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Par Albert Lupus le 17 Janvier 2021 à 22:01
11 janvier 2020 : Après avoir pris quelques photos du canal, je me suis intéressé aux façades. Et les photos que je vous livre, n'ont pas été retouchées. Elles n'en n'avaient pas besoin. Alors partons à la découverte de quelques "oeuvres" du street art.
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Ici, ce "tag" de chats se fait passer pour Choofy, un taggueur connu pour ces représentations de chats sur les murs.
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Arrêtons-nous un instant sur ce trompe-l'œil ... mais qui en fait n'en n'est pas un. On va un peu le disséquer...
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Dans un premier temps, j'ai isolé les tags du bas. On y reconnaît une silhouette célèbre créée par M. CHAT (écrit ainsi en capitales et par défaut prononcé « Monsieur Chat ») un artiste franco-suisse Thoma Vuille. Hélas ici, il ne s'agit pas d'originaux mais de collages. Un peu déçu...
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Sous un autre angle, on découvre ce qu'il y avait sur une photo précédente. Ici l'artiste (inconnu) a été inspiré semble-t-il, par le canal. Il s’agit d’un aviron à quatre places, certainement vu depuis le fond de l’eau, et traçant son sillage. Œuvre de Bergerol.
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Barbapapa a été récupéré par un mouvement, sans faire de politique, anarchiste, le A2 Street art - Louise Michel et qui revendique la pose dans tout Paris de 1871 Barba... et Coeur A2, une autre création qui signifie Amour Anarchie...
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Est-ce la lutte finale? C'est plutôt à celui qui mettra le dernier tag visible et lisible... Il va être temps de nettoyer
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Allez, il est temps de retrouver un peu de fraîcheur avec cette jeune fille qui nous attend quai de Valmy. Elle a été réalisée par l’artiste toulousain Vinie en septembre 2017.
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Et enfin un petit sourire devant cette vitrine d'un électricien où tout bricoleur doit pourvoir trouver son bonheur.
Il suffit simplement d'être un peu au courant ou branché, ce qui dans le quartier est monnaie courante.
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Voilà pour cette visite du quartier du canal Saint Martin. Je regrette de ne pas avoir eu plus de temps pour ce troisième volet.
D'autant que ce n'est que plus tard, chez moi, que j'ai découvert tous les trésors du street art dans le quartier. Dommage, ce sera pour une autre fois.
À bientôt.
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12 commentaires -
Par Albert Lupus le 11 Janvier 2021 à 22:43
11 janvier 2020 : En cette mi-janvier, la rigueur de l'hiver ne s'est pas installée. Il fait bon flâner le long (ou au-dessus) de ce canal mythique de Paris.
Petit rappel : à de rares exceptions, toutes les photos ont été retravaillées pour leur donner plus d'intensité, d'émotion...
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Dans l'enfilade du canal où se succèdent, écluses, passerelles ou ponts. Petite précision, si les quais sont libres d'accès, par contre, il est interdit de pénétrer dans les emprises des écluses.
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Quand on parle du canal Saint Martin, difficile de ne pas évoquer le célèbre film Hôtel du Nord. Mais attention...
En 1938, l’hôtel est la vedette du nouveau long-métrage de Marcel Carné, au même titre qu’Arletty ou Louis Jouvet qui figurent au casting. Pourtant, c’est en studio, où l’intérieur de l’établissement ainsi qu’une partie du canal Saint-Martin ont été recréés, que la grande partie des scènes ont été tournées.
Le touriste peu averti aura bon sens d'aller lire le panneau en bas à droite de la photo, en forme d'écu, avant de repartir avec une photo de ce qu'il pense être un monument historique. Au pire, il pourra se consoler en profitant du restaurant, puis en prenant une chambre pour la nuit, histoire d'être dans "l'atmosphère"...
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Le quartier a subi bien des restaurations. Et quand des stylistes décident de s'installer dans celui-ci, ce dernier prend des couleurs. Voici par exemple les devantures colorées d'Antoine et Lili. Il s'agit d'une jolie petite maison de vêtements féminins et de décoration dont la création et la fabrication sont artisanales et en partie "Fait avec Amour" en France.
Et quand le canal m'offre de chatoyants reflets, difficile de ne pas tomber sous le charme.
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J'ai franchi le canal pour m'approcher du magasin. Alors que le soleil d'hiver décline, les vitrines semblent violemment éclairées à l'intérieur et à l'extérieur. Quel est donc ce mystère?
