beaucoup plus haut, il a été transporté, roulé, ballotté. Bloqué là pour un temps, ce tronc d'arbre attend la prochaine crue qui le conduira vers une autre rive ou un barrage.
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Un dernier regard sur cette cascade, avec au passage, un arrêt sur le travail de la nature... qui sculpte, compose, peint tant de si magnifiques tableaux pour les photographes et les autres !
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Et puis en redescendant vers Clairvaux les lacs, encore une fois un superbe tableau offert généreusement par Dame Nature.
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Adieu 2019 et merci
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À bientôt... en 2020 .
5 commentaires -
Par Albert Lupus le 24 Décembre 2019 à 10:40
C'est avec mes amis que je vous souhaite de bien terminer l'année.
Sauf exception, le blog restera muet jusqu'en .... 2020 !
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A l'an prochain et d'ici là, je vais préparer mes futures parutions.
Albert .
8 commentaires -
Par Albert Lupus le 14 Décembre 2019 à 22:36
11 décembre 2019 : poursuite de ma promenade sur le Sentier des Lanternes et celui-ci s’illumine de 1000 feux et m'entraînent à la découverte des traditions qui rythment les fêtes de fin d’année.
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L'allée est appétissante avec tous ces sucres d'orge colorés.
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Bon d'accord, il y a un peu de flou. On dira qu'il y a un peu de vent. Et puis en ces temps de fêtes, on a droit au pardon, non?
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Quel remarquable travail. Il y a plus de 400 lanternes disséminées dans ce jardin.
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Décidément, quand on ne veut pas utilise le flash, pour rester naturel, il est difficile de travailler dans le noir et surtout en manuel ...
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Et voici un souvenir de mon enfance (je suis Lorrain) avec cette représentation de Saint Nicolas.
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Nous voici à présent dans la salle à manger du Père Noël.
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Toutes ces lanternes sont fabriquées avec des armatures en fil de fer, recouvertes de toiles colorées.
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Oh la la, que de cadeaux. Mais comment sont-ils arrivés ici?
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Mais c'est bien sûr, dans le traîneau du Père Noël !
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On l'avait aperçue, derrière la cathédrale. La voici à présent toute entière, sur la place d'Armes
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Et enfin la Pyramide de Noël, marquant le territoire du marché de Noël. Malheureusement, je n'aurai pas l'occasion de faire des photos de celui-ci, car les échoppes venaient de fermer...
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Je ne suis pas fana de ces instants de fête. Je laisse à chacun sa façon de les apprécier. Mais pour le coup, j'ai pu, l'espace d'un moment, replonger dans mon enfance lorraine.
C'était mon cadeau de Noël à moi.
À bientôt.
4 commentaires -
Par Albert Lupus le 13 Décembre 2019 à 23:15
11 décembre 2019 : Petite promenade à Metz pour y découvrir le Sentier des Lanternes de Noël devenu au fil des ans une véritable institution, « la » balade à ne manquer sous aucun prétexte, pour rêver à la lueur des lutins, poupées, et autres merveilles illuminées à l'occasion du marché de Noël.
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Auparavant, pour parvenir au Sentier, on passe à peu de distance de l'église Saint Livier, aujourd'hui désaffectée et où la nature s'est installée.
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Au passage, on peut jeter un œil sur la magnifiée cathédrale Saint Etienne, côtoyée l'espace du temps des fêtes, par la grande roue.
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Depuis le pont Saint Georges, le jardin Fabert où se situe le Sentier des Lanternes. Et en dessous, coule la Moselle.
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Une vue sur le moulin des Thermes et en arrière-plan, le clocher, seul subsistant du temple de garnison.
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On longe la Moselle qui coule en contrebas du jardin et du Sentier des Lanternes.
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Le Temple Neuf, construit entre 1901 et 1905, durant la période wilhelminienne. Le contexte historique de l'époque est celui de l'Alsace-Lorraine rattachée au deuxième Reich allemand suite au traité de Francfort.
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Un plan plus rapproché de la cathédrale dont la construction s'étend sur trois siècles, à partir de 1240.
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Nous voici à présent à l'entrée du Sentier des Lanternes.
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Et avant de vous parler plus avant de ce fameux sentier, je vous laisse admirer le paysage avec la cathédrale fondue dans les branchages désertés par les feuilles.
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À suivre, très bientôt.
PS : Désolé pour la qualité de certaines photos sue aux conditions de lumière.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 25 Novembre 2019 à 23:24
14 août 2018 : Après la plage et ses algues séchées, direction l'intérieur des terres, à Plouarzel.
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Premier point à atteindre, le phare de Trezien. Bâti en 1894, 37 m de granit s'offrent à moi...
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Depuis le pied, il est quand même impressionnant !
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182 marches plus tard, je suis sensé découvrir au loin l'archipel de Molène et l'Ile d'Oussant ... Mais la grisaille m'en empêche.
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Pour percer la brume, il m'a fallu travailler le post-traitement, d'où cet effet particulier.