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Comme on peut le voir, le canal décrit une courbe et de l'autre côté se dresse un immeuble moderne d'une compagnie d'assurance. C'est le soleil qui se reflète dans les vitres et dont l'éclat est capté par les magasins à quelques centaines de mètres plus loin !
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Avant de quitter le canal pour aller voir ce qu'il y a plus loin, une dernière photo retravaillée dans les bleus.
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Un autre immeuble moderne, traitée en jouant avec la saturation, me permet d'aborder avec cette transition colorée, vers le prochain sujet à découvrir bientôt.
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Merci d'être passé me voir.
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8 commentaires -
Par Albert Lupus le 7 Janvier 2021 à 22:36
Bonjour à tous . Pour 2021, j'ai décidé, dans la mesure du possible, de donner un genre à mes photographies, quand ce sera possible. Je veux dire par là, que je souhaite m'éloigner du côté carte postale de mes photos. Alors je les traiterai différemment ( N&B, sépia, HDR ou autre) au rythme de mon inspiration. Et puis petit changement aussi avec l'apposition de ma signature en lieu et place du traditionnel filigrane.
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11 janvier 2020 : Je suis à Paris pour un reportage photo. En attendant la soirée pendant laquelle je dois officier, je vais traîner mes pas du côté du canal St Martin. Un endroit que j'apprécie particulièrement. J'ai même failli habiter à côté, par le passé. Dommage.
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Le canal St Martin est long de de 4,55 km de long situé essentiellement dans les 10° et 11° arrondissements de Paris. Inauguré en 1825, il comporte neuf écluses, deux ponts tournants, deux ponts fixes pour les voitures et six passerelles piétonnes une dénivellation totale de 25 m.
Voici les premières écluses doubles au débouché du tunnel du Temple.
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Depuis la passerelle de la Douane, d'où j'ai pris la photo précédente, on découvre vers le nord, le pont tournant de la rue Dieu et juste derrière, la passerelle Alibert
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Comme beaucoup de ponts et passerelles à Paris, celle-ci n'échappe pas au "romantisme" des amoureux...
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Toujours étonnant de découvrir le débouché du canal au sortir du tunnel sur les deux écluses. L'occasion de célébrer l'ingéniosité des ingénieurs de l'époque.
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La montée de la passerelle Bichat.
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Nous retrouvons le pont tournant de la rue Dieu et à l'arrière-plan, la passerelle Alibert (1860). Il s'agit d'un pont en arc par dessous en acier.
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Une photo qui pourrait paraître d'un autre temps. Mais y avait-il déjà des mouettes à l'origine du canal?
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La passerelle Bichat vue sous un autre angle avec les anneaux permettant d'amarrer les bateaux avant l'ouverture de l'écluse. Ceux-ci bien entendu, sont présents tout au long du canal qui ne voit plus guère passer que les bateaux mouche.
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Pour la suite de la promenade, si cela vous a plu, revenez ici bientôt.
4 commentaires -
Par Albert Lupus le 5 Janvier 2021 à 22:36
19 septembre 2019 : Au hasard des rues plus ou moins désertées par les touristes, je poursuis ma promenade.
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Et en levant les yeux, je découvre cette demoiselle perchée sur le toit de l'église. Elle a choisi cet endroit pour avoir une vue étendue sur la région.
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Les rues semblent abandonnées, pourtant elles offrent encore une ombre salutaire.
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Et puis j'aperçois le clocher mur, un style bien présent dans le sud de la France et bien loin des clochers à bulbe de ma région.
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Un petit air de vacances, après les vacances et dans un calme inespéré.
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Les restaurants sont pour l'heure au repos. Ils reprendront de l'activité ultérieurement.
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Quant à moi, j'ai repris ma route pour découvrir à mi-chemin ce spectacle insolite.
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Non, vous ne rêvez pas. Les vaches mangent des melons...
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Et il semblerait qu'elles aiment cela... Ce sont sans doute des surplus de la récolte, des melons ne correspondant pas aux normes de vente. Au moins ce ne sera pas perdu. Surtout qu'il ne faut pas compter sur moi pour manger du melon, je n'aime pas cela !
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À bientôt.
4 commentaires -
Par Albert Lupus le 31 Décembre 2020 à 11:53
S’il est une période qui ne me plaît guère, c’est bien celle du passage d’une année à l’autre.
C’est ce moment où l’on échange des vœux, une tradition qui cela n’engage que moi, ne sert à rien.