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Une fois de retour au pied, je contemple le sommet, comme l'alpiniste qui de loin regarde la montagne qu'il vient de gravir...
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Un peu plus tard, à la pointe de Corsen. Nouvelle déception à cause du temps. Là, le brouillard de mer m'a bouché complètement la vue. Pour le coup, c'est moi qui me suis «retrouvé à l'ouest»...
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Du coup, j'ai fait quelques kilomètres jusqu'au menhir de Kerloas.
Pour être haut, il est haut : 10 m, mais il lui manque 2 mètres car il a reçu dans le passé ,un coup de foudre.
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Il s'agirait du menhir le plus haut de France encore debout. Et pour avoir une idée de sa hauteur, ma femme n'a pas hésité à se mettre à côté.
Avait-elle dans l'idée de frotter son ventre contre, comme les femmes jadis, pour assurer leur règne sur la maison?
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Vu sous un autre angle, on s'aperçoit qu'il est beaucoup plus fin.
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Mais je voudrais pas en finir avec ce menhir, sans en rapporter la légende.
Un trésor serait enfoui sous son pied. Il serait visible uniquement pendant la nuit de Noël.
La légende dit qu'au premier coup de minuit, les menhirs couraient s'abreuver à l'océan.
Mais lorsque sonnait le douzième coup, ils avaient déjà repris leurs places, stoïques, immobiles, insensibles aux attaques du temps.
Malheurs aux imprudents qui, éblouis par les richesses dévoilées, avaient oublié l'heure, ils étaient écrasés...
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À bientôt - Kenavo
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3 commentaires -
Par Albert Lupus le 22 Septembre 2019 à 22:03
19 septembre 2019 : Si je devais suivre la chronologie de mes photos, vous ne verriez celles-ci que dans un an, tant j'ai de retard. Mais pour une fois, j'oublie le temps.
Il s'agit d'une série réalisée à la tombée de la nuit alors que le soleil a déjà disparu derrière l'horizon. Pour les connaisseurs, je suis entre Carnon et Palavas, au seul endroit où l'on peut stationner à hauteur des étangs.
Pour une fois, je pense que les légendes ne s'imposent pas.
Photos réalisées entre 19h49 et 20h12, d'où le subtil changement de luminosité et avec deux objectifs 25 x 70 et 70 x 300.
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Par Albert Lupus le 14 Septembre 2019 à 22:19
30 mai 2018 - Malgré un temps incertain, passage à Aigues-Mortes avec l'incontournable visite des remparts.
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Je ne vais pas vous imposer une visite en règle de la ville. Ce sont d'ailleurs les seules photos que j'ai faites lors de mon passage.
Comme ici la porte de l'Organeau qui s'ouvre sur les marais salants, tout au fond. Une visite que je me propose de faire lors de ma prochaine venue.
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Plusieurs passages sont réalisés dans les remparts. Comme ici l'imposante porte des Moulins. À noter que là, j'ai patienté plus d'un quart d'heure avant de faire une photo sans personne.
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De nouveau la porte de l'Organeau mais cette fois-ci avec vue sur l'intérieur de la ville.
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Le temps a passé et laissé sa marque...
Les remparts côté ouest avec la tour de Constance et à gauche, la ligne de chemin de fer Nîmes - Grau du Roi.
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Toujours la tour de Constance, mais vue depuis l’intérieur de la ville. Au sommet, la tour de guet servait du XIIIème au XVIème siècle, de phare.
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Dans les petites rues, on peut trouver des décorations originales.
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Et comme il faut bien gagner sa vie, certains, (ici certaine) n'hésitent pas à faire la manche...
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À bientôt.
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Par Albert Lupus le 22 Août 2019 à 23:36
19 septembre 2018 : Visite du Mémorial de la Résistance à Vassieux
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Celui-ci est situé en pleine montagne, sur les hauteurs de Vassieux.
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L'entrée du Mémorial, avec cette photo qui doit tout au hasard, avec ce ciel bleu à gauche et gris à droite, comme un symbole.
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Coordinateur de la Résistance en France, Jean Moulin accueille le visiteur.
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Des saynètes évoquent la vie des résistants, comme ci l'attente d'un hypothétique parachutage.
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Puis de nouveau l'attente, sans doute après un espoir déçu d'un ravitaillement non parvenu.
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Liberté bafouée mais si chèrement reconquise.
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Un panoramique pour évoquer le plateau du Vercors.
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Un coquelicot, symbole de vie et qui s'est nourri par le passé, du sang de ceux qui sont morts au combat.
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Retour à Vassieux où l'on retrouve les carcasses de ces avions maudits.
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Les silhouettes symbolisent résistants et civils morts assassinés sous les balles ennemies. Tandis que les containers rappellent que c’était par ce moyen parachuté que les résistants recevaient armes et munitions, entre autres.
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Une simple pensée de Daninos mais qui ici, prend tout son sens.
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A suivre et à bientôt.
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