La preuve dans mon cas, j’avais souhaité maintenir un rythme de parution élevé de cette chronique.
Que nenni, réduite à la portion congrue, la chronique. Alors les souhaits… mais les sous oui !
Là encore question argent, la fuite en avant et comme l’argent n’a pas d’odeur, impossible de remonter sa trace. Moralité, je n’ai pas gagné plus, mais ni moins qu’auparavant.
Et je pourrais continuer ainsi avec la joie, le bonheur, etc. Je passerai sur le côté hypocrite de certains vœux qui ne sont là que pour faire bien.
Vous l’aurez compris, les vœux, ce n’est pas ma tasse de thé. Je leur préfère un verre de vin jaune. Mais je sens bien que mes propos justement vous font rire jaune.
Alors merci quand même à ceux qui m’ont adressé leurs souhaits et surtout à ceux qui ne l’ont pas fait. Pour ma part, j’invite les plus pessimistes à garder un peu d’espoir, car la vie c’est l’espoir et je demande aux plus optimistes, de raison garder comme dit dans les hautes sphères, car à l’impossible nul n’est tenu.
Pour finir, cette pensée de Charles Perrault : « Et comme ton bonheur dépend tout de tes vœux, songes-y bien avant que de les faire. »
TEXTE ISSU DE MA CHRONIQUE DU SOIR, SUR MA PAGE FB.
7 commentaires -
Par Albert Lupus le 30 Décembre 2020 à 22:39
19 septembre 2019 : Beaucoup moins de vacanciers à cette période. L'occasion est belle de flâner un peu dans cette célèbre cité. Et puis en cette saison d'hiver, cela fait du bien de revoir le soleil même par photos interposées.
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Dès l'arrivée sur le grand parking, on découvre l'étang des Launes. Malheureusement les oiseaux sont trop loin pour la photo. Reste le paysage.
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Si les Saintes Maries de la Mer sont connues pour être un lieu de pèlerinage des gitans, il n'en reste pas moins qu'il existe toujours une petite flottille de pêcheurs artisanaux
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Mais en face d'eux, l'opposition est grande avec en face, la flotte de la plaisance qui accapare une grande partie du port, en fait aménagé pour elle.
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Quant à moi, j'ai fait mon choix ... entre ceux qui sortent pour le travail et ceux qui s'aventurent en mer pour le plaisir.
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Sur la plage, pas grand monde malgré le soleil, mais surtout à cause du vent.
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Ce n'est pas la marée du siècle, mais la mer est néanmoins agitée.
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Alors pas de plage? Il reste les petites rues commerçantes et il fallait en profiter car si on avait su ce qui allait nous tomber dessus quelques mois plus tard !
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Le musée Baroncelli, ancien hôtel de ville est dédié à la Camargue. Ce musée est un hommage au marquis Folco de Baroncelli-Javon, personnage emblématique de la Camargue et ardent défenseur des coutumes, du patrimoine écologique, traditionnel et culturel de la Camargue. Après une longue fermeture pour des travaux de restauration, il a réouvert ses portes en juin 2018.
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Lieu emblématique des Saintes Maries, le sanctuaire des Saintes Maries, ici le donjon-abside avec à l'intérieur de l'église, la statue de Sara la Noire, vénérée des gitans mais qui en ce mois de septembre étaient totalement absents des lieux.
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À bientôt pour la suite de la visite ... mais l'année prochaine.
2 commentaires -
Par Albert Lupus le 22 Décembre 2020 à 19:17
16 décembre 2020 : Je poursuis ma promenade au fil de la Brenne pour tester mon filtre ND, avec plus ou moins de réussite, c'est certain. Néanmoins même si j'ai été réticent jusqu'à ce jour à l'utilisation de ce filtre, je trouve qu'on peut réaliser de beaux effets.
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La rivière gonflée par les pluies m'offre l'occasion de faire des photos qui sortent de l'ordinaire, sans être extraordinaires.
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Le petit barrage qui permet de détourner l'eau vers un ancien moulin est un peu submergé.
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Et il suffit de passer le pont ... pour voir l'autre côté.
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Et voici les vannes qui régulent le bief de l'ancien moulin.
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Avec une vue un peu plus élargie. Mais je regrette vraiment de ne pas avoir utiliser le trépied.
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Et puis je remonte le courant, une façon comme une autre de voir le paysage différement.
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Au confluent de deux cours d'eau qui en fait, ne sont les bras de la même rivière qui s'est divisée en deux un peu plus haut.
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Effet cheveux d'ange dans le rayon de soleil.
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Et enfin, vue sur le clocher sans église ...
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À bientôt.
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 9 Décembre 2020 à 22:10
19 septembre 2019 : Toujours à l'étang de Thau pour profiter de la vue.
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En surplomb de l'étang, on jette un coup d’œil sur la vaste étendue d'eau dédiée à la conchyliculture qui recouvre les activités suivantes :
• l'ostréiculture (élevage des huîtres)
• la mytiliculture (élevage des moules)
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Le panorama s'étend jusqu’à Sète, dominé par le Mont Saint Clair.
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Les activités nautiques sont bien séparées : le plaisir d'un côté, le travail de l'autre.
Pou répondre à Méline, ici l'on voit les tables (il y a 2700 tables sur le bassin qui peuvent être remplies avec 1200 cordes soit environ 180 000 huîtres.) Car en effet, ici contrairement aux huîtres de la façade ouest (Atlantique, Manche), on pratique l'élevage des huîtres et des moules en suspension et en immersion quasi permanente dans l'eau et sur corde bien que, de temps à autres, on les soulève hors de l’eau pour les laisser sécher à l'air libre pendant 24h afin de tuer toutes les algues.
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On pratique également, chez certains éleveurs, « l’exondation » qui consiste à sortir quotidiennement les huîtres de l'eau pour reproduire artificiellement le rythme des marées et les nombreux bateaux à fond plat , font de multiples sorties ou navettes entre les tables.
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Devant les ateliers, comme ici au cap de Tourre, on découvre les originaux garages à bateaux
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Une partie des bateaux est amarrée aux pontons mais vu le nombre, certains ont droit à un garage aérien. Une façon de lutter contre la crise du logement...
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À bientôt
6 commentaires -
Par Albert Lupus le 22 Novembre 2020 à 22:52
19 septembre 2019 : Entre promenade en petit tain et ascension de la montagne de sel, je poursuis ma visite du Salin d'Aigues Mortes.
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Sans explication, on pourrait me croire sur une piste de ski mais la température n'est pas la même et c'est bien du sel et non de la neige.
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La preuve vue depuis l'autre "tas" de sel réservé à la visite.
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De mars à août les sauniers favorisent la circulation de l'eau de mer de bassin en bassin, comme on en voit ici à perte de vue, fin d'augmenter sa concentration naturelle en sel.
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Suivant les bassins, la teinte rose va varier. L'eau de mer perd progressivement 90 % de son eau douce pour laisser place à une solution concentrée en sel.
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L'évaporation se fait lentement grâce à l'action combinée du soleil et du vent.
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Le sel, jusqu'alors en solution, va se cristalliser et se déposer sur le fond de la table salante. Puis l'eau progressivement va disparaître.
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Après plusieurs mois de cristallisation, une couche de sel d'une dizaine de centimètres d'épaisseur appelée "gâteau de sel", se forme au fond des tables salantes.
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Et c'est toute une usine qui alors va entrer en jeu
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Mais au fait, savez-vous ce qu'est une camelle? C'est le nom que l'on donne à cette dune de sel de 20 m de haut et qui est constituée de 60 000 t de sel. Et votre salière chez vous, paraît tout-à-coup minuscule...
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À suivre, très bientôt.
9 commentaires -
Par Albert Lupus le 12 Novembre 2020 à 21:34
11 novembre 2020 : suite de ma sortie à moins de 500m de chez moi, à cause du confinement.
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Je vous avais laissé sur le reflet de l'église Saint Pierre dans les eaux de la Brenne. Alors on retrouve celle-ci avec une forêt de reflets ou des reflets de forêt...
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Des cascades d'or et une eau des plus calme pour figer les reflets.
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L'église que l'on devine - 1870 - et derrière le bosquet, la nouvelle salle de convivialité - 2020 - Deux mondes pour réunir le monde ...
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Quant à l'église, elle se cache encore un peu derrière les différentes essences du parc du Souvenir Français.
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Avec l'automne, les hôtels particuliers se découvrent.
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Petit rappel, c'est le confinement... Pas âme qui vive dans la rue.
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1930 ou 2020? Le confinement trouble la vue, si ce ne sont les esprits ...
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Fin de ma promenade en saluant en ce 11 novembre, la mémoire de nos valeureux poilus, entre autres ceux de mon village : Sellières..
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10 commentaires
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